Terrorisme Au Maroc

Groupe d'action réexamine périodiquement sa mission. Le Groupe d'action financière est un organisme intergouvernemental qui a pour objectif de concevoir et de promouvoir des politiques de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme aussi bien à l'échelon national qu'international. Il est donc un organisme de décision qui s'efforce de susciter la volonté politique nécessaire pour réformer au plan national les lois et réglementations dans les domaines de sa compétence. Le

et Française Internationale). On observe toutefois, depuis les années 2000, l’arrivée d’autres acteurs internationaux : UGB est désormais détenue par le groupe Attijariwafa bank, 6ème banque africaine détenue par la holding de la famille royale du Maroc. Citibank Gabon est quant à elle rattachée à la banque américaine Citibank. UBA (Nigéria), Ecobank et Orabank, banques d’origine togolaise, complètent ce panorama international. La cession en cours des parts de BNPP dans BICIG marquerait, pour la 1ère fois

Maghreb. En effet, contrairement à ce que l’on pourrait penser, au cœur même de L’Union Européenne existent des pays tels que L’Italie, l’Espagne mais aussi le Portugal qui sont spécialisés dans la fabrication de textile et de pièces détachées. Au Maroc, ou en Tunisie, il est possible de se procurer également beaucoup de textile grâce aux nombreuses industries sous-traitantes des groupes internationaux. A coté de ces pays historiquement impliqués dans cette économie parallèle, des nations émergentes

Gandhi. Deux États sont créés : le Pakistan, état musulman séparé en deux territoires, et l’Union indienne, état hindou. C. L’Afrique française (1950-1962) En Afrique française, les processus de décolonisation sont variés : En Afrique du Nord, le Maroc et la Tunisie obtiennent leur indépendance en 1956, après une série de troubles. Par contre la France refuse de « lâcher » l’Algérie, colonie où habitent de nombreux Européens. Une guerre terrible s’ensuit de 1954 à 1962 entre le FLN, Front de libération

écrits en arabe, qui racontent ses nombreux périples d’esclave ou encore des écrits où il parle de l’islam… Un jour, une de ses lettres est interceptée par les autorités américaines qui vont l’envoyer au consulat américain du Maroc. Ces derniers en parlent au Sultan du Maroc, qui exige sa libération auprès du président des Etats-Unis à cette époque, il accepte. Lors de sa mise en liberté, le prince a fait le tour des Etats-Unis pour plaidoyer la cause esclavagiste. Par la suite, il se convertit quand

dimensions internationales comme la prostitution, le terrorisme ou les trafics en tout genre, drogues ou armes. Lors du Congrès mondial sur la lutte contre la contrefaçon et le piratage qui s’est tenu à Lyon les 14 et 2 15 novembre 2005, le secrétaire général d’Interpol , Ronald K. Noble, a déclaré : « Nul pays ne peut à lui seul venir à bout des infractions de ce type. En ces temps où les responsables de police sont concentrés sur le terrorisme et sur d’autres formes de grande criminalité, il importe

miné par ses contradictions, se trouve englué dans des conflits internes. Il semble incapable de prendre l’offensive alors que l’armée française se bat en Indochine. En 1954 il se divise en deux courants: les «messalistes», partisans du recours au terrorisme (le futur M.N.A., Mouvement national algérien), et les «centralistes», tendance majoritaire dans le comité central, partisans d’une voie «tunisienne». L’Organisation spéciale (O.S.) crée alors à Alger, en dehors des deux tendances principales, le

Inde : parti du Congrès mené par Nehru et Gandhi s’oppose aux GB de façon non violente. En Inde aussi, la Ligue musulmane réclame la création d’un Etat musulman indépendant. Indonésie : 2 mvts d’indépendance : PC et parti national de Soekarno. Au Maroc, les nationalistes forment le parti d’Istiqlal. En Tunisie, Néo-Destour dirigé par Bourguiba lutte pour l’indépendance. Algérie : Fehrat Abbas unifie les mvts nationalistes et des émeutes éclatent en 1945. Dans les colo d’Af noire, les élites sont

ou trop-plein de puissance Introduction : Le MENA (Middle East and North Africa) s’étend de l’Atlantique à la vallée de l’Indus, il est doté de 3 grandes interfaces maritimes et de 3 détroits stratégiques. Il regroupe : ⇨ le Maghreb : Maroc, Algérie, Tunisie et Libye (auxquels on peut ajouter Mauritanie et Soudan, 2 pays majoritairement musulmans) ⇨ le Moyen-Orient = pays arabes du Machrek : Égypte, pays de la péninsule arabique et du Golfe (Arabie Saoudite, Yémen, Oman, Qatar, Emirats

affreux n'ont pas le droit de vivre. Mais qui peut décider de la peine de mort de quelqu'un???????? Le Maroc est-il prêt à abolir la peine de mort ? Le royaume franchira-t-il bientôt le pas, devenant ainsi le premier pays arabe à privilégier le droit à la vie à la loi de la vengeance ? Le point. Les abolitionnistes s’activent Selon la Coalition mondiale contre la peine de mort, “le débat au Maroc est l’un des plus avancés de la région MENA et dépasse la sphère restreinte des associations des droits