Swiss Life

en 1986 dans l'entrée du bureau du producteur James L. Brooks. Il avait été fait appel à Groening pour lancer une série de courts métrages d'animation pour The Tracey Ullman Show, qui seraient adaptés de son comic strip Life in Hell. Lorsque Groening compris que l'animation de Life in Hell demanderait qu'il renonçât aux droits de publication, il décida d'aller dans une direction différente et esquissa rapidement une famille dysfonctionnelle, nommant les personnages d'après les membres de sa famille

dessinateur, scénariste et producteur de télévision américain né le 15 février 1954 à Portland, Oregon. Il est le créateur du comic strip Life in Hell et des séries télévisées d'animation Les Simpson et Futurama. Apres avoir reçu une proposition de James L. Brooks pour une adaptation de son comic strip (bande dessinée de quelques vignettes, généralement humoristique) Life In Hell, Groening, craignant de perdre ses droits d’auteurs, a décidé de créer un nouvel ensemble de personnages pour The Tracey Ullman

Simpson en 1986 dans l'entrée du bureau du producteur James L. Brooks. On avait fait appel à Groening pour lancer une série de courts métrages d'animation pour The Tracey Ullman Show, qui seraient adaptés de son comic strip Life in Hell. Lorsque Groening comprit que l'animation de Life in Hell demanderait qu'il renonçât aux droits de publication, il décida d'aller dans une direction différente4 et esquissa rapidement une famille dysfonctionnelle, nommant les personnages d'après les membres de sa famille

power poses—and the risk of being oblivious to that threat. “The electric technology is within the gates,” he wrote, “and we are numb, deaf, blind and mute about its encounter with the Gutenberg technology, on and through which the American way of life was formed.”2 McLuhan understood that whenever a new medium comes along, people naturally get caught up in the information—the “content”—it carries. They care about the news in the newspaper, the music on the radio, the shows on the TV, the words spoken

un adversaire en particulier. Il n’a pas pour but de provoquer les Soviétiques. C’est dans ce cadre tout neuf des nations unis que les premiers contingents de GI débarqueront sur le sol français quelques semaines suivantes. The American Way of Life : During the time of the Cold War, the expression was commonly used by the media to highlight the differences in living standards of the populations of the United States and the Soviet Union. At that time, American popular culture broadly embraced

vecteur essentiel de la puissance d'un état. - La langue anglaise est la langue maternelle de 350 millions de personnes, et c'est surtout la seule véritable langue internationale. 2 L’ « american way of life ». - Des modes et des marques qui distillent « l'american way of life » (sur les 22 marques les plus connues du monde, 20 sont américaines). - Des images qui diffusent les valeurs américaines 3 Un contrôle croissant des médias. - l’industrie du cinéma : les films américains

exportent dix fois plus qu’ils n’importent, l’UE absorbant 80% de ces exportations. Longtemps cette exportation a véhiculée les valeurs des WASP (White Anglo-saxon Protestants), elle a popularisé le mode de vie consumériste de l’ « American way of life ». Mais cette culture est aujourd’hui métissée par les apports des minorités ethniques comme les Latinos (Jennifer Lopez), les noirs (Tupac, Dr Dre). (Internet avec les différents sites et moteurs de recherches d’origine américaine. (L’influence

filles mettent à plusieurs reprises en avant la liberté, on suppose que ce sont des émigrés vu que les filles sont en adoration devant l'Amérique et qu'il est dit dans le texte « Tu ferais mieux de perdre ton accent ! ». Cela reflète l'American way of life, symbole de liberté et de possibilité pour les émigrants « Libre d'être ce que tu veux être ». Question n°2: Quelles sont les critiques ou insuffisances du modèle américain qui apparaissent dans les documents 2 et 3 Contrairement aux filles qui

1- Une génération est toujours porteuse des suivantes. - Comment ne pas se sentir aujourd’hui héritier des bonheurs et malheurs de la génération 68 ? - La génération d’avant mai 68 a vu l’apparition d’une génération désabusée , lassée et asphyxiée.Cette génération si bien décrite par Françoise Sagan dans Bonjour Tristesse. En effet, une génération après Mai 68 lui succède et c’est celle des années 70 , qui choisissent la marginalité , l’indépendance de la jeunesse, les expériences

juste de la culture nationale américaine. Les Américains sont très nationalistes, ils sont fortement rattachés à leur nation, ils aiment y vivre et revendiquent une identité commune entre eux. Le style de vie américain, « The American Way of Life » est une expression désignant une éthique nationale, une culture commune. Les principes nationaux élaborés dans la Déclaration d’Indépendance sont : la vie, la liberté et la recherche du bonheur.. Cette notion s’est popularisée lors de la Guerre