Théâtre de la Toison d'Or

fiction(s) chez Colette», thèse de doctorat, 1986, viii, 458 p. Dir. : Monique Bosco. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35 U54 1986 v.010; UdeM L.S.H. PQ 35 U54 1986 v.010; Microfilm; CÉTUQ. Alonzo, Anne-Marie, «Problèmes pratiques de l’adaptation, du roman au théâtre : Ravages de Violette Leduc», mémoire de maîtrise, 1978, iv, 377 p. Dir. : Monique Bosco. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35 U54 1978 v.009; UdeM L.S.H. PQ 35 U54 1978 v.009; Microfilm; CÉTUQ. Amesse, Fernand, «Étude de l’image poétique de la femme dans

2.2.1. Tristan et Yseut 1.2.2.2.2. Marie de France 1.2.2.2.3. Chrétien de Troyes 1.2.3. parodie: Roman de Renart 1.3. fabliaux, contes et fables 1.4. cas spécial : Aucassin et Nicolette 2e Année 2. littérature dramatique 2.1. théâtre religieux 2.2. théâtre profane 2.3. fin moyen âge 3. littérature lyrique 3.1. poésie courtoise 3.2. Villon 4. Roman de la Rose 3 A LIRE 1e année - Chanson de Roland, éd. & trad. fr. I. Short, Paris 1990, Le Livre de Poche, «Lettres gothiques»

nuages, à leur fantaisie. Il y a un duel constant entre le ciel et les intérêts terrestres. Le baromètre attriste, déride, égaie tour à tour les physionomies. D'un bout à l'autre de cette rue, l'ancienne Grand'rue de Saumur, ces mots: Voilà un temps d'or! se chiffrent de porte en porte. Aussi chacun répond-il au voisin: Il pleut des louis, en sachant ce qu'un rayon de soleil, ce qu'une pluie opportune lui en apporte. Le samedi, vers midi, dans la belle saison, vous n'obtiendriez pas pour un sou

lui même à la mer; • Par ses chants il immobilisa les terribles rochers mouvants, les Symplégades, qui menaçaient de briser le navire; • Par ses chants il encouragea les rameurs; • Par ses chants il charma le terrible serpent gardien de la Toison d'or. • Par ses chants il vainquit les sirènes et leurs sortilèges. A son retour, il épousa la dryade Eurydice et il s'installa en Thrace parmi le peuple des sauvages Cicones. Un jour, près de Tempé, dans la vallée du fleuve Pénée, Eurydice refusa

infini que j'aime et n'ai jamais connu? De Satan ou de Dieu, qu'importe? Ange ou Sirène, Qu'importé, si tu rends,fée aux yeux de velours, Rythme, parfum, lueur, ô mon unique reine! L'univers moins hideux et les instants moins lourds? LA CHEVELURE O toison, moutonnant jusque sur l'encolure! O boucles! O parfum chargé de nonchaloir! Extase! Pour peupler ce soir l'alcôve obscure Des souvenirs dormant dans cette chevelure, Je la veux agiter dans l'air comme un mouchoir. La langoureuse Asie et la brûlante

l'ombre  du  studio  de  Mallarmé,  qui  lui­même  procédait des ateliers parnassiens : cette réflexion sur la technique du  vers, devenue, chez Mallarmé, une réflexion sur la technique de tous  les  arts  du  successif  (poésie,  musique,  danse,  théâtre)  devient  chez  Valéry  une  réflexion  sur  une  technique  plus  générale,  une  technique  quelconque,  mais  le  lien  n'est  jamais  coupé  de  cette  technique  quelconque avec la technique particulière dont elle procède et qui en  procède à son tour

le loup devenu berger, plus communément en simple récit. Cela posé, comme le fabuliste ne peut être aidé par de véritables acteurs, par le prestige du théâtre, et qu’il doit cependant me donner la comédie, il s’ensuit que son premier besoin, son talent le plus nécessaire, doit être celui de peindre : car il faut qu’il montre aux regards ce théâtre, ces acteurs qui lui manquent ; il faut qu’il fasse lui-même ses décorations, ses habits ; que non seulement il écrive ses rôles, mais qu’il les joue en

Dauban, attribution contestée par Barbier qui précise que seuls certains passages sont de sa main. Il donne au jour le jour les évènements de la Révolution depuis le 1er janvier 1793 jusqu'au 31 décembre de la même année. Rousseurs. BEAUMARCHAIS. Théâtre. Le Barbier de Séville. – Le Mariage de Figaro. Avec Notices et notes par Ch. Beauquier. Paris, Lemerre, 1871-1872. 2 volumes in-16, maroquin janséniste marron, dos à 5 nerfs, dentelle intérieure, tranches dorées (Reliure de l'époque). 250 € Jolie

climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l’air et m’enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. XXIII. LA CHEVELURE Ô toison, moutonnant jusque sur l’encolure ! Ô boucles ! Ô parfum chargé de nonchaloir ! Extase ! Pour peupler ce soir l’alcôve obscure Des souvenirs dormant dans cette chevelure, Je la veux agiter dans l’air comme un mouchoir ! La langoureuse Asie et la brûlante

Orfraies", dans Du Romantisme au surnaturalisme, ouvr. cité, p. 147 à 166. 29. Cf. Pl. I, p. 793, et l'annotation de Lesbos. 30. Dans une liste de projets de romans, on voit paraître Les Tribades (Pl. I, p. 589): influence de Balzac (La Fille aux yeux d'or) et de Gautier (Mademoiselle de Maupin)? 31. Cl. Pichois, Pl. I, p. 1361. 32. Lettre à A. Fraisse, 18 février 1860. 33. Citons, pour mémoire, les études d'A.-M. Amiot, Baudelaire et l'illuminisme, Nizet, 1982, et de P. Arnold, Ésotérisme de Baudelaire