The Rev

James Owen (Jimmy) Sullivan (10 février 1981 - 28 décembre 2009), plus connu sous le pseudonyme de The Reverend Tholomew Plague, abrégé en The Rev, était le batteur de la formation hard-rock/metal américaine Avenged Sevenfold. Son style de jeu, peu commun, était basé sur l'utilisation d'une triple grosse caisse. Il était reconnu pour ses breaks extrêmement rapide. The Rev faisait également partie de deux autres groupes, en tant que chanteur de Pinkly Smooth, qu'il forma avec Synyster Gates, le

have to say Nightmare, Avenged Sevenfold fifth album, was made with pain, due to Jimmy Sullivan's death, drummer who died at the age of 28, last December. Entirely composed before the one we called The Rev took his leave, Nightmare was such a difficult record to finish : a real Nightmare where some guardian Angels nevertheless bent down. First, this amazing tandem made up of the producer Mike Elizondo (a multi-instrumentist with an eclectic CV (Switchfoot, Rihanna, etc...)) and Andy Wallace (Slayer

Extract 6 Reverend Ambrose wants to talk to Grant about the importance of saving Jefferson’s soul. There are only three weeks left before the execution and he knows that Grant is the only one Jefferson will listen to. Grant says that he can’t prepare Jefferson for a “better world” after death because he doesn’t believe in it. Reverend Ambrose tells him that although he went to college, Grant is far from educated, he knows little about his own people and doesn’t even really know himself. In

technique la plus souvent utilisée est le direct ou le overhand. Back-fist* : coup de poing de revers (appelé également « reverse » en anglais). Spinning back-fist* : coup de poing de revers et retourné (en tournant, dans son dos, sur soi-même). (*) Autorisés dans certaines boxes mais pas dans tous les pays Coup de poing retombant (overhand) | Cross-counter plongeant | Coup de poing de revers (back-fist) | Direct court | Coups de poing hybrides Bolo-punch : coup de poing

leur premier maxi Time to Pretend. À l'automne 2006, MGMT s'engage avec Sony/Columbia Records pour la production de 4 albums. En 2007, le groupe enregistre son premier album Oracular Spectacular en compagnie du producteur Dave Fridmann (The Flaming Lips, Mercury Rev, etc.). Il se classe au 12e rang des meilleurs ventes au Royaume-Uni dès la première semaine. Pour leur tournée, le groupe s'étoffe avec l'arrivée de 3 nouveaux membres. Le 5 octobre 2007, le site internet spin.com désigne MGMT "Artiste

le ciel. Il est tard. Richard Allen Shaggley est allongé dans son fauteuil. Il regarde une tasse de thé par terre. Avec effort il la ramasse et fixe le visage de Marylin Monroe imprimé sur la tasse. « Salut à vous, très chère. » murmure-t-il. « Bonjour à vous, cher ami » lui répond-elle. Ils discutent pendant deux heures. Richard dépose la tasse sur son chevalet à moitié détruit, balaye d'un revers de main la poussière de plâtre qui traîne sur son oreiller et s'endort. Le lendemain matin il se

puis la loi Sarkozy de 2005 prévoient des interdictions de stade et la dissolution des clubs de supporteurs les plus agités. Dispositions qui ne sont jamais entrées dans les faits, malgré certains effets d'annonce. Il est vrai qu'il y a un sacré revers à la médaille, comme le fait remarqué Jean-Charles Basson, maître de conférence à l'université de Toulouse III : « C'est aussi envoyer les gens dans la nature. Lorsqu'ils sont dans des clubs, on sait où ils se situent. Quant à les interdire de stade

lors de la précédente nouvelle, je m'en suis lassée. -le scarabée d'or Nous sommes en 1845. En Caraline du Sud. A Charleston plus précisément. On y fait la rencontre d’Edgar Legrand, un homme qui s’est réfugié dans cette ville après un revers de fortune. Mais Edgar fait un jour, sur l’île de Sullivan, une bien étrange trouvaille près d’une épave découverte : celle d’un objet qui représente un scarabée. Mais cette effigie est en or massif. Excellente opportunité de se refaire financièrement

voit le potentiel des bars à espresso après un séjour en Italie en 1983.2 Constatant leur immense popularité et raffinement dans ce pays, le directeur désire développer une culture similaire à Pike Place à Seattle. Il désire créer ce qu’il appellera «the Starbucks experience». Cette dernière se veut comme la création d’une expérience unique alentour du café et ce, en offrant un café de spécialité et en initiant le consommateur. C’est ainsi qu’en 1984 Howard convainc les fondateurs de servir leur premier

chats des terrasses, du cimetière et du principal four à pain du Marshan se réunissent là comme pour assister au spectacle qui se donne en silence et dont personne n'est dupe. Les longues pipes de kif circulent d'une table à l'autre, les verres de thé à la menthe refroidissent, cernés par des abeilles qui finissent par y tomber dans l'indifférence des consommateurs perdus depuis longtemps dans les limbes du haschisch et d'une rêverie de pacotille. Au fond d'une des salles, deux hommes préparent