Taux de fécondité

de la fécondité dans l'ensemble de l'Europe. Le fond du problème dont souffre l'Europe : la baisse de la fécondité depuis 1964-65 (chiffres). Dans 30 pays sur 34, les taux de fécondité ont glissé au-dessous de celui qui permet le remplacement des générations, c'est-à-dire 2,1 naissances par femme. Le poids de la CEE dans le monde s'est affaibli (chiffres). Une politique libérale d'immigration ne peut se substituer à une politique audacieuse visant à restaurer la fécondité. Et le

d'un faible taux d'accroissement naturel à un autre faible taux, la situation intermédiaire ayant assurée une explosion démographique) a la moitié du XIXe S, donc depuis notre taux d'accroissement naturel s'est amenuisé. Notre croissance démographique est rapide jusqu'en 1970, où dès lors elle se ralentit.( immigration réduite, baisse de l'indice de fécondité) Puis, depuis 1990, le taux de natalité a repris (1,9 enfant par femme), ce qui fait que les Francaises ont la 2eme fécondité des pays de l'Union

mesure où l’accroissement naturel diminue d’année en année et est cinq fois plus faible (3) que celui enregistré aux États-Unis. La variation de la population tend à se diversifier encore plus à travers le continent (tableau A). En effet, alors que le taux de croissance s’échelonnait en 2000 de 3,9 ‰ en Europe occidentale à – 6,6 ‰ en Europe orientale, l’intervalle s’établit, en 2002, entre 4,3 ‰ et – 8,7 ‰. Depuis 1989, dans sa formation à 15 membres, et depuis 1992, dans sa nouvelle configuration, l’effet

d’un régime démographique ancien caractérisé par une natalité et d’une natalité élevées a un régime démographique moderne marqué par une mortalité et une natalité faible.la transition est marquée par une baisse qui entraine un déséquilibre entre la fécondité et la mortalité, c’est ainsi que la population connaît une croissance non négligeable. Celle ci cesse lorsque la natalité baisse a son tour. La France est le premier pays a avoir connu ce phénomène avec une baisse sensible de la natalité dès le XVIIIème

démographique (si tant est qu’il y ait un sens à chercher des responsables), mais plutôt les jeunes puisque la raison principale pour laquelle le vieillissement démographique s’est installé historiquement dans les pays européens est bien la chute de la fécondité (et de la natalité) et non le recul de la mortalité. Si les démographes en sont convaincus depuis longtemps, il n’en va pas de même pour la grande majorité de leurs concitoyens, et même pour certains spécialistes d’autres disciplines. Il est en

développement, on entend aussi éducation. Le taux d'alphabéthisation (les adultes qui savent déchiffrer un court texte et écrire quelques lignes) est d'environ 759 millions d'adultes de plus de 15 ans dans le monde. En 1948 dans la DDHC, on dit "toutes personnes à droit à l'éducation". Pourtant, dans certains pays du Sud (Asie), il y a seulement moins de 50 % de scolarisation des enfants (100millions d'enfants ds le monde travaillent déscolarisés.) La maîtrise de la fécondité passe aussi par l'éducation (maladies

novembre et de préférence les lundis et mardis, ce qui permet de prolonger le repos du dimanche. B)La fécondité Le taux de natalité de l’ancienne France est élevé et le taux de fécondité également. Comme les naissances sont assez rapprochées dans le mariage, le moyen de restreindre la descendance est le mariage tardif qui réduit la période de fécondité de l’épouse. Mais la fécondité est aussi réduite par la mort prématuré d’un des époux, la mort en couches et l’allaitement maternel. Compte

touchant les pays développés à économie de marché. Sa cause première est la bosse démographique d’après la Seconde Guerre mondiale appelée Baby-boom où une politique de natalisation a été faite pour compenser les pertes humaines et la baisse de fécondité. L’on a d’autant plus remarqué deux faits majeurs depuis la révolution industrielle et depuis la fin de la seconde guerre mondiale : Une croissance économique majeure et une augmentation de la longévité qui paraissent étroitement liés. Nous allons

pays. La mortalité infantile est calculée en faisant le rapport entre le nombre d'enfants décédés avant l'âge de un an sur le nombre total de naissances concernées. Cette statistique est exprimée en pour 1000 naissances (‰). Ci-dessous les différents taux de mortalité infantiles en 2006 pour les différents continents. A quelques exceptions près, la mortalité infantile est beaucoup plus importante dans les pays en développement que dans les pays développés. Cela s'explique par les conditions sanitaires

santé et/ou le bien-être social d’un individu ou d’un groupe, ils peuvent agir seul ou avec d’autres facteurs. Démographie : Etude quantitative de l'âge d’une population et de sa dynamique, à partir de caractéristiques telles que la natalité, la fécondité, la mortalité. E : Epidémiologie : Ensemble des facteurs qui conditionne l’ensemble des maladies : L’apparition, la fréquence, la répartition. Epidémiologie descriptive : Identifie le type de population atteinte, la fréquence et l’évolution des