Théorie aristotélicienne de la causalité

les plantes, les éponges, les méduses, les mollusques … jusqu’au sommet où figurent les mammifères et l’homme. Cette classification servira d’ailleurs aux scientifiques jusqu’au XVIIIème siècle . Il introduit une conception des phénomènes de causalité dans la nature, qu’il divise en quatre : la cause matérielle, la cause efficiente, la cause formelle et enfin la cause finale. C’est cette dernière qui fonde le principe d’Aristote sur la finalité des choses. En effet, son intime conviction est que

-empirisme : Théorie philosophique selon laquelle la connaissance que nous avons des choses dérive de l'expérience. Empirisme moderne :  L'empirisme aurait percé dans le champ scientifique grâce à ses liens étroits avec l'éthique protestante et puritaine. -maïeutique : Art de Socrate avec lequel il accouchait les esprits de ses interlocuteurs, c'est-à-dire leur faisait découvrir la vérité par eux-mêmes en leur posant des questions. -platonisme : Le platonisme est une théorie philosophique

d’ouvrages ne subsiste qu’à l’état de fragments, recueillis par des auteurs postérieurs. Il en est de même des quelques brefs travaux techniques qu’il a composés, au nombre desquels figurent un dictionnaire des termes philosophiques et un résumé des théories de Pythagore. En revanche nous sont parvenues les notes de cours du philosophe, rassemblées et agencées après sa mort, qui portent sur presque tous les domaines de la connaissance et de l’art. Aristote a proposé une classification des sciences et

infaillible, pour d’autres qu’elle soit justifiée ou pour d’autre qu’elle résulte d’un processus fiable. Selon Aristote connaitre ce n’est pas juger les fins mais les causes, elles sont au nombre de quatre. C’est ce qu’on appelle la quadruple causalité aristotélicienne. Il ne s’agit pas seulement de ce qui précède l’effet, mais de ce qui fait que l’être existe. Tout d’abord il y a la cause matérielle qui désigne la matière composant un objet ; la cause formelle désigne la forme donnée à cette matière ;

INTRODUCTION Le panthéisme vient du grec ( pan , tout , et de theos , Dieu) c’ est un système métaphysique , qui , au point de vue général peut se résumer dans les termes suivants « DIEU est tout » le panthéisme est donc une théorie qui considère que Dieu est tout et tout le monde, et aussi que chaque personne et chaque chose est Dieu. Le panthéisme est similaire au polythéisme (la croyance en plusieurs dieux), mais il va au-delà du polythéisme pour enseigner que chaque chose est Dieu. Un

aussi Dialectique, peut-être interprétée comme la Métaphysique. Les différentes idées comme le Beau, la Vertu, le Bien sont des analogies projetées sur le monde, qui viennent d’Idées existantes en elle-même dans un au-delà qui serait un monde de causalité des formes sensibles. . Les choses sensibles dans le monde s’articulent avec les réalités en soi Ces dernières engendrent des formes qui deviennent des choses sensibles, auquel elles participent. Cela n’est pas un engendrement physique, mais permet

nom de celui-ci puisque « cosmos » signifie univers en grec. Elle est basée sur le principe de la causalité. Dès lors est-ce que l’idée selon laquelle tout dans l’univers cosmique est nécessairement soumis à une force motrice fonde t-elle ou invalide t-elle l’argument du premier moteur appelé Dieu ? Nous tenterons d’élucider cette question en nous appuyant sur les approches Aristotélicienne et Kantienne de l’idée de Dieu. A- APPROCHE DE L’IDEE DE DIEU PAR L’ARGUMENT COSMOLOGIQUE CHEZ

l’abstrait, l’acatalepsie, l’acte gratuit, l’analyse, l’antinomie, l’attribut, la causalité, la démonstration, le discours, la doxa, l’espace, l’expérience, l’imagination, l’inférence, l’interprétation, l’intuition, la mémoire, l’opinion, le paralogisme, la perception, la prémisse, la raison, l’enseignement, le raisonnement, la réalité, le sujet, la substance, les sophismes, le syllogisme, la synthèse, le temps, la théorie et la vérité. Malgré toutes celles-ci, les principales sont le matérialisme, l’idéaliste

poursuite adaptative de l’effort humain de maîtrise de son environnement depuis les origines. Cette opposition au sens commun conduit à poser des concepts hypothétiques que l’expérimentation tentera de contredire. Sans contradiction insoutenable, la théorie pourra se maintenir. Ceci conduit au concept de paradigme et d’évolution scientifique par rupture paradigmatique (Kuhn, 1972). Penser son activité c’est aussi comprendre ce qu’est la logique, différencier « comprendre » d’« expliquer », positionner

Bases idéologiques Le stalinisme est une pratique appliquée en Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) puis dans les États du bloc de l'Est, dont la composante idéologique est caractérisée par : La théorie du « socialisme dans un seul pays ». Lénine et Trotski prônaient au contraire la révolution internationale, permanente jusqu'à la victoire ; Staline développa lenationalisme3 — ce qui était l'inverse du principe de l'internationalisme (une des bases du communisme). Staline est