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travers cette sculpture affreusement réaliste, Duane Hanson montre sous un angle peu flatteur la ménagère américaine moyenne des années 60 que l’on pouvait croiser au quotidien. Face à cette œuvre on peut voir l’insulte vis-à-vis de l’ « American way of life » et principalement de la consommation des pays occidentaux qui est ici fortement soulignée. Cette œuvre dresse un miroir devant nous pour nous rappeler que l’on consomme plus que ce dont on a réellement besoin. Le consommateur endurci apparaît comme

portrait peu flatteur de la ménagère étatsunienne moyenne de la fin des années 1960. Pourtant, cette oeuvre n’est pas une caricature : un tel personnage fait partie du quotidien de l’époque. Dans cette scène, c’est la médiocrité de l’« American way of life » et plus généralement de la société de consommation occidentale qui est soulignée, dressant face à chacun de nous un miroir. Le consommateur apparaît comme un drogué ou un zombie errant dans les rayons d’un supermarché, seul. L’acte d’achat est présenté

TITRE : Death by Hamburger (Mort par Hamburger) AUTEUR : David LaChapelle DATE DE L'OEUVRE : 2001 NATURE : Photographie MOUVEMENT ARTISTIQUE : Hyperréalisme BIOGRAPHIE DE L'AUTEUR : David Lachapelle est un photographe et réalisateur américain né le 11 mars 1963 aux États-Unis. Influencé par le surréalisme et l'humour, il est connu dans les domaines de la mode, de la publicité et de la photographie d'art. Beaucoup de ses œuvres ont comme but de dénoncer les excès de la société, souvent

contestation contre la domination américaine, l’effondrement de l’URSS constitue une réaffirmation de cette hyperpuissance. Le monde, aujourd’hui multipolaire n’affaiblit pas cette puissance qui a un impact culturel mondial, c’est la « american way of life ». Ce mode de vie dicte des valeurs ancrées dans des sociétés à jamais touchées par les États-Unis.

le travail à la chaine (fordisme) continue à être présent malgré les progrès technique où les machines commencent déjà à remplacer les hommes. Les Etats-Unis sont entrés des les années 1920 dans la société de consommation appelé le « american way of life ». Ces normes et modèles commencent à se propager dans le monde entier d’ou le rayonnement. Les produit phares de l’industrie américaine tels que l’automobile, la radio…) sont accessibles à une majorité de la population qui est dominée par la classe

la sphère privée ») → Capitalisme fondé sur le marché permettant à « la main invisible » d'opérer (expliquer) / Implication minimum de l'Etat / Mythe de la ruée vers l'Or, des grands entrepreneurs → Richesse à la portée de tous / American Way of Life → Mythe très loin de la réalité : pas de mobilité sociale (coûts élevés éducation → alors que ces diplômes de l'Ivy League surreprésentés dans l'élite : parler de « At Berkeley ») C) Un nouvel âge des inégalités aux Etat-Unis → Aggravation des

années 1960 . Son œuvre est néanmoins trop parfaitement réaliste pour être une caricature : Hanson représente un personnage qui fait vraiment partie du quotidient de l'époque. De manière générale, l'artiste dénonce la médiocrité de l' «  American way of life », et plus généralement de la société de consommation occidentale. Le fait d'isoler dans une sculpture un seul consommateur permet de mieux en saissir l'étrangeté , alors que cette réalité ne nous choque pas quand nous sommes plongés dans une foule

aspiration to study in Philadelphia. First of all, I would like to improve my linguistic skills because I might use english while studying accounting later and my future career. Secondly, I would know better the American way of life and their culture because _________is a typical Americain high school. I'm impressed by the several activities proposed by your school notably the class of theology. It is very important to me to learn more about my religion from a different point

un caddie qui déborde de produits. Son regard est vide, fatigué. Elle a une cigarette dans la bouche et des bigoudis dans les cheveux. Cette femme sculptée et habillée de réelles vêtements traduit le miroir de la société américaine « American way of life ». Pour effectuer ses sculptures il fait appel à de réel modèle vivant pour faire des moulages de leur corps afin d’offrir aux spectateurs une réelle vision de la vie quotidienne américaine. Il se veut hyperréaliste. Les vêtements, les bigoudis, ou

portrait peu flatteur de la ménagère étasunienne moyenne de la fin des années 1960. Pourtant, cette œuvre n’est pas une caricature : un tel personnage fait partie du quotidien de l’époque. Dans cette scène, c’est la médiocrité de l’« American way of life » et plus généralement de la société de consommation occidentale qui est soulignée, dressant face à chacun de nous un miroir. Le consommateur apparaît comme un drogué ou un zombie errant dans les rayons d’un supermarché, seul. L’acte d’achat est