Texte Hegel Le Trésor De La Raison Consciente D Elle Même

La Religion Relier ou relire ? Religio=(racine latine signifiant) relier ou relire, selon les interprétations. (Ce qui réunit les hommes (à une même croyance, à une même origine, à une même culture…) (L’acte de relire, de réciter, de prier le Livre, le texte sacré. (Affirmer par là sa fidélité. Activité répétitive qui entretient le souvenir, la tradition, l’identité.) I Les racines de la pensée religieuse La religion plonge ses racines dans les premières impressions des peuples

Denis le Jeune pour transformer la tyrannie en République Constitutionnelle. Platon ira en –366. Les partisans de la tyrannie le voient d’un mauvais œil et l’envoi en prison. Libéré, il retournera en –365 à Athènes, il reprendra son enseignement. En même temps, Denis le Jeune prend goût à la philosophie et demande à Platon de revenir. Il repartira en –361. Ce sera un échec et reviendra en –360 à Athènes. Jusqu'à sa mort en –347, il s’occupera de l’Académie. Œuvres Ce sont d’abord des dialogues

l'art de restituer cette beauté en procurant du plaisir. Aristote distingue le plaisir sensuel des formes et des couleurs et le plaisir supérieur intellectuel donné par les pein- tres qui restituent la beauté de la nature. En tant que propriété de la raison divine, la beauté est la plus haute qualité morale.. La pensée de Plotin (203 -270) est un nouveau point de départ pour la théorie de l'art. Il dépasse en effet le concept d'imitation pour asseoire celui de l'émanation qui vient de la pensée orientale

Les raisons de notre Foi La perte du sens de Dieu. En différentes occasions, le Pape Jean Paul II a attiré l’attention de l’humanité sur la pire disgrâce dont les hommes souffrent aujourd’hui : la perte du sens de Dieu. Il ne s’agit pas d’avoir oublié le pourquoi de Dieu, sa raison d’être pour la vie humaine ; il s’agit même de quelque chose d’encore pire : la perte de Dieu lui-même et de l’instrument par lequel nous arrivons à Lui, la foi surnaturelle. Cette désorientation profonde et existentielle

Inde, Nelson Mandela pour les Noirs aux États-Unis, voilà quelques-unes des personnes exemplaires qui, à la suite du maître de Platon, ont inspiré les hommes et les femmes de ce monde à voir au-delà de ce que l’on leur dit, imposer, fait croire que ce même monde était et qu’il devait être. Mais qu’est-ce qui motive ce respect? N’y a-t-il pas là un enseignement et un questionnement plus fondamental derrière les actes de ces « héros » que les simples mots qu’ils ont proférés par rapport à ceux-ci? Pourquoi

examiner une balance avant que de s’en servir, mais on n’en aurait point pour apprendre ce que c’est que la vérité, si on ne la connaissait de nature. Car quelle raison aurions-nous de consentir à ce qui nous l’apprendrait, si nous ne savions qu’il fût vrai, c’est-à-dire, si nous ne connaissions la vérité. » Lettre à Mersenne, 16 octobre 1639. Le même cercle vicieux (ou « diallèle ») est souligné par Kant : « La vieille et célèbre question, par laquelle on se figurait pousser dans leurs retranchements les

Pour W.H. Auden Ce texte rédigé pour une conférence prononcée à la New School for Social Research le 30 octobre 1970 et remanié pour sa publication sous le titre Thinking and Moral Considerations: A Lecture, dans la revue Socia.l Research (38/3, FaU 1971), constitue le premier écrit du projet, dont Hannah Arendt n'a laissé à sa mort que des notes, rassem­ blées et éditées par Mary McCarthy sous le titre La Vie de l'esprit (en 2 vol. PUP., 1981-1983). Parler de la pensée me semble tellement présomptueux

il a découvert la présence dans toutes les œuvres de l’Antiquité qu’il a étudiées. Ce qui l’intéressait, ce n’était pas l’existence singulière de l’œuvre d’art considérée pour elle-même, mais plutôt ce trait commun qui met en relation toutes les œuvres singulières, les unissant pour composer un ensemble supérieur, même si cette unité ne se réalise qu’au niveau conceptuel. » Riegl entend par là, attribuant en partie ses propres idées à Winckelmann, que cet auteur avait voulu faire une histoire non

partir de l’œuvre de KARL MARX, CONTRIBUTION À LA CRITIQUE DE L'ÉCONOMIE POLITIQUE. Traduit de l'allemand par Maurice Husson et Gilbert Badia. Paris : Éditions sociales, 1972, 309 pages. L’ouvrage comporte 3 textes : 1er texte : Critique de l’économie politique 2e texte : 3e texte : Introduction à la critique de l’économie politique Fragment de la version primitive de la «Contribution à la critique de l’économie politique» (1858). Karl Marx (1859), Contribution à la critique de l’économie politique

Philosophie Cours Tome 1 La raison et le réel Terminale Rédaction B. BENOIT H. ÉLIE J.-P. GUILLOT A. LÉANDRI Y. MAZOUÉ Y. THIERRY N. SIMONDON Coordination 7-PH00-TEPA01-10 M.-O. AUVRAY-ALOUIS Référence : 7-PH00-TEPA01-10 Ce cours a été rédigé et publié dans le cadre de l’activité du Centre National d’Enseignement à Distance, Institut de Rennes. Toute autre utilisation, notamment à but lucratif, est interdite. Les cours du Cned sont strictement réservés à l’usage privé de