Théorème du moment cinétique

point quelconque A du solide S. 1.2 Il y a plusieurs cas particuliers pour lesquels le moment cinétique au point A d’un solide S en mouvement par rapport à R peut être exprimé au moyen d’une expression « réduite » faisant intervenir la matrice d’inertie au point A du solide S. Expliciter au moins deux cas et donner les deux expressions correspondantes. 1.3 Il y a plusieurs cas particuliers pour lesquels le moment dynamique au point A d’un solide S en mouvement par rapport à R peut être exprimé au

.. 41 Liquides non miscibles ................................................................................................................................. 42 Théorème de Pascal ..................................................................................................................................... 43 Enoncé du théorème de Pascal ................................................................................................................................ 44 Application aux dispositifs

cylindriques, les lois fondamentales de la cinématique, les transformations galiléennes de repère, les angles d'Euler, la théorie des grandes et petites rotations, les théorèmes d'Euler et de Chasles. La dynamique newtonienne est articulée sur six chapitres ; le numéro 6 est consacré à l'introduction des principes de Newton et des théorèmes fondamentaux de la dynamique du point, ainsi que des principaux types de forces conservatives. Successivement, on aborde dans le chapitre 7 l'étude classique du mouvement

est dit anti commutatif. III. Moments : a. Vecteur lié ou glisseur Définition : On appelle vecteur lié ou glisseur le couple d'un vecteur ⃗ de (E) et d'un point P de () associé à (E). On le note (P , ⃗ ). Le glisseur (P , ⃗ dont PN est un représentant est donc défini par : - un vecteur ⃗ de (E) - un point quelconque P de son support (D). Exemple : La force qu'exerce un système matériel sur un point matériel P peut être représenté par un glisseur (P , ). b. Moment en un point d'un glisseur Définition

> Physique : Travail mécanique et énergie cinétique > Chimie : Solutions électrolytiques Séquence 3 – SP12 59 © Cned – Académie en ligne Physique > Travail mécanique et énergie cinétique Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 > Travail d’une force > Energie cinétique ............................................................................................................................... 63 ...................................................................................

donnée par: -2- u= où E 8πυ 2 E I-6 c3 est la valeur moyenne de l’énergie mécanique d’un oscillateur harmonique, avec E = Ec + E p , Ec représente son énergie cinétique et Ep son énergie potentielle; c=2,9979246 108 m/s est la vitesse de la lumière. En thermodynamique statistique, le théorème de l'équipartition de l'énergie stipule que: 1 kT ⇒ E = 2 Ec = kT 2 8 π kT 2 8 π kT 1 ⇒ u= ν = c λ2 c3 Ec = E p = I-7 I-8 Cette formule est en contradiction avec

Cinématique En physique, la cinématique est la discipline de la mécanique qui étudie le mouvement des corps, en faisant abstraction des causes du mouvement (celles-ci sont généralement modélisées par des forces et des moments). Elle utilise la géométrie analytique. On peut dater la naissance de la cinématique moderne à l'allocution de Pierre Varignon le 20 janvier 1700 devant l'Académie royale des sciences de Paris[1]. À cette occasion il définit la notion d'accélération et montre comment il est

elles : – [2a] : aiguille OA ; barre homogène de masse 4m, et de longueur OA = 3a ; 3 a – [2b] : traverse BOD ; solide de masse m , de centre de masse Gb tel que OGb = et 2 3 2 ma de moment d'inertie J G = en Gb ; 2 – [2c] : plaque de prise au vent, masse m, centre de masse confondu avec D tel que 2 OD = a, et de moment d'inertie J D= ma en D. 3 L'indicateur [2] est lié au cadre [1] en O par un pivot parfait (ni jeu, ni frottement). Un ressort de raideur k, et de longueur à vide L 0, relie le cadre

paramètres : la masse, la charge électrique et le moment cinétique. Tous les autres paramètres du trou noir (par exemple sa taille ou sa forme) sont fixés par ceux-là. Par comparaison, la description d’une planète fait intervenir des centaines de paramètres (composition chimique, différenciation de ses éléments, convection, atmosphère, etc.). La raison pour laquelle un trou noir n’est décrit que par ces trois paramètres est connue depuis 1967 : c’est le théorème de calvitie démontré par Werner Israel. Celui-ci

hermitique . . . . . . . . . . . . 5.10 Expression formelle du principe d’indétermination d’Heisenberg 5.11 Hamiltonien . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.12 Evolution d’une valeur moyenne dans le temps . . . . . . . . . 5.13 Le théorème d’Ehrenfest et la limite classique . . . . . . . . . . 5.14 Postulats de la mécanique quantique . . . . . . . . . . . . . . . 5.14.1 Postulat I . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.14.2 Postulat II . . . . . . . . . . . . . .