Taylor Ciblage Inflation

fond fédéraux tout au long de son histoire la FED utilise son taux directeur pour orienter la vision des participants de marché financiers .Concernant les procédures pratiquées par la Fed on peut les classer comme suit : Le ciblage direct : Théoriquement le ciblage direct se manifeste au cœur des opérations d’open market lancés par la FED donc elle fixe deux bandes relativement étroites au sein de laquelle le taux se déplace. Pratiquement si le taux ciblé dépasse la bande supérieur la banque

3 types de politiques monétaires possibles * Ciblage de la masse monétaire : * Accroître la masse monétaire proportionnellement au taux de croissance de l’économie * Origine : cette politique est apparue dans les années 70 pour 2 raisons : * Montée de l’inflation (financement de la guerre du Vietnam) * Effondrement du régime de changes fixes (Bretton Woods) * Fonctions d’une politique de ciblage : * Point de repère pour la politique monétaire

questions posées par les PNCQ (1.3.) ? 1.1. Effets attendus Bernanke et al. (2004) mentionnent un argument qu’ils qualifient « forme réduite » en faveur d’une politique quantitative : en raison du lien historique entre croissance monétaire et inflation, une création de monnaie devrait conduire à une augmentation des prix indépendamment de ses effets sur la structure par terme des taux d’intérêt. Ils indiquent toutefois que la relation entre croissance monétaire et revenu nominal pourrait se

d’intérêt comme étant l’instrument optimal de la régulation monétaire. Les restrictions d’identification introduites dans la matrice des effets des chocs afin de déterminer la meilleure forme de la règle d’ajustement du taux révèlent qu’une règle à la Taylor simple domine toute autre règle de taux d’intérêt dans la stabilisation des prix et de l’activité. Abstract The end of the 1990s is politically influenced in West Africa by a strong willingness to unify economies. This led the ECOWAS authorities

les épargnants et les prêteurs de la montée attendue de l’inflation et des risques causés par l’incertitude entourant le niveau futur de la hausse des prix. Rien de tout cela ne favorise les investissements productifs. Pendant les périodes de forte inflation des années 1970 et 1980, beaucoup de ressources économiques ont été ainsi englouties dans des opérations de couverture et de placements spéculatifs. Et comme il fallait s’y attendre, les périodes d’expansion inflationniste se sont transformées

Plan et du Développement *********************** BCEAO *********************** École Nationale Supérieure de Statistique et d’Économie Appliquée (ENSEA - ABIDJAN) Agence Principale de Ouagadougou MEMOIRE DE FIN DE CYCLE THEME : INFLATION ET CROISSANCE ÉCONOMIQUE DANS LES ÉCONOMIES DE L’UEMOA. Présenté par : Sous la supervision de : NIKIEMA Adama Élève Ingénieur Statisticien Économiste M. YAGO Ahmed Racine Ingénieur Statisticien Économiste Fondé de pouvoirs à la BCEAO

Agence Principale de Ouagadougou et d’Économie Appliquée (ENSEA - ABIDJAN) MEMOIRE DE FIN DE CYCLE THEME : INFLATION ET CROISSANCE ÉCONOMIQUE DANS LES ÉCONOMIES DE L’UEMOA. Présenté par : Sous la supervision de : NIKIEMA Adama M. YAGO Ahmed

Banque centrale nécessite la fixation d’un ou de plusieurs objectifs finaux (la stabilité des prix, le plein-emploi ou la modération des taux d’intérêt à long terme), la détermination des objectifs intermédiaires (contrôle des agrégats monétaires, ciblage de l’inflation, choix d’un taux de change, etc.). La notion d’indépendance appliquée aux banques centrales Il s’agit de montrer quelles sont les formes que cette indépendance formelle peut prendre puis d’en décrire le contenu quelque peu différent

résister à la baisse des salaires pour ne pas perdre en PA. Cette rigidité des prix va empêcher des ajustements sur les marchés. Si les prix sont rigides, ce sont les quantités qui vont s'ajuster. C'est une explication des déséquilibres (chômage, inflation..) Cette rigidité des prix va notamment être reprise par la NEK. Pour les nouveaux keynésiens, la rigidité des prix est une explication majeure des déséquilibres , notamment la rigidité nominale. Ils se sont interrogés sur la raison de la rigidité

moitié des années 1990 a en effet vu de nombreux PECO réviser les choix de régimes de change fixe rigide faits au début ou au milieu des années 1990, pour préférer des régimes de change flexible plus ou moins géré, accompagnés parfois de politiques de ciblage d’inflation. Ces changements sont de nature à avoir modifié les mécanismes de transmission de la politique monétaire dans ces pays. Afin de vérifier cette hypothèse, nous proposons d’étudier l’impact des chocs de politique monétaire sur des sous-périodes