Swissair

sont difficiles pour toutes les compagnies aériennes traditionnelles, et certains complètements déstabilisés ne réussiront pas à s’en sortir. Ainsi, la Sabena (compagnie belge) dépose le bilan, suivie quelques temps après par la compagnie suisse Swissair qui renaîtra sous le nom de Swiss. Du côté des compagnies américaines, la plupart sont en grandes difficultés. Même la plus grande compagnie internationale American Airlines, au bord de la faillite, se place sous la protection de la loi américaine

confort du lieu de travail n'existait pas encore, le service à bord était beaucoup plus réduit. L'évolution des appareils apportera plus de sécurité. L'avion resta toujours un mode de transports de luxe; la 1ère compagnie à embaucher des P.N.C fut Swissair en 1930. Les stewards et hôtesses de l'air seront recrutés à travers leur apprentissage dans l'hôtellerie. Au lendemain de la guerre, de nombreuses IPSA (Infirmières Pilotes Secouristes de l'Air) qui avaient servi pendant le conflit mondial à bord

que jamais ébranlé la confiance au sein de l’Administration fédérale dominée par les partis bourgeois et je n’oserai pas vous citer les critiques de certains hommes politiques de renom de partis bourgeois sur le rôle des banques dans la débâcle de Swissair. Une nouvelle fois, c’est le public qui paie les coûts de la débâcle et non la direction, les membres du conseil d’administration et les banques, qui en sont à l’origine. Comme personne n’intervient - de l’autorité de surveillance de la Bourse, aux

salariés à l'époque. Enfin concernant les devoirs moraux liés à la propriété, ils ne sont pas non plus évidents. Un actionnaire n'a pas forcément le devoir moral de sauver une entreprise en la recapitalisant : par exemple, le « grounding » de Swissair. Possédant de fortes liquidités financières, cette compagnie aérienne fondée en 1931, surnommée la « banque volante », a pu investir dans des participations au sein d'autres compagnies sans qu'elles apportent les bénéfices escomptés. Les attentats

l’énergie, stimule l’enthousiasme et offre, face à l’extérieur, une image cohérente. Ceci se vérifie encore aujourd’hui dans certaines entreprises à forte culture, qui sont d’ailleurs aussi celles qui ont la meilleure image dans le marché (ex. en Suisse: Swissair, Migros, …). … mais aussi une faiblesse Cependant, une forte culture présente aussi des faiblesses marquées. Elle peut conduire à l’enfermement, au « nombrilisme », à un manque de contact avec la réalité du marché et de la concurrence. Elle attire

partagées entre quatre grands SIR (Sabre, Apollo/Galileo, Amadeus, Worldspan). Ces concurrents établis se disputent les mêmes clients ce qui représente pour Air Canada la majeure partie de la concurrence. United Airlines, American Airlines, Air France, Swissair et d'autres, demeurent leurs plus grands concurrents. Il ne faut pas sous-estimer la possibilité que de nouveaux concurrents pénètrent le marché en offrant aux consommateurs des prix réduits. La probabilité que de nouvelles entreprises percent le

Agricole, BNP, Barclays, CitiBank, EDBE, Deutsche Bank, AAIB, CDB, Coldwell Banker, Bank of New-york. • Énergétique : Total, Pennzoil, Shell, Esso, Hycalog, BG Egypt, ABB, Mobil 1, Segas, Exon Mobil, Agip, BP, Halliburton. • Aérien : Air-France, Swissair, Egyptair, American Airlines. • Hôteliers-Voyages: Hilton, Accor, Thomas Cook, Marriott, Sheraton, American Express, Mövenpick, Sofitel, Four Season, Budget. • Breuvage-Tabac : Philip Morris, Bristish American Tobacco, Coca-Cola, Pepsi, Cemex,

Alitalia, CSA Czech Airlines, Delta et Korean Air. KLM devrait la rejoindre cette année. Les adhésions de China Southern, Aeroflot, Continental et Northwest font l’objet de négociations en cours. Les anciennes alliances : •Qualiflyer regroupait Swissair, Sabena, TAP Air Portugal, AOM, Turkish Airlines, Crossair, Air Littoral, Air Europe, Volare et LOT. • Wings réunissait KLM, Northwest. LES COMPAGNIES Classements des aéroports européens Les principaux aéroports d’Europe Les principaux

on peut distinguer ceux qui, comme les exemples susmentionnés, reprennent le nom complet de la marque, de ceux qui se forment sur la base : • d’abréviations (mot raccourci dont on garde les premières lettres ou l’initiale ou la finale) : Swiss pour Swissair Lines. • d’acronymes plus ou moins conventionnels (groupe de mots raccourcis en conservant le début de chaque mot) : ComCom pour Commission fédérale de la communication. • de sigles (groupe de mots raccourcis en ne conservant que la première lettre

On assiste donc par exemple à la faillite aux Etats-Unis de Lehman Brothers, au rachat de Merryl Lynch, à la nationalisation d’ AIG et à la mise sous tutelle de Fannie Mae et Freddie Mac, ainsi qu’à la faillite de nombreuses autres banques comme Swissair (Suisse) et Sabena ou encore Natixis (France) qui ont subi aussi les conséquences de la crise. D’une crise immobilière, puis bancaire, à une crise financière Avec la chute de Lehman Brothers par exemple, plusieurs banques européennes (allemandes