Surveiller et punir

Arbitrage[modifier] Il y a quatre arbitres : l’arbitre central, qui décide de tout, les arbitres assistants qui sont trois : deux sont sur les cotés, chargés de surveiller les hors-jeu et les sorties de ballon, un est à côté des bancs de touche : il vérifie les changements de joueurs et fixe la durée du temps additionnel. Pour sanctionner (c’est-à-dire punir) les fautes graves l’arbitre central peut utiliser deux sortes de cartons : le carton jaune qui avertit le joueur : en cas de deuxième carton jaune celui-ci

culture maîtrise donc ce dangereux plaisir-désir d’agression de l’individu en affaiblissant ce dernier, en le désarmant et en le faisant surveiller par une instance située à l’intérieur de lui-même, comme une garnison occupant une ville conquise. Le surmoi tourmente le moi pécheur avec les mêmes sensations d’angoisse et guette les occasions de le faire punir par le monde extérieur. Le destin est considéré comme substitut de l’instance parentale ; quand on connaît le malheur, cela signifie qu’on

Rawls (1921-2002) Théorie de la justice (1971) ; G. Simondon (1924-1989) Du mode d’existence des objets techniques (1958) ; M. Foucault (1926-1984) Les mots et les choses (1966)Surveiller et punir (1975) ; H. Putnam (1926-2016) Représentation et réalité (1988) .

combien différemment se comporte le primitif ! Quand un malheur l'a frappé, il ne prend pas la faute sur lui ; il la met au contraire sur le compte du fétiche, lequel évidemment n'a pas rempli ses devoirs ; puis il le roue de coups au lieu de se punir lui-même. Nous connaissons ainsi deux origines au sentiment de culpabilité : l'une est l'angoisse devant l'autorité, l'autre, postérieure, est l'angoisse devant le surmoi. » Le premier moment de cette ontogenèse est celui de l'interdit qui est posé

théories modernes Fin 19ième on réfléchit sur les moyens de partager le pouvoir, les fonctions les conceptions tous autour de l'organisation. Début du 20ième on parle du rôle de l'état. A part le pouvoir régalien, l'état dépasse le rôle de surveiller et punir mais essayer de répondre au besoins sociaux → naissance de l'état bienfaisance, c'est l'état qui va prendre en charge l'éducation, la santé on parle de « l'état nounou ». L'état interventionniste = remet en cause de l'état providence depuis

l’État (ou support physique du royaume). Le roi carnaval n’est-il pas d’ailleurs le reflet inversé du roi politique? Et déjà le statut même de condamné fait du protagoniste un double opposé du roi, tel que l’explique Foucault dans son ouvrage Surveiller et punir : À l’autre pôle [du monarque] on pourrait imaginer de placer le corps du condamné; il a lui aussi son statut juridique; il suscite son cérémonial et il appelle tout un discours théorique, non point pour fonder le « plus de pouvoir » qui affectait

abandonnant le vêtement sur place. Il empruntera plus tard le costume de son père pour être fin prêt le grand jour. Le mercredi 9 janvier 2013, Maya et Paul se rendent en bus au cinéma pour y être à la séance de 19h30. Alors que le hall est bondé, Paul surveille la foule pour voir s’il n’y a ni policier, ni gardien de sécurité pendant que Maya sort l’arme factice et la pointe sur un caissier en ordonnant au caissier le lui donner tout l’argent dont il dispose. Le caissier sue à grosses gouttes et tente d’ouvrir

d’Athènes. Des lois extrêmement sévères qui punissaient de morts les infractions sans se poser la question de la gravité. Vol et meurtre avaient la même peine : la mort. Le seul progrès avec les lois de Dracon : la famille, se voit refuser l’intérêt de punir. Donner au droit pénal une certaine étatisation. Dans l’antiquité romaine, l’évolution du droit pénal est également remarquable : quelques repères chronologiques historiques : création de rome 753 avant JC : 2 systèmes politiques : la république et

devant monsieur le directeur. Nicolas et ses copains, « nous sommes tous restés la bouche ouverte. C’était la première fois que nous entendions la maîtresse punir le directeur. » (p. 118) Quant à la cour de récréation, les enfants jouent au football ou souvent, ils se battent dans un coin. Chaque fois, il y a un surveillant qui les surveille pour les empêcher de se battre, mais ils se battent quand même comme on le voit dans les dessins. Leur surveillant ne comprend pas que, s’ils se battent, c'est

Mme de Rnal avait t pour moi comme une mre. Mon crime est atroce, et il fut prmdit . Jai donc mrit la mort, messieurs les jurs. Quand je serais moins coupable, je vois des hommes qui, sans sarrter ce que ma jeunesse peut mriter de piti, voudront punir en moi et dcourager jamais cette classe de jeunes gens qui, ns dans une classe infrieure, et en quelque sorte opprims par la pauvret, ont le bonheur de se procurer une bonne ducation, et laudace de se mler ce que lorgueil des gens riches appelle