Syndrome de Cushing

devenir véto bien sûr!... samedi 29 mai 2010 Principaux troubles de la croissance Retard de croissance Anomalies osseuses Malformations articulaires Cryptochidie Anomalies dentaires Obésité samedi 29 mai 2010 Retards de croissance Syndrome du chiot nageur : défaut de soutien des pattes (dès 10j) Nanisme hypophysaire : BA Défaut de sécrétion de la GH Dès sevrage : retard staturopondéral, poil laineux... samedi 29 mai 2010 Troubles osseux Rachitisme par manque de calcium : rare

deuxième heure dont la glycémie à jeun est comprise entre 1,10 g/L et 1,26 g/L. La supériorité du critère glycémie à jeun par rapport à 1’HGPO pour définir une population à risque de progression vers le diabète ou d’association aux éléments du syndrome plurimétabolique n’est pas démontrée. On peut cependant noter que le suivi de cohortes d’intolérants au glucose a en effet montré que la glycémie à jeun représentait le meilleur marqueur prédictif de la conversion vers le diabète [28] et que

de l'apparition de poils dans les deux sexes.  Régulation. - La sécrétion des androgènes est régulée de la même façon que le cortisol. - Lorsqu'il y a une insuffisance rénale (maladie d'Addison). - Lorsqu'il y a un hyper fonctionnement (syndrome de Cushing).  La médullosurrénale.  Elle est située au centre.  20 % de la glande surrénale.  Elle est sécrétée par des hormones appelées les catécholamines (adrénaline 90% et noradrénaline 10%).  Ces hormones sont fabriquées à partir de la thyrosine

UNIVERSITE PARIS X NANTERRE|A. Au moins l'un des syndromes, symptémes ov signes Enumérés sous A, ou au moins deux des symptdmes ou signes énumérés sous B, doivent avoir été présents la plupart du temps pendant un épisode psychotique persistant pendant au moins un mois L. Au moins 'une des manifestations suivantes : 1) Des expériences subjectives anormales telles qu’un écho de la pensée, des pensées imposées, un vol de la pensée ou une divulgation de la pensée; un remplacement de la volonté par

l'âge adulte est inférieur à 10 %. Si l'un des parents est obèse, le risque grimpe à 40 % et si les deux le sont, à 80 %. Un facteur qui prend en compte les maladies : Certaines maladies peuvent causer l'obésité. L'hypothyroïdie, le syndrome de Cushing et la dépression sont parfois à l'origine d'un excès de poids. La consommation de certains médicaments, comme les stéroïdes et les antidépresseurs, est aussi liée à l'obésité. Cependant, on estime que 1 % seulement des cas d'obésité sont dus

Joë l B e lm in Service de Gériatrie, Hôpital Charles-Foix, Ivry-sur-Seine Points clés 1. La dépression ne fait pas partie du processus normal de vieillissement (p. 3). 2. La présentation du syndrome dépressif peut être masquée ou compliquée par une comorbidité avec les troubles anxieux ou un syndrome démentiel (p. 15, 25). 3. La prise en charge médicamenteuse doit tenir compte des modifications pharmacocinétiques liées au vieillissement, qui tendent souvent à augmenter les effets indésirables

effet anti-prostaglandine, déterminent : - une résistance au traitement anti-H.T.A., - une insuffisance rénale fonctionnelle, - voire une néphropathie interstitielle chronique. Les Corticostéroïdes. Ils déterminent un hypercortiscisme iatrogènique (Cushing iatrogène) dans 20% des corticothérapies au long cours. Les Agents Presseurs exogènes sympathicomimétiques. La Cocaïne, la Phénylpropanolamine, les Amphétamines, la Phencyclidine ou bien la combinaison d'I.M.A.O. et d'aliments riches en tyramine (fromages

est secondaire à une cause curable dans la majorité des cas (11, 12). - Les causes rénales et rénovasculaires Elles concernent 70% des cas d’HTA secondaires chez l’enfant (9) -Les glomérulopathies aigues ou chroniques (30 à 40 %). -Les séquelles de syndrome hémolytique et urémique, souvent associé à une insuffisance rénale -Les reins cicatriciels, secondaires le plus souvent à des pyélonéphrites à répétition sur un reflux vésico-rénal. 28 - Sténose de l’artère rénale ou de ses branches (10%) - Les

du G30 pour corriger l’hypoglycémie. ¤ Rechercher le pouls, la tension, la température, la saturation. ¤ Rechercher un syndrome de compression. ¤ Prélèvement de sang, d’urine et/ou de liquide gastrique. -Puis on traite les symptomes : ¤ Vomissement et lavage gastrique pour éliminer ce qui reste, et on donne du

ischémiques : 75 à 325mg/j, si douleur alors 10-15mg/kg/j et 3g/j max et si fièvre 60mg/kg/j. Mais rapport bénéfice-risque moyen car beaucoup d'effets indésirables: troubles digestifs, allergie, accroissement risque hémorragique, toxicité rénale, syndrome de Reye, surdosage entraînant des vertiges... contre indications chez femmes enceintes ou en cas de virose ou d'ulcère gastroduodénal. Il faut établir une surveillance : attention aux hémorragies, allergie, gastralgie et aux signes de surdosage