Theme De Beaumarchais

‘barbare’ et les tuaient afin qu’ils puisse imposer leur culture. Pour Montaigne c'est la preuve que notre culture est incapable de reconnaître sa propre barbarie. L’ignorance d’une culture n'amène jamais rien de bon. Selon Pierre Augustin Caron de Beaumarchais << Après le bonheur de commander aux hommes, le plus grand honneur n'est-il pas de les juger? >> Les jugements et les préjugées sont souvent liés au pouvoir. En faisant un jugement, il est une réflexion de nous mêmes. L’ignorance

dit : des comédiens professionnels, le terme est, de nos jours, utilisé dans de nombreuses langues, dont le français. - La comedia : - L'auto-sacramental : Pièce de théâtre espagnole basée sur une allégorie religieuse et ayant comme thème préféré le mystère de l'Eucharistie (exemple : Le Grand Théâtre Du Monde de Calderón). Ces pièces ont été données du XVIe au XVIIIe siècle, jusqu'à leur interdiction en 1765. - La tragédie : Genre théâtral dont l’origine remonte au théâtre grec

donner la pleine mesure de son talent avec des opéras comme Les Noces de Figaro (1786), Don Juan (1787) et Cosi fan tutte (1790). Une fois de plus l'amour est au rendez vous des opéras de Mozart. Canova sculpteur du 18me siècle a immortalisé le thème dans" Psyché ranimée par le baiser de l'amour". Si le succès à Prague de Don Juan fut retentissant, Mozart continua de souffrir de l'indifférence viennoise, et des cabales montées contre lui par ses confrères comme Antonio Saliéri. Seule une commande

Toutefois, il y a un débat : passer du vers à la prose. -Rousseau pose les limites de la prose poétique dans son livre Les rêveries du promeneur solitaire. 2- Le théâtre. -la comédie sert a critiquer, a dénoncer les inégalités sociales ( cf Beaumarchais et Marivaux ). -Voltaire écrivait des tragédies. Ce siècle invente le drame bourgeois. Multiplication des sous genres qui entrainent la révolution romantique au siècle suivant. 3- Le roman. -c'est le genre qui a le plus évolué au XVIII° siècle

BTS SYNTHESE DU SUJET 1 SUR LE RIRE « Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer. » disait Beaumarchais en son temps. Si le rire est un moyen efficace pour se défouler, alors comment fonctionne-t-il ? Peut-on considérer que le rire n’a pour effet que l’immédiateté, que l’instant où on s’esclaffe ? N’a-t-il pas une raison plus profonde souvent implicite ? Le corpus qui nous est soumis est constitué de quatre documents qui sont censés faire rire. Un extrait

déconstruction du personnage est mimétique de la mort de l’homme » M. Foucault. « On est meilleur quand on se sent pleurer, on se trouve si bon après la compassion » Beaumarchais. « Le comique est de l’ordre du laid » Hugo. « Pour jouer Marivaux, il faut jouer qu’on joue » Louis Jouvet dans Témoignages sur le théâtre. « Le thème de la pièce, c’est le rien » Ionesco pour sa pièce Les Chaises.

Molière a Marivaux Molière apparaît comme une figure exceptionnelle dans le domaine du théâtre par la diversité de ses talents et sa capacité à explorer toutes les gammes du comique. La comédie, florissante aux xviie (Molière) et xviiie siècles (Beaumarchais, Marivaux), se caractérise par quatre traits principaux : ses sujets sont tirés de la vie quotidienne ; ses personnages sont de condition moyenne et fortement individualisés (ce ne sont pas des caricatures) ; son dénouement est heureux ; l'effet

livrée dans l’enceinte théâtrale. Le courant littéraire de L'Ile des esclaves : Les Lumières. La comédie en un acte (11 scènes) de Marivaux est marquée par un thème socio-politique : la critique de l'ordre social et de la hiérarchie religieuse. Elle s'inscrit à la fois dans le théâtre de Marivaux - avec le jeu du travestissement et le thème de l'amour - et dans la pensée du 18°s. Les personnages principaux : - Iphicrate, général athénien. En grec, son prénom renvoie à son ordre social et signifie

cette lettre assez courte paraît anecdotique : c’est au lecteur de tirer un enseignement de cette « anecdote » (pas didactique). Le texte est descriptif (nombreuses scénettes) et sa composition repose sur l’apparence et la réalité (insister sur le thème du regard et le genre épistolaire tout au long du texte + Conclusion éventuelle sur une réflexion philosophique proposée par ces deux options). 1er paragraphe Rica avec l’habit, 2e paragraphe sans l’habit. → antithèse : habit persan = intérêt,

l’escabeau et de la lunette Tableau (retourné au début de la pièce) : aucune ouverture sur quoi que ce soit, pas de perspective de rapport au monde, refus ostentatoire d’ornementation. Fauteuil roulant : élément classique du théâtre (cf. Molière ou Beaumarchais) mis à la sauce absurde Deux poubelles « l’une contre l’autre » « vieux draps  » : sortes de linceuls (la réplique première renvoie à la mort), « grand mouchoir taché de sang » (+réveil+chien+gaffe[1]). La symétrie du décor (cf. début d’Oh