The Rolling Stones

sont héritées des écrivains de la Beat Generation, également considérés comme précurseurs du mouvement car eux aussi exprimaient une rupture avec la société de masse. Ils menaient une vie libérée, faite de déplacements constants : Sur la route (On the Road, 1957) fut un livre emblématique de cette quête et le restera pour les hippies, bien que Kerouac se désintéressa des hippies. Allen Ginsberg en revanche en resta proche, et inspira entre autres Bob Dylan. Gary Snyder, au travers de ses écrits et

fait de Zadig & Voltaire un label musical et a sorti This, is our music un opus en collaboration avec l'un des producteurs des Daft Punk.       DES EGERIES DE CHOIX Sean Lennon et Charlotte Kemp Mulh, Jamie Hince et Alison Mosshart du groupe The Kills, le couple hype formé par Mark Ronson et Joséphine de la Baume et enfin, le top texan Erin Wasson, dernière égérie en date à qui Thierry Gillier a laissé le privilège de dessiner une collection capsule pour la rentrée 2011. ATTRIBUT PRODUIT 

contreculture hippie. Des concerts gratuits furent proposés, dont les recettes furent réservés à une œuvre de charité. Plus de 200 000 personnes ont participé à ce festival, généralement considéré comme le début du « Summer of Love ». Jimi Hendrix et The Who y jouèrent pour la première fois. Et permis une évolution personnelle et artistique des Beatles à jouer un rôle durant se festival. All You Need Is Love, écouté dans le monde entier était axé sur des idées d’amour et de paix. Le quartier Haight-Ashbury

AC/DC, Aerosmith, Alice Cooper, Led Zeppelin, Rory Gallagher, Eric Clapton, les Rolling Stones, Kiss, Queen, Jimi Hendrix, Jeff Beck, Neil Young et Michael Jackson. Malgré les dires de certains, Slash n'a jamais été influencé par Eddie Van Halen et malgré l'estime qu'il lui porte, il n'a jamais cherché à imiter son style. La première chanson qu'il apprend à jouer, comme beaucoup de guitaristes débutants, est Smoke on the Water de Deep Purple. Totalement absorbé par son instrument, Slash commence à

venu prendre la place ki nous revient D for the Dance ,L for the Light ,R to be right coz we Côme to the partyyyyyyyyyy,,E to the evelyn M to the muffin king, motherfucker listen t'track coz we Côme to the party.......i got a (real) feeling everytime when i go to the party,people on the dancefloor move their body its crazy ,\Drink in red cup ,haïr in many Color,,i put my Rayban on my eyes to got another vision,down !! Do the party its our work ,same the monday we'll meet in fuckin'club,yeah pop chmpagne

Richie Havens qui ont le plus révolutionné le mouvement Hippie en faisant passer des messages dans les paroles de leurs chansons. On appelait cela des « protest song » Nous pouvons notamment le remarquer dans la chanson extrêmement connue « Blowin' In The Wind » de Bob Dylan, où le chanteur explique qu'il faut retourner aux sources des choses, c’est-à-dire à la nature et de ce fait arrêter de consommer à tous prix et stopper toutes ces guerres qu'ils jugeaient inutiles : « Oui, et combien de fois doivent

Verdin (3:32) Alright - Supergrass (3:00) J'suis au maximum - Jérémy Kapone & Lise Lamétrie (0:07) Dreamers - Jean-Philippe Verdin (3:41) Here to stay - Kate Stables (3:10) First day of my life - Bright Eyes (3:03) On the road to Splifftown - Jean-Philippe Verdin (0:28) L'euthanasie - Christa Theret (0:12) Lola - Jean-Philippe Verdin (3:21) Last night - Jade-Rose Parker (0:05) Are U gonna dance? - Junesex (2:52) Tamaget au baconnet - Félix Moati

prononcé pour la première fois en1955 par Laurence Alloway, critique d’art anglais. C’était une forme expérimentale que beaucoup d'artistes s'approprièrent indépendamment les uns des autres mais Andy Warhol sera, plus tard, considéré comme « Pope of the Pop » c'est-à-dire « Pape du Pop » par ses contemporains. Les procédés utilisés par les artistes étaient souvent des nouveaux produits qui sortaient tout juste de cette société de consommation : acrylique, sérigraphie, etc et les couleurs sont souvent

Anecdotes 1. Mai 68 en musique. La génération de Mai 68 fut bercée par la musique: la jeunesse affirme ses idées, mais aussi ses goûts musicaux: c’est une véritable identification. Du chanteur Renaud, en passant par The Beatles, Johnny Halliday ou encore The Rolling Stones, par sa musique la jeunesse affirme sa culture autant qu’elle affirme ses problèmes et ses revendications. On s’oppose a la musique de la génération précédent, on boycotte Mireille Mathieu, Claude François, et en général la

textes de Bob Dylan (A Hard Rain's A Gonna Fall, Blowin' In The Wind, Talking World War 3 Blues), la période de 1958 à 1978 à laquelle notre numéro est consacré fut le théâtre d'une gradation évidente, en passant par les textes des Doors, des Pink Floyd, de John Lennon, de Neil Young ou des Ten Years After pour ne citer qu'eux et en débouchant sur des plaidoyers bien plus osés avec l'apparition du mouvement punk en Angleterre (The Clash, The Sex Pistols) dont le franc-parler et la dimension violente