Taux de fécondité

sommes actuellement avec l'Irlande, le pays le plus dynamique en matière de natalité. A l’inverse, l’Allemagne qui est depuis très longtemps la nation la plus peuplée de l’UE est confronté à de sérieux problèmes de fécondité puisque son taux de natalité fait actuellement partit des taux les plus faibles enregistrés au sein des pays membres. Pourtant les deux pays portent la politique familiale au cœur de leurs actions. Tant en France qu’en Allemagne, les investissements réalisés pour cette

passage d'un régime dit traditionnel (stade "pré-transitionnel") caractérisé par une fécondité et une mortalité élevées à un régime démographique dit moderne, caractérisé par une fécondité et une mortalité faibles. Les quatre phases : Régime démographique traditionnel (pré-transition) La situation ancienne (ou traditionnelle) est une situation d'équilibre, caractérisée par un fort taux de natalité et un fort taux de mortalité, ce qui provoque donc un accroissement naturel faible. Cette phase est

QUESTION 3 : Dans les pays du nord, le taux de natalité est faible. Comment expliquez vous cet état de fait ? Bien que la population mondiale continue de croître ,cet accroissement ralentit en raison d'une baisse de la fécondité. En effet, Plus de la moitié de l'humanité vit dans une région du monde où le taux de fécondité est inférieur à 2,1 enfants par femme ; taux nécessaire au remplacement des générations dans les pays développés .Cette baisse de la fécondité est liée à l'augmentation de l'alphabétisation

première approche, l’observation porte sur des événements qui se sont réellement déroulés dans les différentes générations. On parle d’approche rétrospective. Dans l’approche transversale, on construit une génération fictive en lui appliquant les taux de fécondités ou de mortalités observés aux ≠ âges à une période donnée. •Le bilan démographique de l’INSEE en 2009: Au 1er janvier 2009, 64,7 millions de personnes vivent en France métropolitaine et dans les DOM. Au cours de l’années 2009, la population

décès. Le taux d’accroissement naturel est le rapport de l’accroissement naturel durant une période à la population moyenne de cette période. Ce taux peut être aussi calculé par la différence entre le taux brut de natalité ( rapport entre le nombre de naissances au cours de l’année et la population moyenne au cours de l’année) et le taux brut de mortalité. (rapport entre le nombre de décès au cours de l’année et la population moyenne au cours de l’année). En France, en 2011, le taux de naissance

démontrer la situation mais aussi de l’imaginer dans d’autres circonstances.Depuis le recensement de 1901, l’INSEE construit les pyramides des âges et déduit du taux de mortalité et de natalité, le solde migratoire de chaque année. Ce qui permet d’étudier l’évolution de la population ainsi que de comprendre la corrélation entre mortalité, fécondité et migration.De même, on peut comprendre l’impact du baby boom et de l’immigration sur la natalité pendant les 30 glorieuses puis les conséquences de cette

aux nombreux collègues du Département des Affaires Economiques et Statistiques et de la Direction de la Main.d'œuvre. des Affaires Sociales et de I'Education pour les suggestions très utiles qu'ils ont faites. 59 INTRODUCTION Les faibles taux de natalité observés dans la plupart des pays de l’OCDE pendant les dernières décennies ont entraîné un ralentissement de la croissance démographique et transformeront profondément la pyramide des âges au cours de la première moitié du siècle prochain

naturel désigne la différence entre le taux de natalité et de mortalité. Dans le régime démographique d'ancien régime ce taux d'accroissement est faible , la population n'augmente pas ou faiblement .  Par contre lors de la transition démographique au XIXe siècle l'accroissement naturel est très élevé ce qui explique la croissance extrêmement marquée de la population européenne  Crise démographique Période durant laquelle le taux de mortalité dépasse le taux de natalité en raison d'une disette ou

1970 et 1997, la population afro-américaine n'a pas tellement augmenté (x0,5) en comparaison avec les autres minorités. Alors que leur indice de fécondité est supérieur au WASP (2,5 pour les afro-américain et 2 pour les WASP), on note une légère différence, ce qui peut être un signe d'acclimatation. On constate pourtant une grande différence dans le taux de mortalité infantile, de l'ordre de 17,6°/°° enfants noires qui décèdent prématurément, alors que seulement 7,9°/°° enfants blancs sont confrontés

U E : Les enjeux Démographiques Introduction : Bienheureux sont les Européens : ils vivent de plus en plus longtemps et en meilleure santé. On ne peut que s’en féliciter. Mais, conjugué à un taux de natalité faible et à un ralentissement attendu de la balance migratoire, cette allongement de l’espérance de vie a une conséquence évidente : la pyramide des âges se déforme. Ainsi que le constate la Commission européenne dans son rapport 2009 sur le vieillissement, elle ressemble d’ailleurs de moins