Surproduction

la règle et que la crise est temporelle. Le marché va s’adapter aux nouvelles données et mettre fin à la crise. En outre, RICARDO au travers de sa loi des rendements décroissants montre que l’économie tend vers un état stationnaire. La crise de surproduction est donc impossible. Les régulationistes, eux, parlent d’une crise de mutation en raison de la baisse de la productivité et l’augmentation des revendications salariales qui ont fin aux 30 glorieuses. Ils considèrent que l’économie doit avoir

face auquel il convient désormais de se prémunir est une surproduction pétrolière au Moyen Orient qui conduirait immédiatement à une baisse des prix du pétrole. Cette fois-ci c’est le pompiste qui propose à Mr Durand un accord. Il se propose de lui verser une prime de 150€, en échange du droit de lui vendre toute l’année son plein hebdomadaire à 1€15 du litre. Le pompiste a vu juste (il avait lu une analyse sur Pro-AT) et la surproduction massive d’or noire conduit à faire chuter les prix à 60

différentes. En 1848, dans une Europe en révolution industrielle, cette œuvre définie, en autres, le rôle révolutionnaire de la bourgeoisie et comment cette nouvelle classe sociale contient les germes de sa destruction. En effet, c’est par la surproduction, le cosmopolitisme, le changement dans les rapports sociaux, la création du prolétariat et sa dépendance que les bourgeois courent à leur perte. Ces aspects montrent que les auteurs de l’œuvre ont une vision déterministe du développement de la

Marx envisage la crise économique comme crise de surproduction. Tout d'abord , à l'inverse des classiques il distingue clairement les consommateurs des producteurs. En effet, il part du principe que la plupart des producteurs sont des d’ouvriers qui ne consomment pas autant qu’ils produisent (puisqu’une partie de leur production constitue la plus-value touchée par le capitaliste). Partant de là, Marx définit comme cause de la crise de surproduction l'accumulation du capital par les capitalistes (ce

rechercher la performance (en matière de productivité, de qualité, de délais et enfin de coûts) par l’amélioration continue et l’élimination des gaspillages (muda en japonais). Traditionnellement, on identifie 7 formes principales de gaspillages : > Surproduction > Attentes > Stocks > Mouvements inutiles > Transports > Processus excessif > Non-qualité Il est important de ne pas en oublier un huitième : > Créativité perdue / Perte de compétences Le principe  Intégrer l’interaction entre les

est en surplus de production lorsque la nouvelle production arrive, car les prix ont déjà baissé : la surproduction est la cause de la crise. - l’analyse d’Aftalion (1874 – 1956) : l’effet accélérateur. Ecarts entre le chiffre d’affaire et le pouvoir d’achat trop important. On assiste donc encore une fois à une crise de surproduction. Dans les deux analyses, la crise est due à la surproduction. Les prix baissent, l’investissement aussi et donc les employeurs licencient. La diminution des salaires

crises de surproduction Le libéralisme L’égoïsme profite au bien commun. La concurrence permet à l’invd d’investir là ou les profits st les + forts. L’Etat doit assurer la fct régalienne et tutélaire. La neutralité de la monnaie Eco réelle + impte que l’éco monétaire au 19°s : instrument de numération, rupture ac les conceptions traditionnelles de la monnaie (pr les classiques elle permet de mesurer la valeur et de faciliter la circulation des marchandises) Crises de surproduction L’évolution

1929 Ampleur sens précédent. A l'origine de la seconde guerre mondial. Éclate le 24 octobre 1929 à Wall Street. Car Trop grande spéculation et surproduction. Entraine → Effondrement de la production – Crise Bancaire – Dépression Solution : Intervention de l'état de l'économie, remise en cause du Système Capitaliste Lutte contre la surproduction, embauche de chômeurs pas l'État ( NEW DEAL ) Relance les exportations, réduire les importations = PROTECTIONNISME ( contraire de Libre échange )

censée se transformée en investissement. Or D= C+I = C+S = Y (revenu) = Offre d’où demande = offre La loi des débouchés considère que l’offre globale égale la demande globale. Au niveau global, il ne peut donc pas y avoir de crise de surproduction ou de sous-production. Si dans un secteur informatique l’offre est inférieure à la demande, ça veut dire que dans un autre secteur (automobile) l’offre est supérieure à la demande. Say dit que ce n’est pas grave car ce déséquilibre sera provisoire

face auquel il convient désormais de se prémunir est une surproduction pétrolière au Moyen Orient qui conduirait immédiatement à une baisse des prix du pétrole. Cette fois-ci c’est le pompiste qui propose à Mr Durand un accord. Il se propose de lui verser une prime de 150€, en échange du droit de lui vendre toute l’année son plein hebdomadaire à 1€15 du litre. Le pompiste a vu juste (il avait lu une analyse sur Pro-AT) et la surproduction massive d’or noire conduit à faire chuter les prix à 60