Tais-toi !

TAIS-TOI ! Film français réalisé par Francis Veber, sorti en 2003. Synopsis : Depuis que la femme qu'il aimait a été assassinée, Ruby, criminel recherché par la police et finalement interpellé, ne rêve que de se venger du meurtrier. Quentin (de Montargis) est un braqueur de pacotille, pas méchant pour deux sous mais très simple d'esprit. Arrêté par la police à l'issue d'un énième braquage manqué, Quentin séjourne en prison. Bien qu'étant d'une nature sociable, il exaspère ses compagnons de

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bout. Jusqu’à ce qu’il ne reste vraiment plus la petite chance d’espoir vivante, la plus petite chance d’espoir à étrangler. Nous sommes de ceux qui lui sautent dessus quand ils le rencontrent, votre espoir, votre cher espoir, votre sale espoir!
CRÉON
Tais-toi ! Si tu te voyais criant ces mots, tu es laide.
--------------------------------------------------------------- Texte C : Henry Bauchau, Antigone C’est Antigone qui raconte. Créon s’impatiente et ordonne à Ismène de prendre place de l’autre

- Mais pourquoi, nous ? Le dragon n’a jamais mis le pied dans notre ville ! - Tu sais bien qu’il dévore les voyageurs solitaires se rendant de la ville à la ville voisine... - Qu’il les dévore en paix ! Et nous, retournons d’où nous venons ! - Tais-toi ! Écoute... Les deux hommes frissonnèrent. Ils prêtèrent l’oreille un long moment. En vain. Seul, le tintement des boucles des étriers d’argent agitées, telles des piécettes de tambourin, par le tremblement convulsif de leurs montures à la

mille sonnets dans le coeur des poètes, Que vos grands yeux rendraient plus soumis que vos noirs. Sonnet d'automne Ils me disent, tes yeux, clairs comme le cristal : " Pour toi, bizarre amant, quel est donc mon mérite ? " - Sois charmante et tais-toi ! Mon coeur, que tout irrite, Excepté la candeur de l'antique animal, Ne veut pas te montrer son secret infernal, Berceuse dont la main aux longs sommeils m'invite, Ni sa noire légende avec la flamme écrite. Je hais la passion et l'esprit

roses, Les femmes et les fleurs sous leurs beaux pieds écloses ! — O grande Ariadné, qui jettes tes sanglots Sur la rive, en voyant fuir là-bas sur les flots, Blanche sous le soleil, la voile de Thésée, O douce vierge enfant qu’une nuit a brisée, Tais-toi ! Sur son char d’or brodé de noirs raisins, Lysios, promené dans les champs Phrygiens Par les tigres lascifs et les panthères rousses, Le long des fleuves bleus rougit les sombres mousses. — Zeus, Taureau, sur son cou berce comme un enfant

municipale je vous l’avais dit tantôt.» -Jeanne : « Moi, tu ne m’as rien dit de tel !! Et tu peux me dire ou est ma broche, sale voleuse.» -Samantha : « Je ne sais pas, je n’y ai pas touché, je n’ai pas prit votre broche.» -Jeanne : « Menteuse tais-toi et vas chercher ma broche, retrouve la je sais que c’est toi qui l’as, tu l’as sans doute vendu pour t’acheté des friandises et du pain. » -Samantha : « Mais non je n’ai pas touche a votre broche je ne sais même pas a quoi elle ressemble.» -Jeanne

maison, Elle est la reine, elle est la maîtresse de maison, Elle l'aime, elle le supporte? [Lydia] Tu ne devrais peut-être pas boire autant?. [El Chojin] Tu es en train de dire que je suis un ivrogne ? [Lydia] Non, non, bien sûr [El Chojin] Alors tais-toi femme, hein ? Je sais très bien ce que je fais, Allez monte dans la voiture et efface-moi cette tête immédiatement [Lydia] Bien sûr? [El Chojin] Elle et lui se marient, Le temps passent, un appel? [Lydia] Maman, je suis enceinte ! [El Chojin]

elle m’échappa encore une fois. Ma chienne rentra alors dans la cour de cette résidence. Le chien à l’intérieur semblait fou, il tournait en rond à cause de la chaine qui le retenait prisonnier, une porte s’ouvrit et une voix d’homme hurla : - Mais tais-toi ! L’homme était furieux et il insulta le chien. Je cria le nom de mon chien, sans réponse. Elle était repartie dans une direction différente. Je m’élança à sa suite puis elle m’échappa. Elle s’enfonça dans un petit terrain qui était rempli

petit déjeuner, j’étais entrain de discuter avec une réidente qui était arrivé à l’EMS il y a 3 semaines. Mme qui était derrière moi s’est écrié «  mais tais-toi ! ». JE me suis retourné et j’ai remarqué qu’elle s’adressait à moi. Je lui ai demandé des explications concernant cette attitude mais elle n’a rien trouvé d’autre à me dire que « tais-toi » avec le regard fuyant…. N’ayant pas obtenu de réponse satisfaisante, j’ai dit à Mme que ce n’était pas adéquat de me parler de cette façon, qu’elle