Temoignages Des Poilus

externe (3ème personne) nous signalent que quelques jours avant l'armistice, Paul, dernier survivant de son groupe, est mort alors qu'un communiqué indiquait qu'”à l'ouest, il n'y avait rien de nouveau” . Ce roman autobiographique constitue un témoignage réaliste sur la guerre avec tout ce qu’elle comporte d’atrocités et de douleur . C''est aussi un roman d'apprentissage, un roman initiatique . Résumé En 1917, la guerre bat son plein. Paul Baumer est un jeune homme âgé d’à peine 20 ans. A cause

l’on s’éloigne de la libération. Elle s’est trouvée tiraillée entre les défenseurs d’une justice implacable et dc dure( pr en finir ac le fascisme et ses hérauts) et ac les modérés partisans d’une justice plus clémente. Après la WWI: 1 figure: le poilu victorieux et 1 date: le 11 novembre. Mais rien de tt cela en 45 Après la WWII, hiérarchisation de la souffrance: le combattant volontaire de la Résistance, le prisonnier de guerre, le déporté racial… 1944-1946: multiples célébrations de la Libération

(fossés creusés pour se protéger des ennemis et maintenir ses positions) se déroule à la frontière franco-allemande. - La bataille de Verdun (nord-est de la France) fait plus de 700 000 victimes. Elle témoigne du courage des soldats (surnommés « les poilus ») et symbolise l’horreur de cette guerre. - En 1917, les États-Unis entrent en guerre. - L’armistice est proclamé le 11 novembre 1918 ; il marque la victoire de la France et de ses alliés. - Georges Clemenceau, le chef du gouvernement français

période de bouleversement du rôle des femmes dans la société. P.87, L7-33 Les interviewées d’organisations féminines comme la société l’Effort féminin français expriment presque toutes un sentiment de libération. «Sortir de la cage» disent les témoignages recueillis par l’Imperial War Museum. P.53, L15-43 Dès la mobilisation des hommes en août 1914, les féministes se déclarent prêtes à remplir leurs devoirs sacrés de défense de la patrie. Quelques féministes, considérées comme « radicales » et

1. Une lettre-poème On peut voir que c'est une lettre car le poète s'adresse directement à Lou (vers 11-12, vers 16), le lieu et la date où il l'a écrite sont mentionnés à la fin . Il évoque aussi «le front de l'armée», comme n'importe quel poilu. Cette lettre est tranformée en poème avec des vers alexandrins (12) , il y a 5 strophes, des rimes. Le dernier terat est un acrostiche. Des allitérations en «s» et des assonances en «en» sont présentes à la fin ce qui provoque une atmosphère

diagnostics prénataux Les différents diagnostics 8 L’échographie 9 L’amniocentèse 10 La biopsie du trophoblaste Anomalies détectées 12 La trisomie 21 13 Malformation et anomalie fœtale 15-17 L’I.M.G 18-19 Les enjeux éthiques 20 Témoignage Le suivi des femmes enceintes tout au long de leur grossesse * Le suivi de la grossesse dépend du type de grossesse que connait la femme enceinte : 1er cas de grossesse : Lorsque la grossesse se déroule sans situations à risque, le suivi

Soissons et Berry-au-Bac, quelques centaines de mètres dans ses parties les plus étroites, ce site, taillé dans le calcaire par les eaux de l'Aisne et de l'Ailette, a vu l'affrontement le plus meurtrier de la Grande Guerre. Au Chemin des Dames, les poilus, leurs alliés et leurs ennemis souffrirent et moururent avec le même héroïsme que sur la Somme ou à Verdun. Une comptabilité macabre fait état de 20 tonnes d'obus et de 5 tués par mètre carré, en l'espace de quatre ans. Dans un champ, à Colligis,

voyant si blanc et poilu par référence des rhinocéros, son envie « Oh ! comme je voudrais être eux » . Face à la nouvelle norme, Bérenger est contraint de rester humain = fatalité tragique II. Un plaidoyer pour l’homme ou la quête d’identité   1.     Le problème de l’identité :Le miroir joue dans ce passage un rôle tout à fait essentiel. Il est le symbole même de cette quête d’identité. Bérenger, ne pouvant plus se voir exister dans le regard d’autrui, a recours au témoignage du miroir. Le monologue

d’injustice vis-à-vis des civils (« les planqués ») accusés d’ignorer leurs souffrances et de continuer à vivre normalement. C’est pourquoi, l’état et l’armée incitent les civils à témoigner de leur soutien aux combattants qualifiés en France de « poilus ». La correspondance avec la famille est une priorité de l’armée (vaguemestres des tranchées), l’envoi de colis et le rôle des marraines de guerre sont un réconfort pour les combattants. http://www.decouvrezmussy.org/rubrique%20histoire/cartespostales

comptant par millions, les soldats de la Seconde Guerre mondiale ne peuvent toutefois, comme les « poilus » de la Première, se glorifier de leur combat. Malgré leurs 190 000 morts, leur image de vaincus en fait des anti-héros. C’est la même chose pour les prisonniers de guerre –1 850 000 hommes en 1940 – qui restent des soldats victimes de la débâcle. 3 DOC 1 P 56 DIFFICULTE DU TEMOIGNAGE EN 1945 ET DOC CI-DESSOUS - La particularité du drame vécu par les juifs longtemps n’apparaît