Texte Opinion

permis une consultation et une utilisation plus rapide de la toile. Les informations présentes sur le réseau Internet sont, le plus souvent, publiées dans des pages au format HTML (HyperText Markup Language). Ce format permet l’introduction dans le texte de liens à d’autres pages ou d’autres sites(liens hypertextes). Ces liens permettent de « naviguer » dans le réseau Internet. Un autre format tend à se développer sur Internet : le format XML (Extended Markup Language). Outre les possibilités offertes

d’explication de texte philosophiques L’enseignement de la philosophie en classe terminale vise au développement de la conscience critique, c’est-à-dire à l’effort de justification de ses affirmations (qu’on appelle l’argumentation) par un travail de détermination de leurs principes (qu’on appelle l’analyse). L’apprentissage de cette démarche ‘‘analytico-argumentative’’ ou de fondation de ses points de vue sur une recherche de principes est ce dont la dissertation et l’explication de texte philosophiques

philosophie. Dans un passage de Phèdre, Socrate défend l’oral sur l’écrit car selon lui : « L’écrit fige la pensée » L’écrit comporte aussi un risque de mauvaise interprétation de la vraie pensée de l’auteur et il est impossible de reformuler une opinion écrite. Socrate défend la souplesse de l’oral face à la régidité de l’écrit. Il comparait son « métier »/son activité à celle de sa mère, une sage-femme, car il considérait qu’il aidait les hommes à « accoucher de leurs pensées » et se présente comme

de recherche de manière rationnelle), et la somme des connaissances rationnelles acquises grâce à cette recherche. celle-ci s’oppose à la connaissance vulgaire, a l’opinion « doxa ». Le sens commun est négativement connoté quand il désigne une opinion statistiquement majoritaire. D’autres part le sens commun, le « bon sens » est une source de connaissance. Ce savoir a pour nom : la théorie. La qualité d’une théorie dépend de la qualité de la démarche. On emploi le terme science tantôt au singulier

affirmer cela si nous ne les voyons pas? Et si on les voyait pourrions–nous l’affirmer? Descartes, dans le texte La première méditation remet en questions tous ces faits et opinions que nous accumulons toute notre vie en assumant qu’ils sont véridiques. Toutefois, avant d’aller plus loin, il est important de bien comprendre les composantes de son texte, pour ensuite, forger ma propre opinion sur le sujet. D’abord, la quête de Descartes pour la vérité le pousse à refuser les idées préconçues reçues

Explication de texte : proposition d’un exemple Expliquez le texte suivant : « Je me résolu de feindre que toutes les choses qui m’étaient jamais entrées en l’esprit n’étaient non plus vraies que les illusions de mes songes. Mais aussitôt après, je pris garde que, pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les

Thomas. Son père le qualifie «d’arbres tardifs »(l.108), explique que « à force de battre le fer »(l.116), il a obtenu sa licence confirmation de la stupidité de Thomas. On apprend aussi que Thomas est borné : « il s’attache aveuglément aux opinions de nos anciens et que jamais il n’a voulu comprendre les prétendus découvertes de notre siècle»(l.126). En plus d’être stupide, il est aussi borné car il ne veut pas admettre des résultats prouvés scientifiquement. Tout le discours du père est

HOULLIER Jessie TS2 Texte d’Alain 1) * Se baser sur les signes d’une vocation afin d’orienter l’instruction d’un individu semble être le meilleur moyen pour l’individu de s’épanouir et de se distinguer dans la vie, idée contre laquelle s’oppose Alain. Par exemple, un individu qui est passionné de musique et qui se révèle être doué dans ce domaine va s’instruire davantage sur la musique et approfondir ses connaissances sur le sujet en prenant du plaisir à y consacrer des heures

bien dans la science que dans la morale. La raison est la faculté de fonder des lois universelles, des lois qui valent toujours et pour tous. Or la croyance n’est qu’opinion spontanée, subjective. On ne sait pas si elle est vraie ou fausse. Une opinion, c'est ce que je crois être vrai, ce dont je suis persuadé, sans être capable d'en apporter la preuve. Je peux toujours me tromper. La croyance est donc l’opinion qui affirme quelque chose sans savoir. On attend donc de l’homme qu’il examine la

votre capacité d’analyser les problèmes moraux, d’évaluer les différentes opinions et de soutenir votre propre opinion avec des arguments. A la fin des fins, la conscience morale et les convictions morales de chacun sont des affaires privées et je n’ai pas l’ambition de changer ou améliorer quelque chose à cet égard. Mais il y a une chose qui peut être appris, exercée et améliorée: la manière dont nous formons nos opinions morales et sommes capables de les soutenir, la force de nos arguments et