Suzeraineté

Louis VI obtient que le comte de Flandre lui prête hommage et reçoive de lui l’investiture du comté. Après deux ans de discussion, Louis VII obtient d’Henri II Plantagenêt l’hommage pour la Normandie en 1151. Il y a donc une affirmation de la suzeraineté royale au cours du XIIe siècle, favorisée par deux éléments : - Le pouvoir royal n’est pas resté sans représentants. De 987 à 1316, la descendance en ligne directe d’un héritier a toujours été possible. Les historiens appellent cela « le miracle

de faire face aux dangers qui les environnaient, Philippe, alors âgé de 23 ans, fit en sorte d'évincer son neveu, et prit sa place. Afin d'affronter la menace que représentaient les Illyriens face au royaume de Macédoine, Philippe accepta la suzeraineté de Bardylis, roi des Illyriens, dont il épouse la fille, afin de créer une alliance avec eux, et de conserver ainsi la puissance du royaume de Macédoine. S'inspirant ensuite de ce qu'il avait appris à Thèbes, il restructura la cavalerie et

point : Au début du XIIIe siècle, alors que la chrétienté connait un essor économique, les capétiens se proclame héritiers de Clovis et de Charlemagne sur le trône de France. Le roi Philippe II dit « Auguste » voulut concrétiser sa suzeraineté nominale sur ses puissants vassaux, en diminuant la pression exercée par les Plantagenêt sur son petit royaume, au Sud et à l'Ouest. Il voulut, au Nord, chercher un accès à la mer et rogner sur l'opulent comté de Flandre alors à son apogée, tout

Levant et d'Afrique du Nord. En 1230, Marseille reconnaît la souveraineté du comte de Toulouse au détriment de celle du capétien Charles d'Anjou. Après un siège de huit mois, Charles d'Anjou s'empare de la ville. Marseille doit reconnaître sa suzeraineté mais se révolte à nouveau en s'alliant avec Alphonse d'Aragon. A nouveau vaincue, elle doit subir l'autorité d'un viguier représentant du comte de Provence. Conséquence du long conflit qui oppose les Aragonais (Maison d'Aragon) et les Angevins

comme la doctrine monarchiste), soit encore dans le corps social dans son ensemble (doctrine démocratique). Cette dernière doctrine s’est imposée en France au terme d’une longue évolution. La souveraineté a tendu tout d’abord à se substituer à la suzeraineté, le pouvoir royal assurant progressivement son autorité face aux grands féodaux. D’attribut du monarque, elle s’est ensuite élevée au rang d’élément constitutif de l’État. Cette notion a revêtu en France une importance non négligeable, tenant

administration qui semble efficace.Philippe VI hérite d’une administration forte qui s’est considérablement développée et accentuée sous les Capétiens. La féodalité au profit du roi en sort renforcée et il devient le suzerain de tous les vassaux. Cette suzeraineté lui permet de légiférer sur l’ensemble du royaume et d’étendre son influence. Il est possible de prendre l’exemple de l’état des feux de 1328 pour comprendre la structure administrative à cette époque et de son efficacité. C’est une liste de 36

vassaux MAIS limites = pas eu lieu en Bretagne, Gascogne etc…3) L’administration, pilier de l’État royal de l’autorité du roi· Essor du pv royal depuis la fin du XIIème (depuis Philippe Auguste)· Roi au sommet de la pyramide féodal = impose sa suzeraineté à ses vassaux = étend sa souveraineté· Etat des feux 1328 (montre maturité administrative + prospérité royaume avc pop abondante) = idée structure administrative > 36 circonscriptions (vicomté de Paris, 24 bailliages et 11 sénéchaussées) Recensement :

roi et ses fidèles, une coexistence entre les 2. « Le vassal de mon vassal n’est pas mon vassal » I/ Le roi de France face a la féodalité. A/ Un roi parmi les vassaux. B/ La marginalisation du pouvoir royal. II/ Une notion nouvelle : la suzeraineté. A/ L’extension du pouvoir royal. B/ Un roi suprême suzerain. A cette époque il faut signaler que comme aux temps carolingiens, le sacre recommence à faire le roi, c'est-à-dire que le sacre redevient le rite créateur par excellence de la royauté

1162-1200. La seigneurie de Menton est finalement acquise en 1346 par Charles Grimaldi, après des conflits entre Guelfes et Gibelins ayant intéressé toute la région, ayant abouti à la partition définitive du comté de Vintimille. Elle restera sous la suzeraineté de Monaco, moins peuplée, jusqu'en 1848, — soit pendant plus de cinq siècles, avec la seule parenthèse révolutionnaire. Lire notamment « Menton sous les Vento » de M. Lapasset in Ou Pais' Mentounasc, n° 54, juin 1990, Menton. Histoire de Monaco

libre, mais il n’est pas possible en tant que chrétien où juif de travailler dans l’administration par exemple. À partir des années 1040, des famines répétées multiplient les mécontentements : au Maghreb, les Zirides de Tunisie s'émancipent de la suzeraineté Fatimide en 1048 ; en Sicile, les Normands s'emparent de Palerme en 1072 que la dynastie ne réussit pas à reprendre. En Orient, les Seldjoukides prennent la Syrie et Jérusalem en 1070. Les Fatimides et leurs vizirs n’arrivent pas à gérer leur déclin