Téléspectateur

orienté vers une logique pédagogique et éducative. Cette période commence en 1960 et va jusqu'au début des années 80. Durant cette période, le but était d'instaurer avec les téléspectateurs un rapport paternaliste, didascalique, moralisateur et éducatif, en insistant sur la séparation marquée entre les genres offerts aux téléspectateurs. Un autre point important de la période concerne le flux de diffusion. Le choix des programmes se limitait à des horaires bien définis. Ceci devait permettre de ne pas

son angle de vue, son angle d’attaque du sujet. Les Jt seront plus ou moins longs, approfondiront ou non l’actualité, analyseront plus ou moins les sujets, traiteront de façon différente les actualités : on appelle cela le pluralisme. C’est au téléspectateur de choisir en pleine conscience le type de JT qui lui convient. 7°) Le JT et son public : A votre avis, à qui s’intéressent les différents JT : • celui de TF1 à 13h :retraités, actifs qui rentrent chez eux manger => Province. • celui de M6

l’homogénéité. Cette contrainte est accentuée par le poids de l’audimat qui s’impose aux journalistes et donc aux productions culturelles. -L’urgence et le fast thinking : Des sujets sont imposés aux producteurs et ceux-ci les imposent aux téléspectateurs. Les personnes qui passent à la télévision se contentent de réciter leurs « idées reçues, qu’ils ont reçu sans grande difficulté car elles sont banales ». Ces personnes n’ayant aucune compétence particulière sont des « fast thinkers » prédisposés

utilise des valeurs d'information en cherchant à renforcer sa notoriété auprès des téléspectateurs afin de se faire connaître plus rapidement et d’élargir sa cible principale ainsi que son cœur de cible. D’une autre part, Milka utilise des valeurs morales en cherchant à montrer les pratiques utilisées lors de la création/production du chocolat ce qui permet de convaincre et de faire renforcer la confiance des téléspectateurs sur leurs pratiques et leurs méthodes. L’objectif affectif est aussi rattaché

Ils commence à l'IFP (institut français de presse). Le changement majeur, est le succès de la télé en 1960-70. De nombreux travaux réalisés au japon, USA : qu'est ce que les gens regardent sur la télé ? Qu'en est il de la retransmission ? Le téléspectateur est il actif ou passif ? . Analyses de grandes ampleurs prouvent que les résultats sont plus contradictoire qu'on ne pensait...... En fonction du développement du numérique (les films en streaming change le rapport des individus ? Le blog est-il

constaté que les personnes regardant le plus la télévision (audelà de quatre heures par jour) estimaient cette probabilité à 50 pour cent, alors que la probabilité réelle, dans le cadre de cette étude, était de l’ordre de 1 pour cent. Ainsi, les téléspectateurs surestimaient d’un facteur 50 la dangerosité du monde réel, à partir de l’image que leur en donnait la télévision. Selon Gerbner, la télévision constitue un réseau de symboles et de personnages à part, relativement indépendants de la réalité

Dans le monde de la communication, la vague de la numérisation continue de se répandre. Après avoir révolutionnée le son, l’image, la vidéo et la téléphonie, c’est au tour maintenant des réseaux hertziens terrestres de passer au numérique. Les téléspectateurs grand public dotés d’une bonne vieille antenne râteau peuvent désormais progressivement bénéficier du fruit de la technologie de la diffusion numérique terrestre, en recevant chez eux des images et du son qualité numérique accompagnés de services

ouvertement toute une génération de consommateurs de masse et de banalisation de l’art filmique. « La télévision se nourrit de huis clos artificiels et construits à des fins de spectacle »14 des récits plus ou moins banales et lesquels les téléspectateurs regardent et observent, tel un Jeff, et ce tout comme une fenêtre donnant sur le monde entier. De ce point de vue, Rear Window, est toujours d’actualité. Même si, cinématographiquement, les huis clos ne sont plus inhabituels, ni une prouesse

sur un terrain qui leur était inconnu, modelant leur discours et orientant leur stratégie. Dans cette double problématique, il est intéressant de faire appel au point de vue des téléspectateurs eux-mêmes qui sont à l'origine même de ces exercices d'influence ; j'ai ici choisi d'étudier le forum des téléspectateurs de l'émission Arrêt sur Images sur le site web de France 5, qui révèle les éléments essentiels de cette mutation : double influence entre télévision et politique, puisque même si le

à mieux cerner le travail des journalistes et le fonction-nement de l'image. Nicolas Delesalle montre dans Télérama, en septembre 2005, que l'événement ne crée pas automatiquement l'information. Différents facteurs entrent en jeu avant que le téléspectateur y ait accès. Christian Caujolle démonte, quant à lui, la façon dont les images sont aujourd'hui fabriquées et souligne les évolutions du métier. Cela n'empêche pas l'image d'être très puissante, comme le montrent l'émotion qui se dégage du cliché