Texte Scene Finale Le Roi Se Meurt

AUTEUR : Jean de La Fontaine | « Titre du texte » : Les Obsèques de la Lionne (Livre VIII, 14)Titre de l’œuvre : Les fablesDate de publication :1668 | Siècle/ mouvement : XVIIe-Classicisme | Sujet/Thème (s) du texte : La femme du roi Lion vient de mourir. Tout le monde est très attrister sauf le Cerf qui lui se réjouit de sa mort car la lionne avait tué sa femme et son fils. Le lion rentre alors dans une colère noir et veut tuer le cerf mais le cerf lui annonce que la lionne lui est apparut

littéraire à associer deux niveaux de réception : il peut être lu, ou vu dans une salle de spectacle. A la fois texte et objet de représentation, il peut grâce a la mise en scène, donner la possibilité d’une re-création. Le sujet de notre réflexion sera justement ici de savoir si dans le théâtre, il faut forcément représenter la pièce. Ainsi, est-ce qu’une pièce réduite à la lecture du texte peut-elle être comprise ou faut-il qu’elle soit représentée ? Nous verrons dans un premier temps que la lecture

ECRITURE : Le dilemme de ChimèneSUJET  : A la suite de la scène 5 de l’acte II, Elvire informe Chimène de la mort de son père, tué par Rodrigue. Ecrivez la scène en mettant en valeur les émotions de Chimène dans une tirade. Critères de notation :· Votre texte est présenté comme une scène de théâtre. Le genre de la pièce est respecté : tragique, vocabulaire soutenu. Vous pouvez écrire en vers ou en prose, au choix· Seuls deux personnages sont en présence : Chimène et Elvire· Votre

Commentaire de texte – Phèdre acte V, scène 7 – Jean Racine 1 Ce passage est tiré de la scène 7 de l'acte V de Phèdre, œuvre de Jean Racine au XVIIème siècle. À la fin de l'acte III, le retour de Thésée a précipité l'action. Le roi a cru aux mensonges d'Œnone – confidente de Phèdre – contre son fils – Hippolyte – et, sous l'effet de la colère, sans écouter ses protestations d'innocence de son fils, a appelé contre lui la malédiction de Neptune. L'acte IV se termine

mourra donc lui aussi. 2)La mort comme nivellement. Il y a un nivellement entre les vivants et les morts (les vivants finiront par mourir). Tout le monde meurt : les politiciens, les hommes de loi, les courtisans... L'auteur joue sur les temps verbaux : l'imparfait qui représente le vivant est suivi par le présent qui représente la mort.(scène fossoyeur Il y a un nivellement social : ■ quel que soit leur métier, leur niveau de vie, tous sont morts ■ Il y a un jeu entre les classes sociales

Prélude (exposition des thèmes de l’introduction du IIIe acte et de la grande scène de somnambulisme du IVe). Pendant un orage, dans un bois en Écosse, des sorcières se réunissent pour ourdir de sombres complots (Che faceste ?). Elles entendent arriver Macbeth et Banquo, nobles écossais qui combattent pour leur roi Duncan, et décident de s’en prendre à Macbeth. Elles lui annoncent qu’il deviendra duc de Cawdor, puis roi d’Écosse, et que la descendance de Banquo règnera à son tour sur ce royaume.

Résumé : Ses parents morts, Tristan est confié à son oncle, le roi Marc, qui vit en Bretagne Armoricaine. Quelques années plus tard, Tristan affronte le beau-frère du roi qui terrorise l’île : le géant Morholt. Le héros reçoit un coup d’épée empoisonnée, mais il blesse mortellement le géant qui lui révèle, dans un dernier souffle, qu’Iseut a le pouvoir de le guérir. C’est elle qui soigne Tristan avant qu’il ne retourne chez son oncle. Le roi Marc veut un successeur. Ne sachant vers qui porter son choix

caractéristiques les plus étonnantes du texte théâtral, la moins visible, mais peut-être la plus importante, c’est son caractère incomplet ». Pour elle, le texte théâtral est donc « troué », ce qui exige du metteur en scène une interprétation. Vous discuterez ce point de vue en prenant appui sur les textes du corpus et sur les œuvres que vous avez lues ou étudiées, notamment Rhinocéros. Le théâtre doit son unicité au fait qu’il est composé à la fois d’une partie écrite, le texte, et d’une partie interprétation

compassion, la pitié du lecteur envers le personnage. Poignant. Méthode : Pour la question, être synthétique, éviter les répétitions. «Malgré que» (le fait que) ≠ «Bien que» (+ subjonctif). Présente des didascalie, et non «possède». Être précis : cette scène représente la mort du personnage. Limiter les «de plus», «à travers». Trouver les termes logiques qui correspondent. Pas de langage parlé : «on va voir cet extrait ...» Ne pas commencer à démontrer quelque chose par la relève d’exclamatives. Ne pas

prononcées. Les critiques : -Le clergé : lâche (cf. l.30 à 34) : le père Joseph « s'en tira sans bruit » et « Jésuites se dérobèrent » après avoir « flattés l'opinion » pour conserver le pouvoir. Le clergé ne veut pas se compromettre. - La Cour du roi (Louis XIII) : sentiment malsain de curiosité et de fascination : antithèse (l.29) « admirait et tremblait ». Un contexte éloigné « vue de soixante lieues » (l.27) : un divertissement pour purger la peur du surnaturel (catharsis). -Démesure des moyens