Syndicalisme chrétien

bureaucratisés… . Mais il ne faut jamais oubliés qu’ils constituent une institution fondamentale des sociétés démocratiques. Les pays où il n’y a pas de syndicat sont rarement des démocraties mais plus souvent des dictatures. Mais il ne faut se cacher, notre syndicalisme va mal. Ce qui pose en problème en France mais ailleurs aussi c’est la faiblesse du taux de syndicalisation. A terme pour le coup les syndicats pourraient disparaitre. D’un point de vu historique il faut remonter au lendemain de la révolution française

Ce droit a même fait l’objet de conventions et recommandations internationales Ile ne s’agira donc pas de dépasser le cadre étroit syndical pour s’épancher sur celui du système juridique des relations professionnelles. Toutefois, l’étude du syndicalisme et des syndicats de salariés et d’employeurs ne peut se couper de leur environnement politique, social économique et culturel. En d’autre termes, même en abordant ce système juridique, son appréciation ou évolution ne doit pas faire négation de

à 300 000. ➢ CFDT (Confédération Française Démocratique du Travail) La création de la CFDT résulte d’une scission interne au sein de la CFTC en 1964, une partie du syndicat désirant abandonner certaines références morales sociales chrétiennes. La stabilité fut longue à trouver pour la CFDT, les années 70 ayant été marquées dans un premier temps par un rapprochement idéologique avec la CGT suivit d’un recentrage mené par Edmond Maire. Durant les années 90 et le début des années 2000

travaille dans les services/ Le taux de syndiqués en France est de 8%, en Suède ce taux est de 80%. L’histoire syndicale française est un affrontement idéologique entre 4 grands courants : - anarcho-syndicalisme (révolutionnaire) - marxiste - socialiste réformiste - chrétien catholique Organisations syndicales : elles sont légales depuis la loi du 21 mars 1884. C’est à partir de 1860 que des syndicats sont crées dans diverses branches. Avant ce n’était pas posible, il n’y

Marx mais peu à peu idées libertaires et anarchistes continuent d’influencer une partie du mouvement ouvrier. Méfiance de la politique. 1884 : reconnaissance du droit syndical. 1895 : création de la CGT 1906 : Charte d’Amiens = indépendance du syndicalisme vis-à-vis du socialisme. Donc différence entre le socialisme français et la social-démocratie de l’Europe du Nord. Mouvement ouvrier : adhère u fond commun républicain ( grandes lois républicaines). 1905 : union du socialisme en 1905 avec

attendre la Constitution de 1946 pour y trouver, dans son préambule, la protection du droit syndical ; puis la loi du 19 octobre 1946 qui a reconnu le droit syndical aux fonctionnaires. Mais curieusement, en 1945-1946, le patronat n'a pas voulu du syndicalisme dans l'entreprise (réf. au contexte historique du Front Populaire accompagné de la Révolution sociale). Ce refus marque une forte contradiction de notre Histoire avec la Révolution du 27 décembre 1968. Il faudra donc attendre 14 ans, soit

réunissant les fédérations===1895 : création de la CGT. A ce moment le syndicalisme français est unitaire . -Cela ne durera pas éternellement : -une deuxième organisation apparait dans le paysage français en 1919 caf la CFTC( conf française des tveurs français) car la France récupère l’alsace et la lorraine. L’alsace te la Lorraine étaient surtout composés de syndicats chrétiens soit le catholicisme social et ces syndicats chrétiens ne veulent pas adhérer à la CGT car elle est strictement laïque avec

prennent peur de cet homme politique devenu très fort et mobilisent leurs partisans à l’occasion d’une grande manifestation anti-péroniste. Mais Perón jouit du soutien de la masse, et des syndicats qu’il a réussi à unifier, créant ainsi le début d’un ”syndicalisme péroniste”. Perón s’est appuyé sur la classe ouvrière pour asseoir son pouvoir mais il a aussi permis au mouvement syndicaliste de se renforcer. Ce lien entre Perón et la masse suscite des craintes dans le reste du gouvernement militaire qui le

statut de salarié étant en position d’infériorité par rapport aux propriétaires d’entreprise bénéficient du droit du travail comme instrument de protection à l’égard des employeurs et rééquilibre les relations entre employeurs et employés. Le syndicalisme fut longtemps considéré comme fer de lance des principales émancipations de la classe ouvrière. Dans quelle mesure le droit syndical peut-il apporter une amélioration dans la condition des ouvriers dans le contexte industriel au Parc SONAPI en

syndicats/entreprises 101 4.4.3 Centralisation et décentralisation du dialogue social 101 FICHE 4.5 : Les syndicats, acteurs du jeu des relations sociales 102 4.5.1 Présentation et tendances des syndicats français 103 4.5.2 La crise du syndicalisme français : la représentativité en question ? 105 4.5.3 Renforcement du droit syndical : apparition de l’intranet syndical 106 FICHE 4.6 : Les dysfonctionnements sociaux classiques dans l’entreprise 107 4.6.1 L’absentéisme 108 4