Sydney Pollack

en arrivant, il veut conservé sa singularité et ne veut pas entrée dans l’esthétique hollywoodienne, conservé ses liberté artistique et veut travailler seul. Sur place c’est Henri Mancini qui va l’aider à percer. Un château en enfer, 1969 de Sydney Pollack. Un été 42 de Robert Mulligan en 1971. L’affaire Thomas Crown en 1968, chanson romantique Georges Delerue, remporte un oscar et 3 césars en France. Compose plus de 350 partitions pour le cinéma. Grande passion de composer pour le cinéma

a trois ans, lors d'un voyage en train. Je l'ai lu d'une traite et il m'a si profondément bouleversé que j'ai immédiatement souhaité le porter à l'écran. J'ai découvert que mon ami Anthony Minghella en avait acquis les droits avec son associé Sydney Pollack et qu'il tenait à le réaliser. Et alors ? J'ai fait le siège de leur maison de production et, par bonheur, je suis arrivé à mes fins. Anthony Minghella développait de nombreux autres projets et ne trouvait pas le temps de s'atteler à ce film

Folamour ou comment j'ai appris à ne plus m'en faire et à aimer la bombe est l’un des films cultes de Stanley Kubrick, classé comme étant troisième meilleur film humoristique américain derrière Certains l'aiment chaud de Billy Wilder et Tootsie de Sydney Pollack par l'American Film Institute en 2000, il a également remporté les 3 prix et 5 nominations suivantes : Oscars / Academy Awards 1965 (édition n°37) Oscar du Meilleur film Oscar du Meilleur réalisateur Oscar du Meilleur acteur BAFTA Awards

musical de Lars Von Trier (2000) • L’emploi du temps - Drame de Laurent Cantet (2001) • Fair play - Drame de Lionel Bailliu (2006) • Le fils de l'épicier - Comédie dramatique de Eric Guirado (2007) • La firme - Film policier de Sydney Pollack (1993) • France boutique - Comédie de Tonie Marshall (2003) • The full monty - Comédie de Peter Cattaneo (1997) • Glengarry - Drame de James Foley (1993) • Inheritance - Drame de Per Fly (2006) • L’ivresse du pouvoir -

Sirk. Scénario d’Orin Jannings et E.M. Remarque, d’après son roman Zeit zu leben und Zeit zu sterben (Un temps pour vivre, un temps pour mourir). Remarque apparaît dans ce film comme acteur (Le Professeur Pohlman). 1977 : Bobby Deerfield de Sydney Pollack. Scénario d’E.M. Remarque, d’après son roman Der Himmel kennt keine Günstlinge (Le Ciel n’a pas de préférés) et Alvin Sergent. 1979 : À l'Ouest, rien de nouveau (All Quiet on the Western Front). Téléfilm de Delbert Mann. Scénario de Paul

dont les travaux les plus connus ont été réalisés pendant la Grande Dépression. Les Raisins de la Colère, John Ford, 1940 – long métrage Des souris et des hommes, Gary Sinise, 1992 – roman J Steinbeck - long métrage On achève bien les chevaux, Sydney Pollack, 1969 – long métrage Banque d’images (par colonnes) 

« atteinte au moral de l’armée » (Wikipédia). Après la guerre, nombre de ses romans seront adaptés au cinéma (par exemple Le Temps de vivre, le temps de mourir de Douglas Sirk d’après Zeit zu leben und Zeit zu sterben ou Bobby Deerfield de Sydney Pollack d’après Der Himmel kennt keine Günstlinge (en 1977, donc après sa mort) avec Al Pacino). Il revient en Europe au cours des années 60 après avoir divorcé pour la deuxième fois d’Ilse Jutta Zambona pour se marier avec Paulette Godard, actrice américaine

prestation dans ce film, qui confirme, encore une fois, l’incroyable performance du comédien derrière ce "double rôle". Certain l’aime chaud n’est pas le seul film à utiliser le thème de l'ambiguïté sexuelle comme levier comique. Dans Tootsie de Sydney Pollack, Dustin Hoffman joue un acteur qui n’arrive pas à trouver de travail à cause de son caractère trop exigent. Il décide donc de passer une audition déguisé en femme et contre toute attente, décroche le rôle. C’est alors que Michael (jouée par Dustin

à Paris. Puis il a créé son agence, la « Frank O. Gehry and Associates Inc. » à Los Angeles en 1962. Il a obtenu le prix Pritzker en architecture en 1989. Par ailleurs un film « Esquisses de Frank Gehry » à été réalisé à son effigie réalisé par Sydney Pollack en 2005 Il a étudié à l'université de Californie du Sud (USC) à Los Angeles (1949-54) et à la Harvard Graduate School of Design de l'université Harvard (1956-57). Fraîchement diplômé d'architecture de l'université de Los Angeles, il côtoie

l'enjeu idéologique. L'intérêt de Mon beau-père, mes parents et moi réside pourtant dans cette jonction difficile entre deux générations et deux types d'humour. D'un côté, la comédie de mœurs des années 70 et 80, telle qu'ont pu la pratiquer Sydney Pollack ou Woody Allen, et que ramènent avec eux Hoffman et Streisand. De l'autre, le comique plus dérangé qui s'est mis en place dans les années 90 autour de Ben Stiller, Mike Myers ou Jim Carrey. Entre les scénarios psychologiques des premiers et les