Taoïsme

spirituelle dans la connaissance de soi et de son Dieu suprême s’accompagnant d’un commencement de béatitude (bonheur). En Orient, la Sagesse désigne spécifiquement la connaissance d’une réalité transcendante - le Dao (concept de philosophie chinoise) du Taôisme, le brahman (conscience pure et soi de l’individu) du Vedanta ou le nirvana (prise de conscience absolu et bonheur suprême) du bouddhisme. << Le Sage ne se montre pas, il brille. Il ne s’impose pas, on le remarque. Il ne se vante pas, on lui trouve

pratiques revendiquées par l'anarchisme comme l'autonomie, l'association volontaire, l'auto-organisation, l'aide mutuelle ou la démocratie directe12. Les premières expressions d'une philosophie libertaire peuvent être trouvées dans le taoïsme et le bouddhisme13. Au taoïsme l'anarchisme emprunte le principe de non-interférence avec les flux des choses et de la nature, un idéal collectiviste et une critique de l'État ; Au bouddhisme, l'individualisme libertaire, la recherche de l'accomplissement personnel

environnement et à l'usage qu'il a à en faire ( ergonomie ). D'autre part, l'éducation a une part primordiale à l'adaptation psychique du corps. Enfin, dans un dernier paragraphe, il décrit l'influence de l'esprit lié aux pratiques corporelles ( Taoïsme, yoga, réflexothérapie ), pratiques qui sont déjà anciennes en Asie et en Inde et qui mériteraient d'être exploitées dans les sociétés occidentales.

principes et d'opinion liés à un mouvement religieux) et les pratiques rituelles. On distingue généralement les religions dites primitives ou animistes les religions orientales (hindouisme, bouddhisme, shintoïsme (au Japon), confucianisme (en chine), taoïsme (en Chine)…) et les religions monothéistes issues de la Bible (judaïsme, christianisme, islam), le christianisme ayant lui-même donné naissance à plusieurs religions ou Églises chrétiennes (catholique, orthodoxes, protestants, évangélique…) 2-

uniquement le confucianisme", ses idées sont acceptées par l'empereur Wudi21. La théorie du confucianisme de ce moment n'est plus pareille à la théorie du confucianisme primitif avant la dynastie Qin, mais un amalgame qui mélange les théories de taôisme, légisme, Yin et Yang, Cinq Phases. Cette théorie du confucianisme permet de maintenir la dominance féodale et diviniser la monarchie autocratique, donc à partir de la dynastie Han, le confucianisme est respecté et tenu par les dominateurs féodals

dans un pays essen­tiellement rural, un certain type de citoyens, favorables aux valeurs républicaines et démocratiques. De même, au Japon, la socialisation des enfants doit tout aux rites asiatiques fondés sur le confucianisme, le boudhisme et le taoïsme, comme en Corée du Sud d'ailleurs. En ce qui a trait à l'idée d'une instruction supérieure pour tous, les Américains ont été les premiers à la critiquer : William J. Wallin, pré­sident de la commission scolaire de l'État de New York, avait contesté

religions monothéistes. En outre, connaissant l’intérêt de l’auteur pour les grandes religions asiatiques, le fait qu’il n’en prenne pas compte dans cet ouvrage interroge. En effet, aucune recherche relative au bouddhisme, à l’hindouisme ou encore au taoïsme n’est invoquée. Enfin, lorsqu’il aborde la question de l’indépendance du religieux par rapport aux autres faits sociaux, on peut se demander si l’auteur n’a pas tendance à généraliser l’idée de laïcité, plutôt française, à l’ensemble du « monde

Chine à cette époque était la dynastie Ming. 4° Quels sont les éléments importants qui caractérisent la culture chinoise et en quoi consistent-ils ? La culture chinoise est caractérisée par plusieurs philosophies et manières de penser comme le taoïsme, le confucianisme ou encore le bouddhisme. Ces façons de penser prône au quotidien la méditation, une rigueur morale, et la recherche de l'harmonie céleste, donc la recherche du paradis (Nirvana). 5° Quel est l’espace principal qui abrite le pouvoir

apprendre à aimer nos ennemis. Le symbolisme de la chaine d’union évoque : le cercle : symbole de l’Esprit qui précède toute action, le cercle représente aussi l’unité, l’harmonie, l’infini cosmique, ou encore le caractère cyclique de la vie. Dans le taoïsme, il exprime la vacuité, la voie, le centre du cercle : c’est la source, le point de Vérité ultime. Rappelons que la chaine d’union englobe le Naos. Si je lève les yeux je vois aussi la corde à nœuds, appelée aussi Houppe dentelée. Elle décore

représentées par un cercle : une roue, la circonférence d'un arbre. Le cercle est la forme la plus homogène et la plus stable de toutes les formes géométriques. Le cercle qui n'a ni commencement ni fin est la figure symbolique du UN. Le fondateur du taoïsme Lao Tseu disait : « Sans le Un la terre n'aurait pas sa tranquillité ni le ciel sa sérénité ». Cette forme est synonyme d'absolu, d'infini, l'unité. Il évoque l'unité. N'ayant ni début ni fin, il symbolise la perfection et l'éternité. Symbole