Symbolique du cheval

couleurs principales sont le noir, le gris et le blanc. On y distingue des caractères d’imprimerie de journal Description (2) Au premier plan, un homme démembré, décapité. A gauche, une femme tenant un enfant. Au dessus un taureau. Au centre, un cheval blessé. A droite, un homme, les bras levés vers le ciel. Une ampoule électrique sur la partie supérieure. Les personnages ont tous la bouche ouverte, regardent le ciel. La lumière provient de la grosse ampoule électrique et la bougie que tient un

de la terreur guerrière. Description détaillée : Les couleurs : le noir et le blanc sont les deux seules couleurs. Picasso s’est en effet inspiré des journaux de l’époque pour donner à son tableau une véracité historique. Par exemple, le pelage du cheval est fait de petits traits serrés qui rappellent les caractères typographiques. Ensuite le sujet est grave et le noir et blanc renforce cet aspect sinistre. La lumière : les forts contrastes de lumière accentuent la violence du tableau, les corps déformés

| Le contexte de la réalisation Suite à quel évènement Picasso a-t-il peint cette œuvre ? Pablo Picasso Réalise cette œuvre après le bombardement de la ville de Guernica. En effet le lundi 26 avril 1937, fut un événement majeur et hautement symbolique de la guerre d'Espagne, qui contribua à internationaliser la médiatisation du conflit, par l'intermédiaire d'une intense propagande aussi bien des partisans des Nationalistes que des Républicains. Cette œuvre a-t-elle été commanditée ? Dans quel

droite mené par le Général Francisco Franco. Hitler dictateur de l’Allemagne et Mussolini de l’Italie aidèrent les nationalistes. 26 avril 1937 se passe la bombardement de Guernica. La ville de Guernica : La ville de Guernica avait une valeur symbolique. La ville se situe en Espagne dans au Pays-Basque dans la province de Biscaye. Elle compte actuellement plus de 10 000 habitants. Le bombardement : Comme pour les autres interventions pendant la guerre d'Espagne, un des objectifs avoués des dirigeants

de Goya (1746-1828) Tres de mayo La triade du cri: représente le désespoir. Elle est composée d'une colombe qui crie « Assez »,on remarque qu'elle est située entre le cheval (peuple et républicains) et le taureau (nationalistes) et qu'elle s'efface. Cela signifie que la paix ne peut exister entre ces deux parties; d'un cheval qui représente le peuple et les républicains opprimés par les nationalistes, il est fait en papier journal ce qui correspond à la presse; et d'une femme qui tient un enfant

la nuit en entraînant avec elle les soldats ivres qui vont au front. Cette imagine finale du roman, choisie par Zola, à une portée hautement symbolique : la monstruosité de la nature humaine, « la représentation épique de l'instinct de mort », selon le critique Gilles Deleuze. Zola donne à la machine, comme dans la mort de la Lison, la métaphore d'un cheval mais cette fois-ci plus prononcé. Comment Zola, dans cet extrait à l'atmosphère inquiétante, change l'image fantastique du

gris-noir barré de jaune et blanc). Cette absence de couleur évoque la mort, à la fois la mort des victimes et la mort de la civilisation. Picasso se sert aussi de symboles empruntés à la mythologie espagnole, le taureau et le cheval ; le taureau c’est la brutalité et le cheval c’est le peuple. Dans la période qui suit les années vingt, Picasso exécute déjà des œuvres tourmentées de corrida qui préfiguraient Guernica et en 1935, dans une eau-forte, la « Minotauromachie », il exécute une représentation

dimension dans la représentation (de -15000 au Ier siècle après J.-C. Cimabue – Maesta - ~1280 – retable H : 4.27m, L : 2.80m de l Problème d’échelle, la Vierge est géante, contrairement aux anges qui sont particulièrement petit. C’est une échelle symbolique. 1 Théorie spatial 2013 – Mr Verry I.I L’art pariétal : ♥ Les grottes de Lascaux – 15000 av. JC. Analyse champ. De la peinture à base de pigment naturel. Ce qu’on appelle en peinture des « terres » des mélanges de pigments naturels et de

des pattes comme étrangers à la tête et au poitrail dans la lumière, la queue flottant en bannière victorieuse, signent une force brute et dominatrice. Il est le triomphateur.  Voyeur à l'œil glacé et se repaissant de la scène, le taureau regarde le cheval agonisant, le soldat gisant à terre. Pour Picasso, il est aussi concerné par la barbarie destructrice de la guerre et, en un sens, il en est une autre victime. Cette dualité est suggérée par l'opposition ombre/lumière de l'image du taureau. Les lames

Picasso se sert aussi de symboles empruntés à la mythologie espagnole, le taureau et le cheval ; le taureau c'est la brutalité et le cheval c'est le peuple. Le cheval blessée placé au centre de la composition , il symbolise le peuple. La liberté est mourante. Comme pour la mère portant son enfant mort, la douleur est exprimée par la langue pointue comme un couteau. La lance qui transperce le flanc du cheval rappelle celle qui blesse la poitrine du Christ. La crucifixion est l'archétype de la souffrance