Surinfection

toux, les démangeaisons ou la fièvre. En cas de surinfection bactérienne, un traitement antibiotique peut être administré. Cependant il n'existe à ce jour aucun traitement spécifique pour traiter cette infection virale. L'administration de vitamine A orale à forte dose peut réduire la gravité et la durée des complications ainsi que la mortalité. Il n'existe pas de médicaments antiviraux efficaces contre le virus morbilleux. En cas de surinfection bactérienne (comme lors d'une pneumonie), un antibiotique

| Causes | Ce par quoi la maladie existe, son origine. | *virus ou bactérie | Facteurs de risque | Sont les facteurs qui augmentent le risque d'apparition d'une maladie. | *tabagisme *poussière | Surinfection | Il y a une surinfection lorsqu'une deuxième infection s'ajoute à une première. | *exéma du conduit auditif externe | Curatif | Ensemble de mesures pour guérir une maladie. | *antibiotic | Maladie:l'otite | Définition

humidité) et enfin les plaies exsudative ( pansement absorbant pour éviter la macération). o Respect du cycle bactérien de la plaie : les plaies chronique sont colonisées par une flore bactérienne, cette colonisation n’est pas synonyme d’une surinfection. En effet ces germes participent a la détersion de la plaie et on donc un rôle utile. La plaie surinfectée présente un écoulement purulent, des rougeurs, un œdème péri ulcéreux, des douleurs pulsatiles et est accompagnée d’une fièvre. Elle peut

phlyctènes mais, après excision, le plancher de celles-ci apparaît blanc-rosé, mal vascularisé, peu sensible. La cicatrisation spontanée à partir des annexes est possible mais longue (2 à 4 semaines). Bien souvent, l'état général du patient ou une surinfection locale, entraînera un approfondissement des lésions par destruction des quelques cellules épidermiques survivantes qui ne permettra pas la cicatrisation spontanée. Le 3ème degré correspond à une destruction totale de la peau incluant, la totalité

dans la physiopathologie des brûlures réside toutefois dans lʹaccroissement de la perméabilité des vaisseaux sanguins. 2. physiopathologie générale : •Atteinte et défaillance multi-viscérale (détresse vitale, tableau de choc hypovolémique...) •Surinfection (1ère cause de mortalité) C. Les causes : La brûlure peut être provoquée par une exposition à : o la chaleur (corps, liquide, gaz chaud…) ; 90% des cas, o les substances chimiques (caustiques), o l’électricité (courant électrique), o le frottement

alimentaire adapté Vigilance sur la rétention en sodium pouvant provoquer des œdèmes (régime sans sel) + HTA Niveau SNC : stimulation = hyperactivité Niveau system immunitaire : immunodépression, vigilance sur patho inféctieuses sans ATB car risque de surinfection !! Pendant une corticothérapie le TTT devra être réduit de manière progressive pour limiter les risques de rebond, d’insuffisance surrénale ou de sevrage (asthénie, anxiété, amaigrissement) !!! Syndrome de Cushing !! Concernant les dermocorticoïdes :

remplacement des tissus nécrosés par régénération – épidermisation 2. Complications potentielles de l'escarre – – – – – infection locale : abcès, fistule, ostéite infection générale : septicémie pertes protidiques et électrolytiques décès par surinfection et déshydratation globale risque de cancérisation 3/3 du tissu de 

appartient à la famille des quinolones, il est utilisé dans le traitement de diverses maladies infectieuses, notamment des infections urinaires ou génitales, des infections des os et des articulations, de certaines infections ORL et de certaines surinfections des bronches chez les personnes fragiles. Fibroscopie bronchique : est un examen endoscopique qui permet e visualiser la trachée, les bronches, d’effectuer des prélèvements (bactério-histologique), effectuer un traitement, à l’aide d’un fibroscope

et profonde qui correspond à un escarre cutané et qui se nécrose et pouvant parfois atteindre des muscles, des os des tendons. Les grands brûlés sont considérés comme des cas très grave car leur pronostic vital est engagé. Ils risquent des surinfections et des septicémies, une déshydratation intense, une insuffisance rénale…

mortalité de la grippe est d’une personne sur quatre mille. 2.3. Comment peut-elle tuer ? Par voie directe on meurt de : difficultés respiratoires, pneumonie ; difficultés cardio-vasculaires. Par voie indirecte on meurt à cause : d’une surinfection ; d’une autre maladie en cours ; d’une faiblesse due à une maladie chronique ; d’une autre insuffisance. 2.4 Qui est victime de la maladie. Les personnes fragilisées : Jeunes enfants ; personnes âgées ; maladies chroniques ; femmes enceintes