Tableaux Vanités

d’inhabituelles métaphores, qu’ils examinaient souvent avec précision. Leurs vers manifestent un goût pour le paradoxe, et pour d’inhabituelles et délibérément inventives tournures de phrase. Théâtre Dans le domaine du théâtre, l’élaboration de vanités, de multiples changements d’intrigue, et une variété de circonstances caractéristiques du maniérisme (les tragédies de Shakespeare par exemple) sont supplantés par l’opéra qui regroupe tous les arts en un tout unifié. Plusieurs auteurs écrivent des

pas la convention des scènesau sens strict. **disparition de ce système dans le théâtre moderne: parfois il reste les actes (2,3) mais sans scène ( Beckett, EAG); souvent la pièce est d'un seul tenant (Genet, Les Bonnes) ou elle est divisée en "tableaux", "séquences", fragments", "mouvements", " morceaux". On peuty citer la pièce de Michel Vinaver, auteur contemporain, Nina, C'est Autre Chose, où il y a trente "morceaux" chiffrés et porteurs de titres comme " L'ouyverture du colis de dattes" ou

utilise toute sorte de matériaux et de techniques : plastique, plexiglas, néon, miroir, peinture, lumières artificielles, objets, photographies, photocopies, flocage, découpage, assemblage, report, montage, agrandissement notamment. Sa série des Tableaux-objets met en scène l'image à la fois sensuelle et artificielle, douce et froide, distanciée et lyrique de la société de consommation, en particulier du mannequin-type des années 1960, Vénus moderne déclinée et mise en scène dans des couleurs acidulées

Clélie, histoire romaine (1654-1660) « La carte de Tendre » texte et gravure, documents photocopiés. 5/ Urfé, L’Astrée (1607-1627) Extrait de la première partie, « Le désespoir de Céladon », document photocopié. 6/Tableau représentant une Vanité. SEQUENCE 2 : GENRE THEÂTRAL OBJET D’ETUDE : LE THEÂTRE, TEXTE ET REPRESENTATION PROBLEMATIQUE : Evolution du genre théâtral aux XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles : respect ou refus des règles classiques ? PERSPECTIVES : genres et registres /

Objet d’étude 2 Le théâtre l’ile des esclaves Marivaux Extrait 1 : Scène d’exposition 1. IPHICRATE. Esclave insolent ! 2. ARLEQUIN, riant. Ah ! ah ! vous parlez la langue d'Athènes; mauvais jargon 3.que je n'entends plus. 4. IPHICRATE. Méconnais-tu ton maître, et n'es-tu plus mon esclave ? 5. ARLEQUIN

aime, Mes enfants, Je vous aime et vous tiens fermement. Vous êtes lourds maintenant et inertes. Le sang continue à couler. Il y a tant de sang en vous. Mes enfants, Vous n’êtes plus, Mes enfants. Ils vous ont enterrés comme des Grecs, Avec la vanité du marbre. C’est pour cela que je reviens. Je veux vous extraire de la terre froide de votre père Et vous confier aux flammes du bûcher. Votre mère est là, La chienne, L’étrangère. Je vous aime. Tout doit disparaître. Les ossements, les stèles, Tout

les saisons de l’homme sont contenues dans les saisons de la nature, comme les saisons de la nature sont contenues dans les saisons de l’homme. C’est le peintre Giuseppe Arcimboldo qui eut l’idée de représenter les quatre saisons de l’homme. Ces tableaux étaient destinés à orner la salle de banquet de l’empereur Ferdinand Ier . Pour son tableau intitulé « L’été », il peignit tous les fruits de l’été assemblés. Une courge fit le nez, une poire, le menton, une pêche bien ronde, la joue bien rebondie

vers Dieu, le poète ne peut échapper à cette dualité, ni dans l’art (I-XXI), ni dans l’amour (XXII-LXIV), ni dans la solitude (LXV-LXXXV). Les cinq parties suivantes évoquent les tentations successives du poète pour échapper à sa souffrance : – Tableaux parisiens (LXXXVI-CIII) : le poète se tourne vers les autres, mais leur souffrance le ramène à sa propre souffrance ; – Le vin (CIV-CVIII) et la déception des paradis artificiels ; – Les Fleurs du mal (CIX-CXVII) : le recours à la débauche ne le

comme l’ancienne aristocratie elle- même et d’autre côté le château nouveau où l’aristocratie cherche la bourgeoisie pour survivre. • Dans la salle de billard elle voit des grands cadres dorés. Son regard s’arrête sur l’inscription de deux tableaux, sur lesquels elle lit qu’ils appartenaient à l’aristocratie et qu’ils étaient morts en bataille (le dernier a la fin du XVII siècle). Et le narrateur continue en disant «  et après on distinguait à peine ceux qui suivaient ». A mon avis c’est une

tout est instable, changeant, inconstant (comme ces perles irrégulières). C’est pourquoi l’art baroque a choisi l’eau ou le feu comme images de prédilection . Cette tendance s’opposera au classicisme, épris de raison et de mesure. Comme dans Les Vanités en peinture, dans la poésie baroque prédominent les thèmes de la fuite du temps et de la mort qui rendent les sentiments et la vie illusoires et vains comme un songe. On retrouve très clairement cet état d’esprit dans Tous les matins du monde chez