Synecdoque

du mouv de la main = synecdoque car sa main = le mouv de tt son corps d'une démarche digne V4 «soulevant , balançant» = participe présent = description de sa démarche souple et élégante + « feston et l’ourlet» champ lexical du vêtement = mouv lègé et régulier appuyer par une découpe en 4x3. S2 V1 «agile et noble» adj épithète = éloge de cette femme , «de statue» complément du nom de jambe = opposition femme a l’esthétique parfaite mais froide et inaccessible. Synecdoque «jambe» = encore tt le

plusieurs mots ce qu’on pourrait dire en utilisant un seul terme Prosopopée : Une prosopopée est une figure de rhétorique qui consiste à faire parler une personne morte ou absente, un animal, une chose personnifiée ou encore une abstraction Synecdoque : Une synecdoque est une variété de métonymie qui consiste à donner à un mot un sens plus large ou plus restreint qu’il ne comporte habituellement

HK Lettres Fiche technique Etudier les procédés formels du texte pour l’analyse littéraire 1) repérer et relever un procédé d’écriture dans le texte , 2) l’identifier et le nommer précisément, 3) s’interroger sur la signification de son emploi à cet endroit du texte et l’utiliser pour expliquer le texte La mise en texte : - les blancs typographiques ; - l’organisation en paragraphes (prose) ou en strophes (po ésie) ; - le respect (ou non) de la ponctuation, du système des majuscules (noms

il est aussi morose raison pour laquelle l’homme y est mélancolique. Cette morosité est perceptible tout d’abord dans un champ lexical lié à la nostalgie « gémissant » (v.2), « longs ennuis » (v.2), « triste » (v.4) et l’homme représenté par une synecdoque « l’esprit » (v.2) est soumis à cette situation comme l’exprime la métaphore « l’esprit gémissant en proie aux » (v.2). L’oxymore « un jour noir » (v.4) - oxymore appuyé par une comparaison de la nuit « plus triste que les nuits » - (v.4), dépeint

métonymie La métonymie est la désignation d’une chose au moyen d’un terme désignant une autre chose, mais liée à la première par un rapport logique (le contenant pour le contenu I la partie pour le tout (=synecdoque) I l’abstrait pour le concret I le lieu pour la personne/ la matière pour l’objet (=synecdoque) I l’auteur pour l'oeuvre/ etc.). Figure de rhétorique, procédé de langage par lequel on exprime un concept au moyen d'un terme désignant un autre concept qui lui est uni par une relation nécessaire

verre » : le contenant pour le contenu ; * «  Aimez-vous ce bourgogne ? » : le lieu pour la chose ; * Les cuivres de l’orchestre : l’objet pour la matière. | La synecdoque | On emploie pour parler d’un être ou d’un objet un mot désignant une partie de cet être ou de cet objet, ou la matière dont il est fait.Effet : la synecdoque donne une vision fragmentée de la réalité. | * « Il a trouve un toit » : la partie pour le tout ; * «  Avoir l’œil attentif » : le singulier pour le pluriel ;

l’objet: Le fer qui les tua leur donna cette grâce (Malherbe) Synecdoque (Féminin): Figure de contiguïté fondée sur un rapport d’inclusion. Elle Permet de désigner un objet ou un être par un mot qui désigne un autre objet ou un Élément avec lequel le premier forme un tout, l’un se trouvant inclus dans l’autre. Ex: Baudelaire évoque la femme par ses yeux «Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumière» = synecdoque particularisante Ex: Le Héron en eût fait aisément son profit;/

narrateur a cette vallée o Les répétitions et la synecdoque mettent l’accent sur des sujets important aux yeux du narrateur De nombreuses répétitions sont présentes dans la poésie ▪ « source » x2 « sans nom » x2 « oublie » x2 ▪ Deux répétitions stylistique renforce cette idée : « sans bruit, sans nom et sans retour » suivis de « J’ai trop vu, trop senti, trop aimé » ▪ La synecdoque avec « Mon cœur » et « Mon âme » x2

comme en témoignent les exemples B ci-contre. |tien pour venger et punir. (Corneille) | | | |Rq. = Dans la métonymie, l’élément qui remplace ne fait pas partie de l’élément substitué. Dans la synecdoque, l’élément substitué fait |B = Je viens de lire un Balzac (un roman de Balzac) | | | |partie intégrante de l’élément qu’il remplace. L’emploi de ces procédés est parfois tellement courant qu’on oublie souvent

de la phrase. Ex : (Un établit en désordre à un ordre bien établit) Onomatopée : C’est le mot formé par imitation du son naturel. Ex : (Crack, Boom, Snif…) Synecdoque : procédé qui consiste à désigner un tout par l’une de ses parties, ou vice-versa. Ex : (Jeter un œil, mettre le nez dehors) Métonymie : Lié à la synecdoque, elle consiste à désigner un objet par le nom d’un autre objet, les deux ayant un lien habituel. Elle désigne souvent le contenu par le contenant, l’effet par la cause