Tafna

vident le traité de son contenu et dépouillent le bey du reste de son autorité et instaure l'administration directe2. Le traité et les conventions seront révoqués lors de l'indépendance du pays proclamée le 20 mars 19563. III. Le traité de Tafna Le traité de la Tafna, du nom du fleuve éponyme, est signé le 30 mai 18371 entre Abd El-Kader et le général Bugeaud suite à la bataille de la Sickak (Algérie). 1. Contenu Cet accord a été conclu après que les troupes françaises subirent de lourdes

Chaîne côtière à relief faible et tourmenté. Elle comprend deux chaînons orientés Sud  Ouest et Nord Est (Djebel Zendal 600m  Djebel  Fillaoucene 1136 m). Zone hétérogène Une zone hétérogène de plaines et plateaux entaillés par les vallées de la Tafna et l'Isser (plaines de Maghnia, de Sidi Abdelli, et de la région de Ain Tellout) Monts de Tlemcen C'est une chaîne de massif calcaire orientée du Sud vers l'Ouest et du Nord vers l'Est (Djebel Dar Cheikh 1616 m, Djebel Tenouchfi 1843 m, Djebel Kenouch

il est mal appliqué. Insaisissable, l'Emir se montre partout et nulle part, son infanterie et Sa cavalerie sont mobiles et efficaces. Bugeaud et I’ Emir : Le général Bugeaud nommé à Oran négocie un nouveau traité avec l'Emir, le traité de la Tafna est signé le 30 mai 1837. L'Emir contrôle désormais l'ouest, le Titeri et une partie de l'algérois. Il consolide l'état, bâtit des villes fortifiées, fonde des ateliers militaires, soumet les rebelles et les collaborateurs. Le traité donne lieu à des

fondé de grandes exploitations agricoles. Le commerce avec l’Espagne (et avant avec l’Andalousie était aussi très actif. -Période coloniale : L’occupation française de la ville commença le 28 juillet 1833. En mai 1837 et suite au traité de la Tafna, Mostaganem et sa région revenait définitivement aux français. Cette occupation passera par plusieurs ; chacune d’elles se distinguera par son emprunte, son type d’organisation et ses modes d’implantation. 3. 1833-1848 Cette période marque le début

décida le gouvernement à revenir à la politique d’occupation restreinte et d’entente avec les chefs musulmans. Le général Bugeaud, qui avait vaincu les troupes de l’émir à la Sikkak en 1836, crut pouvoir signer avec lui, le 30 mai 1837, le traité de la Tafna: la France abandonnait à Abd el-Kader les deux tiers de l’Algérie et ne conservait que deux enclaves autour d’Oran et d’Alger. Du moins, ce traité «inexplicable» permit-il aux Français de porter leur effort contre le Constantinois. Après de vaines

« Portes de fer » Le traité de Tafna est signé, le 30 mai 1837, entre le général Bugeaud et Abd El-Kader qui reconnaît la souveraineté de la France en échange de pouvoirs étendus sur les provinces de Koléa, Médéa et Tlemcen où il peut conserver 59 000 hommes en armes. L'armée française passe, en septembre 1839, les « Portes de fer » dans la chaîne des Bibans, territoire que l'émir comptait annexer. Abd El-Kader, considérant qu'il s'agit d'une rupture du traité de Tafna, reprend, le 15 octobre 1839

C’est le début de la colonisation européenne de la côte septentrionale africaine par l’Italie, Espagne… Le regain des tensions et le Traité de Tafna En 1835, la guerre fait rage, la France paye les déserteurs parmi les rangs de l’émir, qui parvient tout de même à infliger une lourde défaite au général TREZEL en juin 1835. En 1837, le traité de Tafna est signé entre l’émir et les généraux français, exaspérés par les méthodes de guérilleros des insurgés, face auxquelles une armée formée aux campagnes

Trezel et le gouverneur général d’Orléans furent déchus de leurs fonctions. Sur le plan politique, il contraint l’ennemi à négocier et lui ôta la reconnaissance de son autorité. On retrouve ainsi deux traités : Desmichels datant du 26 février 1834 et Tafna conclu le 30 mai 1837. Suite à cela, la France intensifia ses efforts en matière militaire de telle sorte à ce qu’elle puisse affaiblir le pouvoir de l’émir, on peut citer la politique des terres brûlées, des enfumades… Avec l’arrivée du général

napoléoniennes. L'armée française débarque donc en Algérie et occupe les ports avant de s'enfoncer dans les terres dans une conquête très violente. Elle s'oppose à la résistance des tribus unifiées par Abd el-Kader. Il s'incline en 1837 (accords de Tafna) avant de reprendre le combat jusqu'en 1847. Les émeutes ne s'arrêtent jamais vraiment. L'armée est suivie par de nombreux colons (109 000 en 1847 et 300 000 en 1881). Ce sont des paysans et artisans décidés à faire fortune sur ces nouvelles terres

et négocie ce qui débouche en 1834 à un traité qui fait de lui le chef de l'ouest Algérien(qu'il essaye d'organiser administrativement) et qui met les autres principales villes sous la tutelle française. Ce traité est violé de même que la traité de Tafna en 1837, mal interprété et violé. D) une guerre qui s'enlise Face à ce jihâd, la réaction française se radicalise à la fin des années 1730- début des années 1740. La guerre s'enlise avec Bugeaud : augmentation des effectifs, autorisation de razzier