Surmoi

Aller à : Navigation, rechercher Le Surmoi (en allemand Über-Ich) est un concept psychanalytique élaboré par Freud. Il est, avec le Ça et le Moi, l'une des trois instances de la personnalité. Il désigne la structure morale (conception du bien et du mal) et judiciaire (capacité de récompense ou de punition) de notre psychisme. Il est l'héritier du complexe d'Œdipe. Il répercute les codes de notre culture sous la catégorie de « ce qu'il convient de faire ». Il s'agit d'une instance souvent sévère

individu. Nous n’agissons pas sur commande, mais en fonction de nos instincts, de nos besoins, de nos valeurs ou de notre éducation. Freud définit trois instances présentes en l'homme, ces trois instances de l'appareil psychique sont le ça le moi et le surmoi. Chaque instance est à l’intérieur de nous. • Le ça : Le ça est présent dès la naissance, c'est la partie la plus obscure et Impénétrable de notre personnalité. Le ça obéit au principe de plaisir et recherche la satisfaction immédiate, il

faire face au véritable problème. L’exemple : La rage au volant est un phénomène assez courant de notre quotidien. Chez une personne normale, la rage au volant est totalement inconcevable puisque le Moi est l’équilibre parfait entre le Ça et le Surmoi. Cette personne n’est donc pas guidée par ses pulsions comme le ferait une personne avec un Ça dominant. Une personne ayant un Ça dominant est justement le type de personne étant sujette aux rages au volant. Étant donné que le Ça prend toute la

Stéphane Haber Subjectivation surmoïque et psychologie du néolibéralisme L’élaboration de la notion freudienne de surmoi a suivi une trajectoire relativement claire. En 1914, dans « Pour introduire le narcissisme »1, Freud identifie une composante spécifique de l'appareil psychique qui, d'après lui, y représente la société, marquant la présence et l’influence du social au sein même du psychisme. L'argument prend une forme particulièrement originale. L'idée est que pour ce vivant spécial qu’est

médiateur qui s'efforce de tenir compte d'exigences contradictoires, il « est soumis à une triple servitude, et de ce fait est menacé par trois sortes de dangers : celui qui vient du monde extérieur, celui de la libido du Ça et celui de la sévérité du Surmoi ». Il représente dans le conflit névrotique le pôle défensif de la personnalité, il met en jeu une série de mécanismes de défense, ceux-ci étant motivés par la perception d'un affect déplaisant (signal d'angoisse). Le Moi représente notre conscience

Le SURMOI Avec l’article « Deuil et Mélancolie » publié en 1917, Freud apporte des modifications importantes au concept de moi, et notamment l’idée d’une différenciation fonctionnelle qui s’opère à partir du moi : une partie du moi, instance d’ordre moral, s’installe dans une position critique vis-à-vis de la partie restante du moi. Cette différenciation, déjà esquissée dans le texte sur le narcissisme, constitue la première de ce qui deviendra l’idéal du moi, puis le surmoi. Définition : Instance

Freud découpe l’appareil psychique en trois systèmes : l’inconscient, le préconscient et le conscient. Dans sa deuxième topique, il propose un autre découpage : il pose que l’appareil psychique se construit autour de 3 instances, le ça, le moi et le surmoi. Aprés avoir évoqué les principales différences entre les deux topiques, rappelez les raisons pour lesquelles Freud a abandonné sa première topique au profit de la deuxième. par ailleurs, vous préciserez en quoi l’inconscient peut traverser les 3

Moi et le Surmoi. Le Ca: Il n'est régi que pas le seul principe de plaisir et il est totalement inconscient. Le Moi: Personne dans sa globalité, la raison et le narcissisme. Le moi est le responsable des mécanismes de défense inconscient. Le Surmoi: siège des mécanismes de renoncement aux pulsions, contenant les images des différentes forces contraignantes auxquelles le Moi peut s'identifier. En 1923, Freud élabore une seconde topique constituée du Ca, du Moi et du Surmoi. Le Ca est

dans l’inconscient, le ça (pôle pulsionnel de la personnalité qui correspond aux désirs inconscients). Le surmoi, sorte d’instance morale, est constitué par l’intériorisation des exigences, notamment de l’éducation reçue. Le ça et le surmoi font parties de l’inconscient. Freud place entre eux, le moi, instance chargée de trouver des compromis entre les exigences contradictoires du ça, du surmoi et de la réalité. Le moi est en partie conscient et préconscient et utilise des mécanismes de défense inconscients

création d'un deuxième topique, où il instaure un troisième lieu : un système conscient, le moi et deux inconscients, le « ça » et le surmoi, intériorisation par l'enfant des règles sociales. B/ Les maladies nerveuses a – Le conflit du « ça » et du surmoi chez l'enfant Freud pense que les névroses ont une cause sexuelle, un conflit entre le « ça » et le surmoi. L'enfant porte d'abord son désir sur ses parents, et plus précisément sur sa mère, par le désir oral du sein maternel. Privé au