Test du miroir

d’une évaluation des compétences, on peut faire passer une échelle de Weshler. Cadré par l’outil que constitue le test. Mais rien n’interdit au psy clinicien d’examiner en arrière-plan. On doit s’intéresser à la relation que l’on établit entre le sujet et le subtest. Chaque relation entre une matière (ex : maths) et le sujet est particulière d’une matière à l’autre. L’interprétation du test de WESHLER ne sera pas réduite à sa perception seule des compétences mais c’est aussi un mode de lecture possible

 penser aux comportements antérieurs ⇒ attitudes meilleurs prédicteurs des cpts futurs  conscience de soi (ex.: via miroir) ⇒ accord accru entre attitudes et comportements  ex.: étude (Diener & Wallbom, 1976) - Puissance des attitudes acquises par l'expérience  expérience directe; communication d'une information par autrui; raisonnement  conscience de soi (ex.: via miroir) ⇒ accord accru entre attitudes et comportements  ex.: étude (Diener & Wallbom, 1976) E. Conclusion - Nos attitudes

27 2.1 Description du protocole 27 2.1.1 Procédure 27 2.1.2 Sujets étudiés 28 2.1.3 Quels sont les tests utilisés ? 29 2.2 Résultats des enfants dyslexiques 31 2.2.1 Histoire de cas 31 2.2.2 REVIP, Harmon, test de lecture et masquage 32 2.2.3 Prise d’acuité 33 2.2.4 H-test et test des saccades 34 2.2.5 PPA et PPC 34 2.2.6 Phories dissociées horizontales 35 2.2.7 ROCK 36 2.3 Résultats du groupe témoin 38 2.4 Conclusion 40 3 Conclusion 42 4 Bibliographie 43 Première partie : ETUDE BibilographiQUE

des lasers de puissance de son programme Simulation des armes thermonucléaires, le CEA a ainsi mis au point des revêtements composés de tels matériaux hybrides. Ces matériaux entrent à la fois dans la réalisation de couches réfléchissantes pour les miroirs et dans la protection anti-oxydation des surfaces métalliques des amplificateurs. Des concepts originaux de ce type pourraient également servir à élaborer des nanomatériaux à organisation hiérarchique dotés de propriétés particulières dans d’autres

aussi des symptômes. Ils se traduisent par des hallucinations (dans 10 à 20% des cas), des idées délirantes telles que des idées de vol, de préjudices. Il peut aussi y avoir des troubles de l'identification : la non reconnaissance de soi même dans un miroir et aussi elle peut donner réalité aux personnages de télévision. A fur et à mesures de la maladie, la personne ne peut plus identifier des personnes de sa famille et de son entourage ou alors elle peut croire que cette personne à été remplacé par

rien sans espoir, tout en tombant, et en se relevant plus fort que jamais . Mais moi, je suis toujours à terre et je cherche encore à me relevée . ಌ  Tu écris son nom sur le miroir de tα sαlle de bαin, quαnd il y α de lα buée. Tu restes des heures connectée juste pour être lα si il se connecte. Tu écris son nom pour tester ton stylo ou pour décorer tes cαhiers de brouillon. Tu essαyes de mémoriser son emploi du temps pour pouvoir le croiser. Tu pourrαis pαsser toute lα nuit α regαrder sα photo.

que les individus peuvent devenir nerveux et anxieux, et engendre ainsi une dépression. L'empathie serait un facteur prédisposant à la dépression. La recherche sur l'empathie, une notion particulièrement étudiée depuis la découverte des neurones miroirs, a mis au jour une corrélation entre la capacité d'un sujet à ressentir de la peine pour autrui et sa tendance à la dépression. Cette corrélation serait expliquée par une tendance chez les personnes sujettes à la dépression à s'attribuer une responsabilité

les différents participants. Ainsi, elle présente les avantages suivants : Facilite l’auto-exploration individuelle. Fais gagner du temps Diminution des frais d’entretien Permet d’explorer un sujet Comprendre un processus complexe Trouver des idées Tester des concepts IV. Réussir son enquête qualitative : Le succès d’un entretien ou d’une réunion dépend de l’attitude de l’enquêteur. Elle doit être non normative, non critique, non directive sur le fond, bienveillante, compréhensive. L’enquêteur doit

CHAPITRE UN CHEZ MOI, IL Y A UN MIROIR. Il se trouve à l’étage sur le palier, derrière un panneau coulissant. Les règles de notre faction m’autorisent à m’y regarder le deuxième jour de chaque trimestre, quand ma mère me coupe les cheveux. Je m’assois sur le tabouret et elle se tient derrière moi avec les ciseaux. Mes mèches tombent par terre en formant de lourds anneaux blonds. Quand elle a terminé, ma mère rassemble mes cheveux et en fait une torsade qu’elle noue en chignon. Son calme

contemporain de James qui lui favorise dans ce concept, la socialisation. Pour lui c'est une construction sociale (le regard renvoié par les autres) qui est à l'origine du sentiment de valeur de soi. Il fait référence au « looking glass self », l'effet du miroir social. Mead (1934)  ajoute une nouvelle idée à cette étude : un « autrui généralisé ». C'est à dire que l'individu calculerait une moyenne des regards renvoyés pour en déduire cet autrui généralisé. Toujours dans cette approche interpersonnelle,