Texte Platon Les Lois

  Le miracle grec a consistait dans le passage d’une civilisation orale à une culture écrite   Mais également dans le passage d’une parole poétique et prophétique avec les premiers auteurs (Homère, Hésiode) à un discours logique et démonstratif (Platon, Aristote)   Et encore, les Grecs ont inventé la logique, l’induction, la déduction, le syllogisme, le principe d’identité,…le théâtre, le rapsode,…la tragédie (Eschyle, Sophocle et Euripide) et la comédie (Aristophane), l’Histoire (Hérodote, Thucydide)

c’est un fait ; * Mais avons nous le droit de manger les animaux ? (on ne comprend pas une loi, mais c’est une exigence morale) ; * Les hommes sont violents, mais avons nous le droit d’être violent ? On réfléchit toujours au rapport avec les lois. - Dans la science, on ne peut pas trop les remettre en questions ces démonstrations. La vérité est une (universelle) alors que les opinions sont plurielles. En sciences il n’ y a pas d’opinion car nous pouvons montrer ce que nous avançons. On peut

concerne le citoyen, celui qui a conscience de vivre dans une cité, qui a conscience qu'il doit s'intéresser aux affaires publiques, c'est-à-dire aux affaires politiques. L'antiquité nous apporte essentiellement l'enseignement des grecs (avec PLATON, ARISTOTE...) mais également des expériences institutionnelles, les idées politiques étant associées étroitement au monde juridique et donc institutionnel. Ces expériences institutionnelles préfigurent des modèles politiques. Les grecs sont des réalistes

L'enceinte de la perfection - l'espace des anciens. Objectifs : distinguer et articuler : espace naturel et espace humain, représentation et construction concrète de l'espace. -> Platon, Timé et Citias, Aristote, Physique Politique De Caelo ou Du Ciel, Epicure et les Epicuriens,Lucrèce De la Nature. -> J.P Vernand, Les origines de la pensée Grecque, Mythe et pensée chez les grecs, ->P. Vidal Naquet : Le Chasseur Noir, Clisthen L'athénien L.Gernet, Le Géni dans la religion grecque

régime politique lié à l’ethos de la Cité, mais sans lui ôter une dimension polémique typique des débats d’idées chez les anciens Grecs. En effet, des politeiai idéales se sont multipliées chez les théoriciens grecs : les modérés ou conservateurs, tel Platon, ont pour but de diminuer la licence populaire ; d’autres au contraire, tel Démosthène, veulent lutter contre la tyrannie et l’autorité personnelle. Mais au-delà de cette dimension strictement politique et polémique, Aristote fait de la Constitution

la raison, qui est l’esprit se ressouvenant de lui-même, accepte donc le mythe, faute de mieux, comme un outil pédagogique. Dans la République (III, 414b sq), Platon, pour attacher les citoyens à leur cité, avance « un pieux et noble mythe », celui de l’autochtonie, qui imagine que les ancêtres sont tous nés de la terre, leur mère. Platon se fait souvent le critique d’Homère, de l’imagination désordonnée des poètes ; il dénonce le mensonge de certains mythes — c’est ainsi qu’ici même, il ne dit rien

paix intérieure. D’un autre côté, on peut voir la Justice comme un bien relatif, une invention pour apaiser les démunis et asservir les puissants. Elle sert à égaliser le monde entier et à empêcher les rivalités et la poursuite des désirs. Dans le texte qui suit, les deux points de vue seront expliqués plus en détail, puis j’essayerai d’expliquer mon point de vue le plus clairement possible. On pourrait d’abord poser l’hypothèse que la Justice est un bien absolu sur le fait suivant : les personnes

d'un pouvoir politique, administratif ou judiciaire)*( le magistrat à Rome est investi d'un pouvoir politique, administratif ou judiciaire) Cette citation peut avoir une relation à une maxime du droit romain selon laquelle le prince est délié des lois, l’empereur romain peut-être dispensé dans certaines conditions de règles de droit privé. A Rome le droit privé concerne le droit des personnes ainsi que la justice civile et les délits privés. Le droit public concerne les cultes, les magistratures

More. Dans cette œuvre, on comprend donc que Thomas More met en place sa réflexion politique et religieuse. L’utopie se présente pendant le séjour du marin chez les utopiens. Chez eux, la liberté religieuse et la tolérance sont érigées en véritables lois. Utopus, fondateur…d’humanisme. A travers ce récit, nous verrons donc comment Thomas More critique l’intolérance religieuse et comment il envisage le modèle utopien. Axe 1 : critique de l’intolérance religieuse La première phrase est énoncée au présent

la passion résulte de l’action du corps sur l’âme et pollue cette âme. Pour l’idéalisme, dont le premier représentant est Platon, la passion est vue comme une sorte d’asservissement au monde sensible (le corps, l’essence...). Or, le but de l’homme (son salut), c’est son âme. Il ne doit s’intéresser qu’à l’intelligible, au « monde des idées ». Le but de la philosophie, pour Platon, est de détourner les hommes du monde sensible (c’est à dire du corps, du désir, de l’économie : matériel), pour se convertir