Tamarinier

amour idéalisé. Vous avez réalisé une anthologie de vos poèmes préférés de Baudelaire ? Lesquels avez- vous choisi ? Pourquoi ? Voir l'antologie Qu'est- ce qu'une synesthésie, un tamarinier, un aquilon, un zéphyr, l'airain ? Synesthésie : Association de sensations provenant de domaines différents. Tamarinier : Arbre tropical au fruit comestible, famille des césalpiniacées Aquilon : Vent froid du Nord et violent. Zéphyr : Dans l'Antiquité, en Grèce, personnification du vent d'ouest qui est

corps est mince et vigoureux,Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats,Je vois un port rempli de voiles et de mâtsEncor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers,Qui circule dans l'air et m'enfle la narine,Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. A une dame créoleAu pays parfumé que le soleil caresse,J'ai connu, sous un dais d'arbres tout empourprésEt de palmiers d'où pleut sur les yeux la paresse

mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. » Dans ce poème on peut retrouver les traces d’une double tradition poétique : cela du sonnet (deux quatrains et deux tercets) et cela du blason (poème

vision devient une voie d’accès à l’absolu. L’exotisme : Cette métaphore de l’Idéal est une reminescence du voyage de Baudelaire à la Réunion, c’est de ce voyage de jeunesse dont il a gardé les souvenirs. On remarque les notes exotiques comme « tamariniers », « arbres singuliers ». On se rapproche de plus en plus de la mer au fur et à mesure : « Qui m’enfle la narine » le poète est emporté comme un bateau. Musique et parfum se melent pour célébrer la mer. Un lieu idéal Il y a l’image d’un eden

est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers.

montrent audacieuse , sans coquetterie - Des hommes dont le corps est mince est vigoureux ; Et des femmes dont l’œil par sa franchise étonne. c. Une correspondance entre les sens s’y produit: Musique & parfums se confondent. - Le parfum des verts tamariniers, se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Conclusion: Grâce à la femme aimée, grâce à la sensualité qu’elle lui offre, le poète accomplit un véritable voyage intérieur. S’élabore en lui un paradis, où la beauté se mêle à la générosité, où

mince et vigoureux,
 Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats,
 Je vois un port rempli de voiles et de mâts
 Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers,
 Qui circule dans l'air et m'enfle la narine,
 Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Les Fleurs du mal Pierre RÉVERDY Tard dans la vie . Je suis dur Je suis tendre Et j'ai perdu mon temps A rêver sans dormir A dormir

présenta un spectacle de marionnettes destiné à quelques-uns de ses amis. C’est alors qu’un cobra, envahi par une profonde colère et perturbé par le raffut causé par le marionnettiste amateur et son auditoire, sorti de son repaire situé sous un tamarinier géant. L’animal sur la défensive bouillait intérieurement, décidé à frapper. Soudain, à la suite de ce surgissement resté inaperçu, « Patte-Folle » discerna le serpent femelle qui d’emblée, le submergea de terreur. Profitant du moment de faiblesse

vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers." "mon rêve familier Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque

mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Brumes et Pluies O fins d'automne, hivers, printemps trempés de boue, Endormeuses