Synode

mars » ) et d’automne portent collectivement le nom de « plaids » ( placita ). Les textes mentionnent des assemblées sous le nom de concilium, de conventus, de synodus. Il est difficile de dire si ces conciles, conventions et synodes sont différents des plaids. Après la conquête de la Gaule par les Francs, les assemblées saisonnières des guerriers ont très probablement été formées des guerriers francs, comme par le passé. La division du peuple entre Francs

sait, dans la nuit du 5 au 6 juillet 1809 ; à cette occasion, M. Myriel fut appelé par Napoléon au synode des évêques de France et d’Italie convoqué à Paris. Ce synode se tint à NotreDame et s’assembla pour la première fois le 15 juin 1811 sous la présidence de M. le cardinal Fesch. M. Myriel fut du nombre des quatrevingt-quinze évêques qui s’y rendirent 29. Mais il n’assista 29 Ce synode, que Napoléon appelait le « concile d’Occident », fut ouvert le 17 juin 1811. Mgr Miollis, en manifestant

comme on sait, dans la nuit du 5 au 6 juillet 1809 ; à cette occasion, M. Myriel fut appelé par Napoléon au synode des évêques de France et d’Italie convoqué à Paris. Ce synode se tint à NotreDame et s’assembla pour la première fois le 15 juin 1811 sous la présidence de M. le cardinal Fesch. M. Myriel fut du nombre des quatrevingt-quinze évêques qui s’y rendirent 29. Mais il n’assista 29 Ce synode, que Napoléon appelait le « concile d’Occident », fut ouvert le 17 juin 1811. Mgr Miollis, en manifestant

chrétiens mais pour tous les hommes de bonne volonté qui s’opposent à la barbarie. C'est là que les fidèles se rassemblent à l'occasion des trois grandes fêtes liturgiques chrétiennes (Noël, Pâques et Pentecôte). C'est là qu'ont lieu les assemblées ou « synodes » d'où émerge sous l'autorité de l'évêque qui la sanctionne une « législation synodale » qui donne un cadre juridique écrit à la vie chrétienne. Toute cette organisation a en effet un droit écrit, le « droit canonique » du mot grec canon qui signifie

par la réforme grégorienne menée par le Pape Grégoire VII ( 1073 – 1085 ). Cette réforme du Pape va permettre à L'Église de se libérer de l'Empire féodal. Au début du 11ème siècle, la désignation du Pape relève de l'Empereur d'Allemagne. En 1059, le synode de Latran décide que Pape ne serait plus nommé par l'Empereur mais élu par un collège de 40 cardinaux. Ce collège de 40 cardinaux est appelés le Sacré collège, et ceci sans interférence laïque. Ce n'est plus l'empereur d'Allemagne qui nomme le Pape

chrétiens irakiens menacés dans leur pays. Les causes de l’exode « Les chrétiens émigrent pour des raisons économiques, à cause de l’instabilité de la région et des conflits », a résumé le patriarche d’Alexandrie des Coptes, Antonios Naguib, en marge du synode d’octobre. Un ensemble de raisons économiques, politiques, sécuritaires, démographiques et religieuses explique cette lente érosion. Le conflit israélo-palestinien et la politique des grandes puissances occidentales dans la région sont présentés comme

le modèle de la spiritualité du Concile. Une sympathie sans bornes [sic] l'a envahi tout entier. La découverte des besoins humains (et ils sont d'autant plus grands que le fils de la terre [sic] se fait plus grand) a absorbé l'attention de notre Synode. «Reconnaissez-lui au moins ce mérite, vous, humanistes modernes, qui renoncez à la transcendance des choses suprêmes, et sachez reconnaître notre nouvel humanisme : nous aussi, nous plus que quiconque, nous avons le culte de l'homme» (Doc. cath

Dieu. Démolit la plupart des dogmes de l’Eglise catho. D’où lutte contre diffusion des idées réformatrices en Fce. En Fce, milieu XVI, Eglise Calviniste s’organise : pas de façon hiérarchique comme église catho ms de façon démocratique ac des Synodes = réunissent les représentants des églises locales. [équivalent des conciles pr église catho.] Juridiquement en Fce, hérésie = crime de lèse-majesté et relève des tbaux royaux : saisis de ces domaines qui au départ appartenaient a jur° ecclé. Répression

objet de décimation, - lui-même, en sa qualité d'ordinaire diocésain, accorde au monas­ tère un statut de libertas, lequel est constitué d'un certain nombre de privilèges : exemption de toute redevance à l'évêché, sous ré­ serve de l'observance des synodes et de la consécration épiscopale ; aucune obligation de célébrer des messes de caractère public ; exercice par l'abbé du pouvoir de correction et d'absolution pour les fautes qui requièrent normalement la présence de l'évêque, - de son côté, le comte

La prise en main de l’église durant les réformes grégorienne n’a pas pu se faire de manière purement autoritaire, mais plutôt par des délibérations qui permettent à chq communautés d’être représentées et entendues. Différentes assemblées : les synodes (diocèses), les conciles régionaux (à l’échelle d’un pays ou d’un continent) et les conciles universels qui conseillent le pape sur des questions purement théologique mais également d’organisation de l’église. Ces assemblées permettent d’abords d’informer