Tempete En Mer Victor Hugo

"La statistique est la première des sciences inexactes." [ Edmond et Jules de Goncourt ] "La curiosité mène à tout : parfois à écouter aux portes, parfois à découvrir l'Amérique." [ J. M. Eca de Queiros ] "Le chien a son sourire dans sa queue." [ Victor Hugo ] "Je travaille à être heureux : c'est le plus beau des métiers." [ Roland de Lassus ] "Un savant est un homme qui sait beaucoup de choses qu'il faudrait connaître mieux que lui pour savoir s'il n'est pas une âne." [ Hector Talvart ] "Je n'aimerais

rudiments de la langue anglaise33. Du 24 avril à la fin août 182534, il effectue un voyage en Angleterre où il découvre le théâtre de Shakespeare35, en assistant aux représentations de Richard III, Henri IV, Othello, Le Marchand de Venise et La Tempête avant qu'une troupe anglaise se déplace à Paris, deux ans plus tard (le 9 septembre 1827)36. Il assiste également à une adaptation audacieuse du Faust (1773-1790) de Goethe (1749-1832). Pour Delacroix, la littérature et le théâtre seront une source

littéraire où sa place est grande. En effet ses descriptions de la nature et son analyse des sentiments du « moi » ont fait un modèle pour la génération des écrivains romantiques en France (« Je veux être Chateaubriand ou rien » proclamait le jeune Victor Hugo). Il a aussi, le premier, dans René ou les Effets des passions (1802) formulé le « vague des passions » qui deviendra un lieu commun du romantisme et fera de René le personnage emblématique de cette sensibilité nouvelle, créée avec une prose ample

choix ;Le passage attachant ne s’y lit pas deux fois,Mais le feuillet fatal se tourne de lui-même :On voudrait revenir à la page où l’on aime,Et la page où l’on meurt est déjà sous nos doigts ! Paru dans l'Echo de la Fabrique (1833) XIX e siecle Victor Hugo(1802-1885) Les Contemplations (1856) « Ce que c'est que la mort » Ne dites pas : mourir ; dites : naître. Croyez.On voit ce que je vois et ce que vous voyez ;On est l’homme mauvais que je suis, que vous êtes ;On se rue aux plaisirs, aux tourbillons

beau-père haï. En 1857, il publie les Fleurs du Mal. Après quelques mois, Baudelaire est déjà condamné pour immoralité. Il est censuré de 6 poèmes et doit payer une amande de 300 francs. Durant ce procès, il reçoit le soutien de sainte Beuve et de Victor Hugo. Ce procès est mal vécu par Baudelaire ; amer, incompris, il s’isole de plus en plus. Il publie une seconde édition, en 1861. Sa santé se dégrade, il souffre de crise gastrique et une syphilis contractée 10 ans auparavant réapparaît. Pour combattre

spatiale d'une chose. Ex : les pyramides d'Egypte. Ou alors le sublime dynamique : satisfaction esthétique liée à la grandeur intensive d'une chose, c'est-à-dire liée à l'intensité des forces qui s'expriment dans le spectacle. Ex : un orage, une tempête en mer, un orchestre, une explosion. b) La vérité A première vue, on peut penser que les artistes sont des menteurs : ils ne font que reproduire les apparences (qui sont elles-mêmes trompeuses), et ils les déforment souvent pour embellir le réel

Correspondances………………..p.5 L’Idéal…………………………..p.6 Hymne à la Beauté…………...…p.7-8 Le Serpent qui danse………...….p.9-10 Le Balcon……………………..p.11-12 Le Mort Joyeux………………….p.13 Spleen « Quand le ciel bas et lourd »………………………..….p.14 PREFACE Victor Hugo : « Au reste, le domaine de la poésie est illimité. Sous le monde réel, il existe un monde idéal, qui se montre resplendissant à l’œil de ceux que des méditations graves ont accoutumés à voir dans les choses plus que les choses. » La poésie, c’est

"La statistique est la première des sciences inexactes." [ Edmond et Jules de Goncourt ] "La curiosité mène à tout : parfois à écouter aux portes, parfois à découvrir l'Amérique." [ J. M. Eca de Queiros ] "Le chien a son sourire dans sa queue." [ Victor Hugo ] "Je travaille à être heureux : c'est le plus beau des métiers." [ Roland de Lassus ] "Un savant est un homme qui sait beaucoup de choses qu'il faudrait connaître mieux que lui pour savoir s'il n'est pas une âne." [ Hector Talvart ] "Je n'aimerais

vent du matin vient glacer à mon front. Souffrez que ma fatigue à vos pieds reposée Rêve des chers instants qui la délasseront. Sur votre jeune sein laissez rouler ma tête Toute sonore encor de vos derniers baisers; Laissez-la s'apaiser de la bonne tempête. Et que je dorme un peu puisque vous reposez. Texte 4: Ariette VII, sections I  « Les Ariettes oublier » 7em poème ,1874 Ô triste, triste était mon âme À cause, à cause d’une femme. Je ne me suis pas consolé Bien que mon cœur s’en soit allé

femme, puisque le bien le mal, l’innocence et l’impureté ont fusionné pour former la femme.Ce poème est dominé par une forte musicalité, il reflète bien la tension entre le spleen et l’Idéal à travers l’ambivalence de la femme. Son corps devient la mer qui transporte le poète vers un voyage sensuel, exotique mais d’une durée éphémère. Promesse d’un bonheur illusoire, à l’image du vin auquel elle est comparée.=L’idéal baudelairien s’incarne à travers la femme6- La Vie antérieure (12ème Spleen et Idéal)La