Thémis

question de l’interprétation de la Constitution comme domaine de prédilections de la théorie du droit dworkinienne Bibliographie Manuels Michel Troper, Philosophie du droit, PUF, Que sais-je n° 857, 2003 Christian Atias, Philosophie du droit, PUF, Thémis, 2ème éd. 2004 Christina Atias, Questions et réponses en droit, PUF, L’interrogation philosophique, 2009 René Sève, Philosophie et théorie du droit, Dalloz, coll. Cours, 2007 Jean-Cassien Billier et Aglaé Maryioli, Histoire de la philosophie du droit

C'est comme si une image morcelée du droit nous était renvoyée par un miroir brisé. Sa contemplation ne fournit donc que des fragments qui peuvent être rassemblés à l'aune des deux représentations de la justice dans la mythologie grecque : d'une part, Thémis, qui symbolise la loi édictée par un pouvoir, et, d'autre part, l'une de ses filles issue de l'union avec Zeus : Dikè, qui incarne le droit en action, la justice concrète mise en œuvre entre les hommes. Dikè ou le droit dit. La justice est symbolisée

connaissaient tous avant l'affreux message, Mais qui ne me connaissent plus. Eh bien ! j'ai trop vécu. Quelle franchise auguste, De mâle constance et d'honneur Quels exemples sacrés, doux à l'âme du juste, Pour lui quelle ombre de bonheur, Quelle Thémis terrible aux têtes criminelles, Quels pleurs d'une noble pitié, Des antiques bienfaits quels souvenirs fidèles, Quels beaux échanges d'amitié, Font digne de regrets l'habitacle des hommes ? La peur fugitive est leur Dieu ; La bassesse

l’expression de la volonté des Dieux, elles ne sont pas le fruit de l’expression de la volonté des hommes. Le pouvoir est institué pour faire respecter le droit, qui vient des Dieux. Le cas Thémis :(la justice) au sens de ce qui est autoriser. La diké c’est la volonté des Dieux (ce qui est juste en soi). La Thémis est la transmission dans le monde des hommes dans la Diké. C’est le roi qui va être l’articulation entre les deux. Ce qui est dit être juste se fonde sur la volonté des Dieux. C’est donc une

Titans de la mythologie grecque, il y en a 12 : -Cronos, le plus important des Titans, régna sur l’Univers jusqu’à se qu’il soit détrôné par son fils. -Océan, le fleuve qui entourait la terre -Téthys, sa femme -Mnémosyne, déesse de la mémoire -Thémis, déesse de la Justice divine -Hypérion, père du soleil, de la lune et de l’aube -Japet, le père de Prométhée et qui portait le monde sur ses épaules -Prométhée, il inventa les mortels et l’Atlas,

 3tans  (12)   Okéanos  (océan,  eau  douce)   Coios    (?)   Crios  (commandant)   Hypérion  (soleil)   Japet  (celui  qui  précipite)   Théia  (reine)   Rhéia  (grande  mère)   Thémis  (jus7ce)   Mnémosyne  (mémoire)   Phoibé  (brillante)   Téthys  (mère  marine)   Cronos  (temps)   Les  cyclopes  (3)   Brontès  (Tonnerre)   Stéropès(Éclair)   Argès  (Foudre)   Les

l’Univers. Mais la n’est pas la planche d’aujourd’hui ! Revenons à la JUSTICE , Quelque recherche m’ont menées à m’intéresser à Thémis, la déesse de la justice Il est intéressant de noter que l'image de la femme portant un fléau en équilibre, une épée et ayant les yeux bandés, est universellement reconnue comme le symbole de la justice. Il s'agit de Thémis, la déesse de la justice dont l'origine remonte à l'Antiquité, à la déesse égyptienne Ma'at qui assistait Osiris dans le jugement de

non pas à la simple figure du juge ou du tribunal. La représentation classique de la justice comme une femme les yeux bandés, ayant un glaive et une balance à la main correspond à la déesse grecque Thémis. Les grecs connaissaient deux déesses de la justice, correspondant à deux types de justice : thémis, justice expiatoire (religieuse, intra-familiale), et dikè, justice réparatrice (politique, extra-familiale). Le bandeau symbolise l'impartialité : la justice devrait être rendue objectivement, selon

principe semblable, le site Thémis dans les Pyrénées orientale fut la plus puissante centrale électrosolaire d’Europe. Dans des conditions d’ensoleillement optimales elle pouvait injecter 2.5 MW dans le réseau électrique. Il y avait 201 miroirs paraboliques orientables répartis sur 5 hectares qui concentraient les rayons du soleil sur un point situé au sommet d’une tour de plus de 100 m. Elle fut démantelée depuis pour des soucis de rentabilité. La centrale thermique à Thémis Le plus grand site

W. JEANDIDIER, Droit pénal général, Montchrestien, 2 ème éd. 1991. Ph. CONTE, P. MAISTRE du CHAMBON, Droit pénal général, Colin., U Droit, 7 ème éd. 2004 ; Procédure pénale, Colin, U Droit, 4ème éd., 2002. J.H. ROBERT, Droit pénal général, Coll. Thémis, P.U.F., 6ème éd. 2005. Ph. SALVAGE, Droit pénal général, P.U. Grenoble, 6ème éd. 2006. F. DESPORTES, F. LEGUNEHEC, Le nouveau droit pénal, Tome I - Droit pénal général, Economica, 16ème éd. 2009. C. LOMBOIS, Droit pénal général, coll. Les Fondamentaux