Théâtre des Folies-Dramatiques

Merluchon », v. 1880 Théâtre Les Trente, drame national en IV actes et en vers, 1840 Un souper sous la Régence, comédie vaudeville en un acte, avec Raimond Deslandes, Paris, Théâtre des Délassements-Comiques, 15 novembre 1845 Les Fleurs animées, vaudeville en 1 acte, avec Charles Labie et Xavier de Montépin, Paris, Théâtre du Vaudeville, 13 juillet 1846 Ma Tabatière, ou Comment on arrive, comédie-Vaudeville en 4 tableaux, avec les frères Cogniard, Paris, Théâtre du Gymnase-Dramatique, 15 mars 1849

combats moraux de l'après-guerre, une guerre ou il perdit son père. L’œuvre de camus comprend des pièces de théâtre, des romans, des nouvelles, des poèmes et des essais dans lesquels il développe un humanisme fondé sur la prise de conscience de l'absurdité de la condition humaine et également sur la révolte comme réponse à l'absurde. En 944, Albert Camus crée Le Malentendu qui est une pièce de théâtre en trois actes qui fait partie du cycle de l'absurde. L’extrait que nous allons étudier du Malentendu

à l’imagination la plus folle 1) Liberté et imagination dans le texte lui-même • [Liberté de parole même quand la censure menace.] • Imagination dans la construction du sujet comme dans le choix des thèmes. Toutes les fantaisies, toutes les « folies » sont permises. • Ex : Shakespeare, Le Songe d’une nuit d’été 2) Liberté et imagination dans la mise en scène • Un choix très grand dans la mise en scène (décors, costumes, lumières, sons) qui permet de varier à l’infini un texte de départ et

des personnages »jouent la comédie » est un ressort dramatique efficace. Molière dans « le malade imaginaire », Hugo dans « Ruy Blas » ont eu recours à ce procédé, que Musset reprend dans « on ne badine pas avec l’amour ». Perdican aime Camille, mais celle-ci, sous l’influence des religieuses qui l’ont élevé, la repousse. Pour se venger, il badine avec une jeune paysanne, Rosette, alors qu’il sait que Camille, cachée, l’entend. La tension dramatique est alors à son comble : Perdican se joue de Rosette

Le théâtre parisien au XVIIIe siècle. Le XVIIIe siècle à Paris est marqué par une « théâtromanie » qui anime la société en entier. Le théâtre, loin d’être qu’un simple divertissement, est un véritable lieu de sociabilité et de rencontre, voire une nécessité du quotidien pour les plus aisés[1]. Sur une population de 500 000 habitants, on estime que le public assidu s’élève autour de 50 000 personnes, soit une personne sur dix[2]. Ce public est loin d’être homogène. Il rassemble des individus

Caligula, est une pièce de théâtre dramatique organisée en 5 actes. Les personnages principaux sont Caligula (l’empereur), Hélicon (esclave affranchi), Scipion (poète), Caesonia (maîtresse), Cherea (littérateur), Drusilla (sœur de Caligula). Cette pièce a pour principale visée de montrer la plus humaine et la plus tragique des erreurs. Dans cette pièce, l’empereur, Caligula, va repousser les limites de la logique jusqu’à l’absurde pour pouvoir appliquer sa liberté, qui se révèlera ne pas être la

existe évidemment de nombreux modèles différents de revue, mais la première vague a été une importation de la revue de fin d'année donnée dans les théâtres. Au Portugal, des revues satiriques et politiques de la Seconde République circulent. Une autre phase de transfert a lieu dans les années 1880, lorsque la revue se répand à Paris, tant dans les théâtres que dans les cafés-concerts. Entre-temps, Il Cabaret, né dans les salons de Montmartre, mais également développé en Autriche, s'est également développé

« Un texte de théâtre est à voir. Un texte de théâtre est à écouter. Est-ce qu’un texte de théâtre est à lire ? », Francis Huster. Le théâtre se distingue des autres genres littéraires par son double mode d’existence : il est à la fois texte et spectacle. Mais alors le théâtre doit-il nécessairement être représenté ? Nous verrons qu’il est bien qu’il le soit puis nous nuancerons ce point de vue. A ses origines, il était utile, si ce n’est nécessaire, que le théâtre soit joué car la majeure partie

auront 19 enfants. De 1679 à 1725 il est ordinaire de la musique de la chambre du roi pour la viole. Il prend des cours de composition avec Lully. En 1686, il publie une première collection d'Airs de viole, qu'il dédie à LUuly, et son Idylle dramatique est donnée à Versailles. En 1692, ses Pièces en trio pour les flûtes, violons et dessus de viole sont une première du genre. Son Alcide, en collaboration avec Louis Lully (1664-1734), sur un livret de Jean-Galbert de Campistron est créée

bibliographie Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux naît en 1688 à Paris. Il passe son enfance à Riom et dès son retour dans la capitale en 1712, il entame une discrète carrière littéraire. Il publie plusieurs romans dont Pharsamon ou les nouvelles folies romanesques, La voiture embourbée, Les Effets surprenants de la sympathie… Le public ne s’intéresse pourtant à lui qu’en 1720 grâce à la comédie Arlequin poli par l’amour. Mais Marivaux est aussi un romancier. Il a écrit La vie de Marianne en 1731-1741