Tanzimat

NAMIK KEMAL’İN SANAT/SANATÇI ALGISINDA ROMANTİZM VE VICTOR HUGO ETKİSİ Abdulhalim AYDIN( ÖZET Bilindiği gibi, Tanzimat hareketi Türk toplumunun çağdaşlaşma, yenilenme ihtiyacıyla yüzünü Batı’ya çevirdiği bir yapılanma dönemidir. Tanzimat edebiyatı da bu sürecin edebi tarafını oluşturmuştur. Dönemin diğer yazarları gibi bu edebiyatın en büyük simalarından N. Kemal’in üzerinde de romantizmin ve özellikle Hugo’nun etkilerinin büyük boyutlarda olduğu bilinen bir şeydir

semble être pensée pour donner de la profondeur historique à l’idéologie kémaliste puisqu’elle établit que la période des tanzimat de l’Empire ottoman aurait été la phase expérimentale préparant la République laïque de Turquie et, les grands réformateurs ottomans sont présentés comme des figures protonationalistes annonçant la figure de Mustafa Kemal. * La période des tanzimat, présentée comme un processus d’occidentalisation, est également utilisée pour mettre en avant la modernité de l’empire

1871 l’écrivain Bernard Lewis. Cette citation illustre les enjeux de la période du Tanzimat, pluriel de tanzim qui signifie réorganisation, que connaît l’Empire Ottoman à cette époque. Le Tanzimat s’ouvre en 1839 avec l’édit de Gülhane qui sert de base aux transformations à venir. C’est d’ailleurs à l’occasion de cet édit qu’apparaît la notion de millet qui qualifie les communautés non musulmanes de l’Empire. Le Tanzimat ne se limite pas à une réponse aux velléités des puissances européennes, il résulte

à l’établissement de la nouvelle constitution en 1876 et des nouvelles réformes : les tanzimat. Ce texte s’adresse à tous l’Empire Ottoman et s’intéresse principalement à l’avenir de son sort. Suite à l’échec de deux précédents concepts : le panislamisme instauré principalement par le calife Abdülhamid II qui consiste à rassembler les musulmans autour du calife, et de l’ottomanisme qui est l’idéal des tanzimat. Yusuf Akçura ajoute alors à ces deux concepts : le panturquisme. Le panturquisme est

matière de modernité restent importantes : *En Algérie, les saint-simoniens aident au développement d’institutions qui visent à moderniser le pays et soutenir le productivisme. *Le Tanzimat est aussi soutenu par la France, comme le montre la création du lycée franco-ottoman de Galata Serai. La politique du Tanzimat reçoit aussi le soutien des saint-simoniens. *C’est en Egypte que l’œuvre de modernisation est la plus grande : Le percement du canal de Suez en 1869 en est l’exemple. Il vise à mettre

illusoire, et qui débouche sur une seconde phase de recul.Ainsi nous pouvons parler de la question des tanzimats mis en œuvre à la fois pour reprendre le contrôle de l’empire en redéfinissant les fondements (ce que l’on appelle alors l’ottomanisme), et sur ordonnance des Européens. Il est temps de redéfinir les bases de l'empire ottoman. Les grands jalons de l’ère de la réorganisation, des «Tanzimat» (1839, 1856, 1876) correspondent à des périodes de crises internationales en Méditerranée, qui montre

Mithat Efendi, qui est un grand nom de la littérature ottomane du XIXe siècle, est accompagné dans son voyage par une aristocrate russe, Madame Gülnar. Ses observations sur Berlin et sur la culture européenne sont assez représentatives de l’esprit du Tanzimat, l’époque des réformes. Ahmet Rıza Bey est un Jeune Turc qui s’est volontairement exilé à Paris, où il prend la défense de l’Empire ottoman dans ses livres rédigés en français. Il retourne vers l’Occident le miroir à travers lequel les Occidentaux

vague de réformes, initiée en 1826 sous le règne de Mahmûd II (1808-1839), résulte d’abord de la menace égyptienne, dont la prise d’autonomie vient mettre en péril l’édifice impérial. La charte de Gulhanê en 1839 fait entrer l’Empire dans l’ère des Tanzîmât, réformes portant d’abord sur l’assiette fiscale, la conscription et la justice. Ces réformes par le haut, inspirées par l’Angleterre, sont confirmées par la guerre de Crimée en 1856, où l’Empire ottoman fait face à la Russie. L’histoire a surtout

Liban. Qu'ils s'agissent des symptômes associés aux réformes (Tanzimat) de 1839 et de 1856 qui donnent lieu à des conflits religieux entre maronites et druzes ou de la partition du Liban de 1846, on assiste à partir de 1840, à une escalade d'affrontements interconfessionnels et intraconfessionnels qui connaîtra son dénouement dans le massacre de 1860. . Jusqu'en 1839, c'est-à-dire au moment des premières réformes ottomanes (les Tanzimat), le Liban était considéré comme un territoire autonome, bien

pays est un moyen pr lutter contre les occupants. Afin de lutter à armes égales. 2) La volonté de modernisation de l'Empire ottoman, l'ère des Tanzimats, puis des Jeunes Turcs Suite aux pertes territoriales constantes de l'Empire Ottoman, « l'Homme malade de l'Europe », une nouvelles ère s'ouvre alors. 1839- 1876: ère des Tanzimats ds l'Empire Ottoman: ce courant vise à sauver l'Etat par la Modernité, la création d'une nation. > réorganisation de l'Empie ottoman. > mise en place d'un