Sylvie Nerval

un monde merveilleux, loin de toute réalité. Au contraire, la fable de Jean de La Fontaine, « La laitière et le pot au lait », écrite en 1678, insiste sur l’aspect anticipateur du rêve, en relation directe avec la réalité. Enfin, en 1855, Gérard de Nerval va appuyer cette idée de distinction rêve/réalité en racontant dans Aurélia la confusion qu’il fait entre ces deux mondes. Ainsi, on peut légitimement se demander si le rêve est vraiment bénéfique pour l’homme, ou si il présente des risques néfastes

Auteurs:     •  Victor  Hugo  (1802  –  1885):  Hernani,  Les   Contempla&ons  («  Pauca  Meae  »)   •  Alfred  Musset  (1810  –  1847):  «  Le   Pélican  »   •  Gérard  de  Nerval  (1808  –  1855):  «  Une   Allée  du  Luxembourg  »   •  Chateaubriand  (1768  –  1848):  Mémoires   d’outre-­‐tombe   -­‐  Caractéris5ques:  Révolu&on  li[éraire  /   transgresser  les

Introduction générale Chateaubriand Atala 18ème série LE THEATRE ROMANTIQUE, HUGO, HERNANI 1ère leçon 2ème leçon Introduction générale Pistes pour une lecture autonome 19ème série LA POESIE ROMANTIQUE 1ère leçon 2ème leçon Gérard de Nerval Un exemple de sonnet 20ème série L’EPREUVE ORALE 1ère leçon 2ème leçon 3ème leçon 4ème leçon Répartition du temps La liste du bac Votre présentation Quelques conseils 7 1 ère Français 1-FR-0702-EAD FRANÇAIS SOMMAIRE GENERAL SIXIEME

ruiner définitivement tous les autres mécanismes psychiques et à se substituer à eux dans la résolution des principaux problèmes de la vie. Origine et histoire du mouvement Dans le courant du XIXe siècle, le « super naturalisme » de Gérard de Nerval, le « surnaturalisme » d'Emmanuel Swedenborg et aussi le symbolisme de Charles Baudelaire et de Stéphane Mallarmé et, enfin surtout, le romantisme allemand de Jean Paul (dont les rêves annoncent l'écriture automatique) et d'Hoffmann peuvent être considérés

symbolisme. Vers 1820 nait le romantisme. Ce mouvement, inspiré par Rousseau, prône l'expression d'une nouvelle sensibilité et l'exaltation du moi en harmonie avec la nature. Les principaux auteurs du romantisme, c'est-à-dire Hugo, Vigny, Musset et Nerval, abandonnent les règles classiques, par exemple les trois unités au théâtre, et marquent ainsi une coupure avec le XVII et le XVIIIèmes siècles. Les principaux thèmes sont la mélancolie (la nostalgie d'un passé perdu, notamment le Moyen-Age, mais

dans leurs poésies. La première poésie a été écrite par Louise Labé, en 1555, son titre est ‘’Je vis, je meurs..’’, elle va insister sur l’expression personnelle grâce au pronom personnel ‘’je’’ qui est omniprésent dans toute la poésie. Gérard de Nerval, grâce à son poème nommé ‘’Une allée du Luxembourg’’ écrit en 1852 va utiliser le pronom personnel ‘’elle’’ ce qui va faire une poésie beaucoup moins personnelle, il comparera par la suite une jeune fille à un oiseau, ce qui montrera la légèreté

DANS LES VALS ET LES BEAUX BOIS FRAIS DU Et sans penser à rien on regarde les cieux… TENDRE ÉTÉ SI PALE Hélas ! une voix crie : « En voiture, messieurs ! » LA DOUCE NUIT LUNAIRE ET PLEINE D’ÉTOILES Gérard de Nerval C’EST TON VISAGE QUE JE NE VOIS PLUS Guillaume APOLLINAIRE L'Hirondelle et les petits Oiseaux Une Hirondelle en ses voyages Les Oiseaux se moquèrent d'elle : Mais

‘Adoniram’ dans le Voyage en Orient de Gérard de Nerval I. Introduction « La Légende du calife Hakem, l’Histoire de Balkis et de Salomon montrent à quel point Gérard de Nerval s’était pénétré de l’esprit mystérieux et profond de ces récits étranges où chaque mot est un symbole […] » (Cogez 2008 : 221 ; italiques en original). Avec cette citation Théophile Gautier, un ami de Nerval, vient à l’essentiel. Les deux contes ne montrent pas seulement que Nerval était aussi capable de produire un autre genre

autres mécanismes psychiques et à se substituer à eux dans la résolution des principaux problèmes de la vie1(XXe siècle) Origine et histoire du mouvement[modifier le code] Dans le courant du XIXe siècle, le « super naturalisme » de Gérard de Nerval, le « surnaturalisme » d'Emanuel Swedenborg et aussi le symbolisme de Charles Baudelaire et de Stéphane Mallarmé et, enfin surtout, le romantisme allemand de Jean Paul (dont les rêves annoncent l'écriture automatique) et d'Hoffmann peuvent être considérés

PREFACE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p2 Arthur RIMBAUD Le dormeur du val . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p3 Paul FORT Complainte du petit cheval blanc . . . . . . . . . . . . . . . . p4 Gérard DE NERVAL Le point noir. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p5 Alphonse DE LAMARTINE L’isolement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p6 Louis ARAGON Elsa au miroir. . . . . . . . .