Susciter Le Rejet Du Lecteur

géant, mais à la fin, il souffre. Il est noble et suscite la compassion : il devient le personnage positif. Le roseau est ironique, devient agressif. Quand le chêne est à terre, il se moque de lui et montre ainsi sa lâcheté et devient le personnage antipathique de l’histoire. 3) Un même épilogue, mais une moralité implicite inversée. Anouilh donne au chêne le mot de la fin : il meurt noblement sans avoir cédé, gagnant ainsi le respect du lecteur -> Il n’est plus puni pour son orgueil comme chez

comparaisons...) sont nombreuses, et utilisées dans une démarche argumentative, afin de solliciter l’imagination et la sensibilité du lecteur pour susciter son émotion et son adhésion. Le rythme et le jeu sur les sonorités sont particulièrement importants dans un poème engagé : la reprise d’expressions ou de structures syntaxiques (répétition et anaphore), les rejets et les enjambements, les parallélismes et les oppositions, les assonances et les allitérations, créent un dynamisme musical qui facilite

conditions, peut-on appeler Bel-Ami, héros éponyme de cet œuvre naturaliste de Maupassant, un « héros romanesque » ? Ou au contraire on le place dans le type « antihéros » à cause de ces nombreux défauts et l’impression répugnante qu’il donne au lecteur tout au long de son ascension dans la société parisienne. Pour répondre à cette problématique, on mettra en relation la définition du « héros » et celle de « l’antihéros » avec le portrait physique et moral de Bel-Ami. Qu’est-ce qu’un héros ?

5) : entrée dans le roman. Type théâtre. Dialogue argumentatif. Forme adaptée au débat d’idée (philosophie). Echange avec le lecteur. (l.31) Place très brève pour le récit mais laisse la place pour un échange entre le lecteur et l’auteur. 2. Deux plans de communication a= échange entre les personnages : prélude au récit des amours de Jacques. b= échange avec le lecteur. Distinction très claire entre les deux personnages. Volonté d’établir une communication : le roman n’est pas seulement un

mais ses sentiments s’expriment à travers des modalisations ou les types de phrase. Le poète peut aussi se désigner en ayant recours à la deuxième personne : on ne confondra pas ce « tu » avec celui qui renvoie à un destinataire, l’être aimé, le lecteur -le « je » poétique fait entendre toute voix humaine •mélancolie, mal du siècle, spleen : prise de conscience d'une inadaptation fondamentale de l'être sensible à son environnement social. Ce mal du siècle peut s’exprimer par la solitude, la tristesse

du nouveau, du beau mais aussi le côté néfaste qui ruine les clientes et qui déshumanise.   Zola, Au bonheur des dames (1883)    Chapitre 1. "Incipit" Explication Ce passage illustre la vocation première d’un incipit : renseigner le lecteur et susciter son intérêt, afin que d’établir un pacte de lecture qui permette de cerner les principales caractéristiques de l’esthétique du roman. I. La fonction d’exposition 1) La structure du texte Cet extrait se fonde sur l’alternance de passages descriptifs

une fiction. Il se montre ironique par rapport à la société dans laquelle il vit. Il reprend un argument courant à l’époque lorsqu’il dit que son roman est une fiction mais qu’il dit qu’il est vrai puisqu’il représente la société. Il prévient les lecteurs que si ça ne leur convient pas, ils doivent changer de société. Il prévient les critiques et met la faute sur le peuple par l’ironie. Avec cette intervention, Stendhal brise l’illusion romanesque. Le rouge et le noir n’est pas un conte philosophique

bataille B. Mise en scène de la mort (théâtralisation) II-Une implication du lecteur et du narrateur A. Evocation de la souffrance des soldats dans un registre pathétique (lecteur) B. Une critique de Napoléon (narrateur) I- Un tableau saisissant de la déroute de l’armée A. Description réaliste et historique du champ de bataille relique, précision historique / encrage, réalisme - lieux précis qui renvoie le lecteur à la réalité historique «Le 29 octobre» (1912) + «l'abbaye de Kotloskoï »

ou bien encore Grégoire de Nysse. Paradoxalement à la fin de sa vie il rejoindra les hérétiques montanistes. Montanisme : mouvement catholique hétérodoxe fondé au Ième s. par Montanus en Phrygie (Turquie). Mouvement hérétique qui rejète le clergé et toute hiérarchie. Il exalte le martyre. Montanus se présentait comme le médium du Paraclet = esprit saint qui apporte la vérité. C'est un chrétien intransigeant qui a des positions extrêmes : mariage, chasteté, jeûne … Sur les

modalisateur=faiblesse affirmée et "périls" reconnus dans lesquels elle est (l.9). Preuve d'humilité ds son attitude physique en se jetant à ses pieds (l.7)= attitude théâtrale de suppliante. Par cet aveu exceptionnel et courageux= se met en valeur et espère susciter admiration de son mari. b) un perso qui ne cède pas Sûre de sa fidélité. Education de sa mère (l.11) qui a appris les dangers de la pass° et faiblesse humaine et nécessité de la volonté de combattre ses instincts naturels au nom de la vertu (l