Sylvie et le Fantôme

Illusions fantasmagoriques (1898), le Spectre (1899), Évocation spirite (1899), l’Antre des esprits (1901) et les Quat’ Cents Farces du diable (1905). À sa suite, une poignée de réalisateurs prometteurs s'essaient au genre, le peuplant de fantômes (le Fantôme du Moulin Rouge de René Clair en 1924), de savants fous (la Folie du docteur Tube d’Abel Gance en 1915), de malades mentaux (Une page folle [ou Kuratta ippeiji] de Teinosuke Kinugasa en 1926), de momies (les Yeux de la momie Ma [ou Die Augen

nous sommes obligés de remettre toute partie concernant les concordances à une publication informatisée sous forme de cd-rom ou de l’internet. février 2001 Takeshi TAMURA 1. Répertoire des graphies nervaliennes - Les originaux et l’édition - I. Sylvie et Chansons et légendes du Vaolois, édition établie par Setsuko UMEHIRA, Yoshio MARUYAMA, Takeshi TAMURA, Tokyo, mars 1999, Département de langue et littérature françaises, Faculté des Lettres, Université de Tokyo. 2. LES / FILLES DU FEU / NOUVELLES

dessus de la scène et un cameraman sur scène filme et retransmet les images sur l’écran.Aussi dans ce spectacle, deux éléments en particulier nous permettent de penser que la vidéo est tout à fait pertinente dans la mise en scène.La représentation du fantôme. Dans cette pièce, la sœur jumelle de Christian, est sans arrêt présente dans les esprits de chacun, on nous dit à quel point cela a été dur et la tristesse que cela a procuré à tous les membres de la famille, et plus on avance dans le spectacle,

Fables . Les Fourberies de Scapin Les Femmes savantes Les Fausses confidences Frankenstein Fog La Fin de Chéri Les Filles du feu La Fortune des Rougon Les Fleurs du mal . Fêtes galantes La Fausse suivante Le Fantôme de Lady Margaret Faust G Gargantua Gigi Guerre et Paix . George Dandin Germinal . La Guerre de Troie n’aura pas lieu Le Grand Meaulnes La Gloire de mon père La Guerre des boutons Le Guépard . La Guerre

l'accouchement ; je ne connus d'elle qu'une photo sépia posée sur le piano dont elle avait joué, désormais fermé, impérial et silencieux, une photo qui a pâli trop vite, où, dès mon adolescence, je ne distinguais plus guère qu'un élégant fantôme crayeux. Mon père fut l'autre fantôme de mon enfance : soit qu'il m'en voulût d'avoir causé le décès de sa femme, soit qu'il me méprisât, il ne se montrait ni présent ni attentif. Riche de la dot de ma mère, il dépensa l'argent à acheter des milliers de volumes afin

Elémentaire, Galerie Artra, Milan, Italie. 1999 Nature d’un lieu (à propos d'un Ecart), Frac Bourgogne, Dijon. 1995 Espace d'Art Contemporain de la ville de Paris. Group show 2009 Le sort probable de l’homme qui avait avalé le fantôme, La Conciergerie Les monuments nationaux , Mnam Centre Georges Pompidou, Paris In between , une étrange familiarité, le château de Nemours, Nemours Un plan simple, centre d’art Mira Phalaina, curator association le Bureau

Vénus en l'an 2000, l'onirisme exploité par Marcel L'Herbier dans La Nuit fantastique, précédant de peu le fantastique médiéval des Visiteurs du soir de Marcel Carné ; tandis que Serge de Poligny insuffle une sorte de romantisme poétique au Baron fantôme, dans lequel Cocteau momifié et recouvert de toiles d'araignées tombait en poussière au moindre souffle. Photographie Les Visiteurs du soir, M. Carné Arletty (1898-1992) joue Dominique dans Les Visiteurs du soir, de Marcel Carné en 1942. En choisissant

comprendre les autres. Il n’y a que dans l’art qu’il y a des certitudes. A la fin, quatre paragraphes le décrivent lui et sa vie. On dirait une oraison funèbre. Personnages : Yves Hill, romancier, Maria, sa femme de ménage, la journaliste Le fantôme d’un oiseau Histoire : Le patient n° 39, un blessé de guerre, brûlé sévèrement, est admis dans un hôpital. Il est pris en charge par le docteur Moran qui s’intéresse beaucoup à lui. Au départ, il ne comprend rien et a perdu l’usage du langage.

sa tante tandis que la Princesse l’est d’un homme qui n’est pas son mari. Entre inceste et infidélité le chemin de la « condition d’échec » est tracé ; on perçoit ici l’influence toute proche du Romantisme. Il n’est que de se rappeler le héros de Sylvie dont Nerval dépeignait l’incapacité, malgré des circonstances très favorables, à cesser d’accumuler des obstacles entre lui et l’objet de ses sentiments, créant lui- même sa perte. 2. La « condition féminine » : facteur de non- accomplissement

défauts que par ses qualités, plus séduisant par ses vices que par ses vertus : voilà M. Dumas tel qu’on l’aime, tel qu’il est, ou du moins tel qu’il me paraît en ce moment ; car, obligé de l’évoquer pour le peindre, je n’ose affirmer qu’en face du fantôme qui pose devant moi je ne sois pas sous quelque charme magique ou quelque magnétique influence. xxxxxxxxxxxx (1) Nous devons excepter de cette littérature agenouillée sous le sabre, l’auteur d’Agamemnon et de Pinto , M. Lemercier, génie original dont