Synérèse

mot : il « compte » quand il est suivi d'une consonne ou d'un « h » aspiré. Il ne « compte » pas quand il est suivi d'une voyelle, on fait alors une élision. Et il ne compte jamais en fin de vers. La diérèse est une séparation de deux voyelles. La synérèse est la prononciation des deux voyelles ensemble. La strophe : 2vers : distique 3vers : tercet 4vers : quatrain 5vers : quintain 6vers : sizain 7vers : septain 8vers : huitain 10vers : dizain L'enjambement : il supprime la pause à la fin du vers

Dans la religion judéo-chrétienne, le mal est la réédition du péché originel.  Epicurien : Qui sait profiter de la vie (Ronsard)  Manichéisme : opposition de deux termes  Mètre : en poésie, il définit le nombre de syllabes dans un vers.  Synérèse : regroupement de deux voyelles = deux syllabes ( Vio+lon)  Diérèse : détachement de deux voyelles = deux syllabes ( Vi+o+lon)  Cesure : coupure dans un Alexandrin ( 12 a 6) = HEMISTICHE  Rimes plates : AABBCC Rimes Croisées : ABAB CDCD 

(Baudelaire) - L’ennui, fruit de la morne incuri-o-sité, (Baudelaire) Parfois, il faut lier deux voyelles que l’on prononce habituellement séparément : c’est la synérèse (« rapprochement ») : extasié[zje] : une syllabe = synérèse (extasié[zie] : deux syllabes = diérèse) ou bien : Et le farouche aspect de ses f-ie-rs ravisseurs (Racine) Diérèse et synérèse mettent en valeur le mot sur lequel elles portent. 3.1. Les vers tirent leur nom du nombre de syllabes qui les composent. On peut différencier : - le vers

Le poète artiste [modifier] Portrait de José-Maria de Heredia par Émile Lévy Le souci de la forme est bien sûr constant chez les poètes et des règles prosodiques s’élaborent peu à peu aux XVIe et XVIIe siècles (compte du « e muet », diérèse/synérèse, césure, pureté des rimes…) — avec le Parnasse. Cette importance accordée au travail poétique passe par les Grands rhétoriqueurs de la fin du XVe siècle puis la Pléiade et les classiques (« Beauté, mon beau souci » dira François de Malherbe), avant

parfois qu’il faille dissocier les éléments d’une diphtongue ou au contraire grouper en une seule syllabe deux voyelles contigües d’un même mot, de manière à respecter la quantité syllabique du mètre. Exemple 1 (12 unités métriques) Synérèse Sur la terr où tout jett un miasm empoisonnant (Victor Hugo, La légende des siècle XII, 1877) e e e Exemple 2 (12 unités métriques) Je ne viens point ici, par de jalouses larmes, Vous envi/er un cœur qui se rend à

NOTIONS ET VOCABULAIRE FONDAMENTAUX à maîtriser : Règles de la versification : une strophe, un distique, tercet, quatrain, sizain,…vers, mètre, alexandrin, décasyllabe, octosyllabe, ennéasyllabe (9), heptasyllabe (7), hexasyllabe (6)…; une diérèse, synérèse, élision du e muet ; un hémistiche, une césure ; rime féminine, masculine, embrassée, suivie, croisée ; assonance (sur voyelle) allitération (sur consonne) sonorités chuintantes, occlusives, dentales, nasales, sifflantes, liquides …enjambement, rejet

……………………………………………………………………………………………………………..  diérèse Elle consiste à prononcer une syllabe en séparant deux sons qui d'ordinaire n'en font qu'un : ainsi, on ne prononce pas "ma-jes-tueuse", mais, en quatre syllabes, "ma-jes-tu-euse". L'opération inverse s'appelle la synérèse. exemple d'un des poèmes lus en classe : ……………………………………………………………………………………………………………..  disposition des rimes On retiendra ces trois dispositions de rimes : rimes ………………. (aabb), rimes croisées (abab), rimes ………………….. (abba). Les deux quatrains d’un

un mot commençant par une voyelle, devant un mot commençant par un "h" muet. • La diérèse. On compte pour 2 syllabes 2 voyelles voisines comptant d’ordinaire pour une seule syllabe. Par exemple : Dame du Ciel, Régente terrienne. (Villon) • La synérèse. C’est l’inverse de la diérèse : on compte pour une seule syllabe 2 voyelles qui comptent d’ordinaire pour 2 syllabes. Tu vis hier le Missouri/Et les remparts de Paris. (Laforgue) Les sonorités du versLa rime, l’homophonie finale • Nature de

instaurer une certaine musicalité au sein d’un poème notamment celui qui est destiné à être chanté. Diérèse / Synérèse : Il faut faire attention, en comptant les syllabes d’un vers, à deux phénomènes importants à savoir : • la diérèse qui consiste en la division d’une syllabe en deux : Exemple : « fa/mi/li/ers » (4 syllabes), au lieu de « fa/mi/liers » (3 syllabes) • la synérèse qui consiste à faire joindre deux syllabes en une : Exemple : « é/bloui/sse/ment » (4 syllabes), au lieu de « é/blou/i/sse/ment

transformant le lactose en acide lactique (Lactococcus Steptobacterium et Thermobacterium) ou en acide lactique, acide acétique et éthanol (Leuconostoc et Betabacterium).Cette acidification intervient comme facteur de la coagulation du lait et de la synérèse (séparation d'un liquide de son gel) des caillés. -Contribuer au caractère organoleptique des fromages en libérant des systèmes enzymatiques qui participent aux principaux phénomènes de l’affinage des caillés (protéolyse en particulier). Les variétés