Terreur nocturne

Terreur Nocturne « Aaaaaaah! Où suis-je? » Je suis dans le noir. Je vois à peine où je pose le pied. J'avance les bras devant moi et le cœur serré pas la peur. Peu à peu mes yeux s'habituent à la pénombre. Je distingue alors quelques détails imprécis de l'endroit où je me trouve. C'est une pièce vide sûrement ancienne et inoccupée à en juger par l'odeur de moisi et de renfermé qui flotte dans l'air. Au fur et à mesure que j'avance, des détails se précisent. Il y à, au milieu de la pièce un

réveille le dormeur, le laissant angoissé. A distinguer du « mauvais rêve » qui, quoique désagréable, se poursuit jusqu’à son terme, mais aussi de la « terreur nocturne », phénomène survenant surtout chez l’enfant, en phase de sommeil profond, qui réveille en sursaut le dormeur mais ne laisse aucun souvenir ou contenu onirique, si ce n’est celui d’une terreur absolue. Les cauchemars peuvent figurer parmi les expériences les plus terrifiantes qui soient car tout ce que Vous rêvez paisiblement quand soudain

des conditions sécurisantes pour l’enfant (doudou, lumière…) Phase 1 : sommeil très léger de qques secondes à qques minutes Phase 2 : sommeil léger : environ 20 mn Phase 3 et 4 : immobilité totale la phase de l’oubli, le plus profond ; phase des terreurs et des cauchemars mais c’est aussi la phase du sommeil profond, réparateur de la fatigue corporelle de la journée Phase 5 : sommeil paradoxale 1 à 5 mn dans le premier cycle jusqu'à 1 heurs ensuite .agit sur la fatigue psychique et aurait une influence

étapes du sommeil et se retrouvent dans tous les stades de la vie. A) Quels sont les différents types de troubles du sommeil ? D’après les textes étudiés, on rencontre des difficultés d’endormissement, des sommeils agités, des insomnies, des terreurs nocturnes, des cauchemars. Il a été observé dans le cadre d’une colonie de vacances une crise de somnambulisme qui a entraîné une gêne de l’exercice du sommeil collectif. Cela révèle la problématique de « dormir en collectivité ». Dans un premier temps

sommeil est morcelé en périodes de 3-4 heures. De trois à six mois : le rythme jour/nuit s’installe Apparition de la périodicité jour/nuit, de la température, des rythmes cardio-respiratoires et des sécrétions hormonales. Les périodes de sommeil nocturne s’allongent. L’installation du rythme jour/nuit se met en place généralement avant 6 mois, mais dépend essentiellement des rythmes extérieurs (prises alimentaires régulières, moment de jeux, promenades, heures du coucher…). De 6 mois à 4 ans :

l'abandon, la peur du noir,… 3. Les parasomnies | Les terreurs nocturnes : Surviennent entre 18 mois et 15 ans. L'enfant s'assoit ou se jette de son lit en criant, il a l'air terrorisé. Les paroles rassurantes ne semblent avoir aucun effet. Au bout de quelques minutes, tout se calme et l'enfant se rendort. Il ne se souvient de rien le lendemain matin. Les parents sont habituellement très inquiets; pourtant ces manifestations nocturnes sont banales à cet âge et sans conséquence pour la santé de

respiration anormal lors du sommeil mais à différent degrés. Les troubles du sommeil 5. Le somnambulisme et la somniloquie ; le premier bouge dans son sommeil, alors que la somniloquie parle pendant la nuit 6. L’énurésie ; uriner au lit 7. Terreurs nocturnes ; Plus intense qu’un cauchemars, effrayants. Réveil brutal. 8. Cauchemars ; émotions négatifs transmises dans le sommeil comme la tristesse, la colère… Graphe troubles du sommeil Conclusion  Le sommeil est obligatoire à l’équilibre mental

aux phases 3 et 4 : les signes vitaux se ralentissent tout en devenant réguliers. Au stade 3 persiste une très discrète activité musculaire et les mouvements oculaires ont quasiment disparu. C'est au stade 4 que peuvent parfois se produire les terreurs nocturnes ou le somnambulisme. C'est à ce moment qu'ont lieu les divisions cellulaires et la production de l'hormone de croissance, d'où l'importance du sommeil chez l'enfant. Le sommeil profond occupe environ 1 heure et 40 minutes au cours d'une nuit

rêve en préparant l'émergence du sommeil paradoxal. L’activité du cerveau est moindre, la température corporelle diminue. Le somnambulisme survient pendant cette phase. Le lendemain, il n'a aucun souvenir de l'épisode de somnambulisme. Les terreurs nocturnes se produisent également au cours du sommeil lent. Chez l'enfant, elles provoquent un réveil confus et anxieux, une sensation d'étouffement sans souvenir de rêve distinct. Les verbalisations fréquentes au cours du sommeil lent, ne sont jamais

(< 3,5 Hz), et les signes vitaux se ralentissent tout en devenant réguliers. Au stade 3 persiste une très discrète activité musculaire et les mouvements oculaires ont quasiment disparu. C'est au stade 4 que peuvent parfois se produire les terreurs nocturnes ou le somnambulisme. C'est à ce moment qu'ont lieu les divisions cellulaires et la production de l'hormone de croissance, d'où l'importance du sommeil chez l'enfant. Le sommeil profond occupe environ 100 minutes au cours d'une nuit moyenne