Surnaturel

Shakespeare lui accorde une place certaine dans son œuvre avec la notion de féérie qui sera récurrent après la mise en scène du Songe d’une nuit d’été. Le XVII° siècle est pourtant une période ambigüe quant à sa position sur le thème magique et surnaturel. C’est le siècle où le mage est aussi philosophe et scientifique, héritier de l’alchimiste et de la quête humaniste. Mais c’est aussi l’époque des bûchers et de la chasse aux sorcières. Pourtant ne peut-on pas se représenter la science et les religions

nomma le Horla; il sombre peu à peu dans la folie en cherchant à se délivrer de cet être surnaturel. Dans les dernières lignes de la nouvelle, face à la persistance de cette présence, il entrevoit la mort comme ultime délivrance. L'aspect fantastique du récit vient du doute créé chez les lecteurs quant à la démence du narrateur – ou à la réalité des faits qu'il rapporte : sa cohabitation avec un être surnaturel. Le narrateur raconte sa folie et la terreur qu'il subit. Le Horla, un être surhumain, le

Le deuxième sens : mis a part par la divinité. Par exemple, un saint/sainte est que lqu’un mis appart par Dieux. • « Hagios » Grec ; un sentiment en fae d’ue manifestation surnaturelle – • « Hieros » grec (hieropglyphe, hiérophanie- une manifestation du surnaturelle, les apparitions des saints etc ) une force surnaturelle vivifiante. On le trouve chez Homère pour qualifier la fore d’Achille. L’idée de sacré dans tout ces mots relève deux notions : La notion de supériorité par rapport a la

V scène 5 et 6 Plan : I) Un dénouement particulièrement rapide et spectaculaire 1) Un dénouement spectaculaire 2) Grande sobriété de paroles 3) Un dénouement qui ne ressemble pas aux dénouements de Molière lui –même 4) Scène envahi par le surnaturel I) L’attitude de Don Juan 1) Un dénouement spectaculaire -Dans ces deux scènes 5 et 6, il y a un certain nombre d’éléments spectaculaire tel que la présence du spectre, mais surtout, comme l’indique la didascalie « le spectre change de figure

poétique, il est en proie à diverses visions. Nous sommes alors amenés à nous interroger sur le passage de l’euphorie à la dysphorie dans ce texte. Tout d’abord nous traiterons  l’euphorie du poète dans ce texte puis nous étudierons les légendes et le surnaturel pour enfin définir l’ivresse poétique.   -L’euphorie a) La représentation de l’euphorie et la joie Champ lexical de l’ivresse : « verre » x2 ; « vin » ; « ivre » ; «  vigne » qui témoigne de la fête et de l’euphorie de cette soirée. De plus la

est représentée au début par une présence invisible bousculant les rêves du personnage principal, prenant ensuite une attitude plus « humaine » en buvant de l’eau et du lait. Le narrateur fait effectivement l’objet de tourment de la part d’un être surnaturel ; mais il peut tout aussi bien être frappé de folie. Le mouvement littéraire se trouve entre le réalisme ou Maupassant exprime le plus fidèlement possible la réalité par des délires de la part du personnage principal et le naturalisme qui se définit

murmure. Le terme fama dénonce la religion comme mensongère. Fulmina et murmure sont les métonymies de Jupiter. Les hommes l'interprètent comme une manifestation d'une puissance surnaturelle qui leur est hostile. Le livre 6 du de rerum natura s'emploiera à donner une explication rationnelle à ces phénomènes perçus comme surnaturels. L'exploit d'Épicure est souligné par la répétition de nec v7. III Triumphe d'Épicure sur la religion Triomphe définitif car v17 18 caractère conclusif quare ces vers ont un

compare de son premier regard porté sur Mme Arnoux à une apparition surnaturelle, telle l'apparition d'une déesse : on peut ainsi relever le premier paragraphe "Ce fut comme une apparition." (L.1), où il est intéressant de souligner que cette phrase est bel et bien un paragraphe à elle seule, lui donnant un caractère dramatique, et par conséquent mettant en avant son importance. Un autre élément remarquable interprété comme surnaturel est le soi disant éblouissement que Frédéric éprouve en observant

Ecrivain français et homme d’église du XVIIe siècle. Il fait partit du mouvement classique Texte : Problématique : En quoi ce texte relève-t-il de l’épique ? Plan : I- Mise en valeur des héros a. Un courage mis en valeur b. Des héros aux forces surnaturelles II- Un combat intense et dramatisé a. Dramatisation de la scène b. Un combat d’une extrême violence Eléments : I- Mise en valeur des héros a. Un courage mis en valeur Mise en valeur du courage de Télémaque dans son combat Comparaison au lion de

pensez-vous de ces deux scènes ? Evénements surnaturels. 2 scènes très courtes, mort du héros, il a défié Dieu pendant toute la pièce et là il le trouve. Dénouement très rapide et qui ne répond pas aux règles de dénouement d’une comédie : 2 scènes, pas tous les personnages, intervention du surnaturel, différent soucis de vraisemblance. Dénouement attendu. Scènes étranges. 5) Pourquoi Molière choisit-il de faire intervenir autant d’éléments surnaturels dans la fin de la pièce ? Quelle crédibilité