Table de hachage distribuée

2.1 Background: Overlay Networks Distributed Hash Tables To make trust decisions we need efficient random access to evidence that is widely distributed throughout the network. To solve this problem, it is natural to apply a Distributed Hash Table (DHT), such as Chord [19], Kademlia [15] or Pastry [16]. We therefore pause to consider how these operate. Distributed Hash Tables perform the basic function of mapping keys (associated with data items to be accessed) onto host addresses (such as IP

e e e Structuration : certains seront plus ´gaux que d’autres e Les meilleurs g`rent le r´seau e e Les entrants sont des feuilles N’acceptent aucune connexion Ne g`rent rien e Les meilleurs deviennent SuperPeers Fonctionnement Distributed Hash Table (Kademlia) Liste distribu´e des ressources e Chaque SuperPeer maintient une partie de la liste N. Fressengeas P2P Structur´ e R´seaux Gnutella> 0.6, e FastTrack, eDonkey, BitTorrent Clients eMule, KaZaA. . . Les r´seaux Peer to Peer e Architectures

● raid 0 : pas de redondance ● Arrangement de plusieurs disques donnant l'abstraction d'un unique, grand disque. Buts: ➢ C C ● Augmenter les performances et la disponibilité. « Data striping »: Les données sont partitionnées et distribuées sur plusieurs disques. Redondance : (Plus de disques Plus de pannes.) Une information redondante permet la reconstruction de données en cas de panne. raid 1 : avec disques miroirs Deux techniques: ➢ P raid 2,3,4 : disques de parité

polling mode non connecté : sécurité des messages mal assurée pas ou peu de sécurité : nom de communauté LConsulting LConsulting 102 PROTOCOLE SNMP V2 Principales améliorations SNMP v2 103 SNMPv2 est capable de gérer de manière distribuée un réseau: opérations entre stations d'administration sécurité renforcée nouvelles opérations Extension des codes d’erreur Utilisation de services de transport variés LConsulting Variantes SNMP v2 104 Quatre variantes sont définies:

Melanie Herschel | Université Paris Sud 4 Méthodes d‘Optimisation des Chemins d‘Accès Logique • Partitionnement • Partitionnement des données appartenant à une table sur plusieurs partitions logiques, afin d‘éviter la lecture de la table intégrale lors du traitement de requête. • Très utile par exemple pour éviter la lecture complète de la table des faits, souvent très grande. • Partitionnement sans redondance • Vues matérialisées (MVs) • Des (sous-)requêtes fréquemment utilisées sont calculées en avance

aujourd’hui professeur à l’université de Versailles et participe à des projets de recherche européens en médiation de données hétérogènes. Les fondements. Principes et architecture des SGBD (systèmes de gestion de bases de données) • Fichiers, hachage et indexation • Bases de données réseau et hiérarchiques • Logique et bases de données. Bases de données relationnelles. Le modèle relationnel : règles d’intégrité et algèbre relationnelle • Le langage SQL2 • Contraintes d’intégrité et déclencheurs

Corporation) mais pas de 1, 1979 pour la 2 (portage sur d’autres plates-formes, SQL : requête et jointure), 1983 pour la 3 (entièrement ré-écrite en C, transaction), 1984 pour la 4 (cohérence en lecture), 1985 pour la 5 (client/serveur et requête distribuée avec SQL*Net), 1988 pour la 6 (un Progiciel de Gestion Intégré, PL/SQL, verrouillage de lignes, sauvegarde à chaud, amélioration des performances, option Parallel Server), 1992 pour la 7 (contrainte d'intégrité, procédure stockée et déclencheur

utilisateurs malveillants. Ce type d’attaque exploite aussi des fautes de conception ou de configuration dans les nombreuses machines connectées à Internet qui ont été piratées pour insérer des processus zombies, indispensables au montage d’une attaque distribuée et bien coordonnée. Une troisième vulnérabilité, qui ne permet pas d’assurer des contre-mesures efficaces, provient cette fois-ci de la part des fournisseurs de services Internet qui n’implémentent pas de filtrage (en entrée et sortie) qui permettrait

Les spécifications mentionnées sont applicables dans les limites permises par la loi. PGP_Intro.book Page iv Thursday, December 16, 1999 12:03 PM iv Introduction à la cryptographie PGP_Intro.book Page vii Thursday, December 16, 1999 12:03 PM Table des matières Préface . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . vii A qui s'adresse ce guide ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .vii Comment

8 1.4.5 Sécurité des données Tous les utilisateurs ne peuvent pas tout faire sur toutes les données. • Notion de groupes d’utilisateurs. • Notion d’autorisation (lecture, écriture, exécution). • Granularité des autorisations : base de donnée, table, colonne, nuplet, ... • Possibilité d’accorder ou de supprimer des droits. 1.4.6 Indépendance logique/physique L’organisation physique de la base de données est transparente pour le développeur d’application. On doit pouvoir changer la répartition