Tartuffe Declaration Elmire

(L/ES/S) Effectuez des repérages Celui qui parle ici, Tartuffe, s’exprime longuement ; Elmire ne l’interrompt pas, et reste muette pendant cette tirade. Les très nombreux déictiques de première personne du singulier (pronoms personnels, déterminants possessifs), qui renvoient à Tartuffe, désignent ce personnage comme le véritable sujet de l’action ; son interlocutrice, Elmire, est désignée par les déictiques de deuxième personne du pluriel. Tartuffe se présente comme un dévot, amoureux d’une femme mariée

(L/ES/S) Effectuez des repérages Celui qui parle ici, Tartuffe, s’exprime longuement ; Elmire ne l’interrompt pas, et reste muette pendant cette tirade. Les très nombreux déictiques de première personne du singulier (pronoms personnels, déterminants possessifs), qui renvoient à Tartuffe, désignent ce personnage comme le véritable sujet de l’action ; son interlocutrice, Elmire, est désignée par les déictiques de deuxième personne du pluriel. Tartuffe se présente comme un dévot, amoureux d’une femme mariée

Analyse linéaire n°5 : “L’huître”, Le parti pris des choses - Francis Ponge (PA) Analyse linéaire n°5 : “L’huître”, Le parti pris des choses - Francis Ponge (PA) T5 : Le Parti pris des choses : prise de position, volonté de défendre une chose = objets et symboles du quotidien. Prose poétique,syntaxe, rythme et sonoritésFond inédit = mollusque + forme (prose et §).Plan : Description

consiste qu'en un seul monologue | | |d'Arnolphe où il exprime son vœu final de se battre jusqu'au bout pour l'amour d'Agnès. En effet,| | |ce passage se situe après la déclaration d'amour d'Agnès envers Horace ce qui bouleverse | | |profondément le pauvre Arnolphe, qui se rend compte par la même occasion qu'il est tombé amoureux| | |de sa

votre essai : 1- Le Tartuffe ou l’imposteur, Molière, 1664, III, 3 (extrait) Orgon est tombé sous la coupe de Tartuffe, un hypocrite et un faux dévot. Ce dernier réussit à le manipuler en feignant la dévotion et devient ainsi son directeur de conscience. Il s’installe alors chez lui et décide de régenter toute la maison pour y instaurer une morale plus exigeante. Il se voit bientôt proposer d'épouser la fille de son bienfaiteur, alors même qu'il tente de séduire Elmire, la seconde femme d'Orgon

on lit Dom Juan     Commentaire: on est libre d'immaginer les personnages selon notre bon-vouloir 2.Le théâtre est fait pour être vu. 1er paragraphe    Idée du paragraphe : La gestuelle est aussi importante que le texte      Exemple : le Tartuffe dans la didascalie "apercevant Dorine"        Commentaire : Molière nous donne une information précieuse, le personnage hypocrite se fait un visage. 2ème paragraphe    Idée du paragraphe : Le théâtre est avant tout un divertissement      Exemple

Tartuffe, un aventurier talentueux s’entiche de la famille la plus parfaite ; celle d’un banquier. Famille exemplaire ? Voyons plutôt : une maîtresse de maison, pleine de feu, bien plus jeune que son mari. Le fils, un fat, qui ronge son frein dans l’ombre du père. Une fille ingénue, sexy et curieuse, aux talents prometteurs... Le banquier enfin, le maître ; un homme du monde, roi de la phynance, juge averti qui gère et veille sur les intérêts de centaines de familles ; la pièce maîtresse, la fondation

sujet. La première possibilité est qu’une scène de témoin caché produit un coup de théâtre. Cela créé des renversements de situation , qui crée un effet de surprise au public car ceci est un événement imprévu. Un coup de théâtre peut survenir d’une déclaration heureuse ou triste, d’un geste, d’un secret n’étant pas sensé être dévoilé. Nous pouvons le voir dans l’œuvre « Le mariage de Figaro » écrite par Beaumarchais à l’acte I scène 9 où nous découvrons Basile chez Suzanne lui faisant des sous entendus

badine avec une jeune paysanne Rosette et lui déclare son amour, alors qu’il sait que Camille, cachée, l’entend… Les paroles de Perdican, qui ont plusieurs destinataires, prennent un double sens, ce qui donne à ce jeu une résonance pathétique. La déclaration d’amour à Rosette a en fait deux destinataires (comme en témoigne la didascalie « à haute voix, de manière que Camille l’entende ») dont l’une sert d’instrument pour blesser l’autre ; elle a un sens pour Rosette et en prend un autre pour Camille

favorise les situations complexes qui mettent le spectateur en position privilégiée, comme un dieu omniscient. Cette potentialité intensifie l’intérêt dramatique, soit en renforçant le comique comme dans « Tartuffe », où, Orgon, caché sous la table, entend la déclaration d’amour de Tartuffe à Elmire, soit en créant une atmosphère angoissante et pathétique, comme le fait le plus souvent le théâtre romantique.