Temoignages Des Poilus

différentes mémoires de la guerre, concurrentes et parfois conflictuelles : – Les mémoires de groupe sont portées par les acteurs et les victimes de la guerre. Elles militent chacune à leur manière contre l’oubli, d’où l’importance qu’elles accordent au témoignage ; mais elles sont par définition sélectives dans leur commémoration du passé. Ici se place, comme l’a bien souligné Robert Frank, la spécificité de la mémoire de la Seconde Guerre mondiale : « La France éclatée de l’époque a vu se multiplier les

profond et nous n'aurons presque plus d 'air à respirer, le sous-marin est presque rempli d'eau, ce sont ici mes dernière paroles, je suis fier de mourir pour mon pays tout comme les autres membres de l'équipage: Vive le Führer! Ce témoignage d'un sous-marinier allemand retrace la défaite de L'U-23. Il met en évidence l'affaiblissement de l'armée allemande vers la fin de l'année 1943. Les États-Unis rentrent en guerre en 1941, les allemands jusqu'alors incapable de surpasser la Royal

véhicule des clichés et des rumeurs qui contribuent à la formation d’une culture de guerre. Celle- ci est alimenté par la propagande, le bourrage de crâne qui présente l’ennemi comme un ennemi singulier. Des ouvrages font des éloges sur le sacrifice des poilus. La censure étouffe les critiques des défaitistes ou des mutins (soldats sui se révoltent). Les mutineries de 1917 relèvent plus des mauvaises conditions de vie des soldats (fatigues, manque de nourriture, assauts inutiles.) que de refus de combattre

monde entier qui savent rire - les chimpanzés et les hommes. Le rire fait bien une partie inséparable de la vie humaine autant que celle chimpanzienne. Cependant, grâce à notre culture, on maintient une grande avantage en comparaison avec nos alliés poilus, qui - ne possedant pas de théâtres ou cinémas - perdent ainsi l´un des moyens les plus effectifs pour prêter au rire. Le fil du rire qui grimpe dans la culture à travers des siècles se manifeste le plus clairement dans les comédies. Je parle surtout

d'horrible/ hyperboles/ superlatifs/atmosphère sombre, sordide, inquiétante/ insistance/ "je"c'est bien lui l'orateur/ suspens/ il sait garder qql en haleine) CCL PART I: Messager= informateur/ double énonciation/ évite de montrer la violence sur scène/ Témoignage important/ naissance du mythe par l'orateur II. Crimes et châtiments 1. L'horreur de ces crimes (inceste et parricide  pire crimes possibles/ travail sur les formes du discours et les temps/ ch. lex. "tristesse"/ violence/ verbes forts/ animalisation)

ainsi que le dessin de squelette sur son costume évoquent la croix gammée. Ses gants blancs contrastent avec sa chaussette trouée qui révèle un pied sale : derrière une belle apparence se cache la déchéance. Derrière lui, à gauche se tient un monstre poilu brandissant un poignard. C’est la colère qui est ainsi représentée sous la forme d’un démon diabolique ouvrant une gueule rouge sang aux crocs acérés. A droite une femme aux yeux mi-clos danse. Elle est débraillée et échevelée. Elle passe sa langue

. . . . . . . . . . . . . 51 AUTOUR D’UNE ŒUVRE W ou le souvenir d’enfance, Georges Perec . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51 AUTOUR D’UN THÈME Témoignages de la Seconde Guerre mondiale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52 AUTOUR D’UN THÈME Construire son identité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

France de la guerre, concurrentes et parfois conflictuelles : – les mémoires de groupe sont portées par les acteurs et les victimes de la guerre. Elles militent chacune à leur manière contre l’oubli, d’où l’importance qu’elles accordent au témoignage ; mais elles sont par définition sélectives dans leur commémoration du passé. Ici se place, comme l’a bien souligné Robert Frank, la spécificité de la mémoire de la Seconde Guerre mondiale : « La France éclatée de l’époque a vu se multiplier

Mathilde veut savoir la vérité. Prix interallié 1991. Cote : R JAP * Cuenca, Catherine.- La marraine de guerre.- Nouv. présentation.- Hachette jeunesse, 2002.- 89 p. ; 18 x 13 cm Résumé : 1916, dans les tranchées près de Verdun. Etienne, jeune poilu, subit les horreurs quotidienne de la guerre. Depuis peu, il reçoit les lettres d'une certaine Marie-Pierre, sa marraine de guerre. Comment est-elle ? Quel âge a-t-elle ? Etienne ne le sait pas et l'imaginer lui donne la force de rester debout

proviennent en mai 1915 les mutineries qui se caractérisent par le refus des troupes françaises d’attaquer dû aux atrocités de la guerre et à deux ans de guerre sans avancée. En vue de rétablir l’ordre des hommes seront fusillés !(On les appelait les poilus). Après ça, le 6 juillet, la ville portuaire d’Aquaba est prise par les arabes. Dès lors, Tomas Edward Lawrence (plus connu sous le nom de Lawrence d’Arabie) organise la révolte Arabe contre les Ottoman. Cette victoire aura pour conséquence la prise