Théorie aristotélicienne de la causalité

• ms ce qui est à la racine de toute pensée • conscience de soi = conscience réfléxive Ex : je me trompe (Je + Me = je suis deux fois) ( descartes veut approfondir la conscience de soi de sorte qu’elle devienne la connaissance de soi -théorie d’aristote : homme est un animal doté de raison • remis en doute car ancienne opinion • recherche de ce QUE je suis -pourquoi pas recherche d’une identité ? • recherche de quelque chose qui demeure malgré la variation de mes particularités

ne pouvant cependant être mathématique car travaillant sur des choses changeantes. Or Galilée conteste l’idée d’un ciel immuable en faisant valoir les changements comme les comètes, les nouvelles étoiles. Il faut donc questionner les dogmes aristotéliciens en observant le ciel avec des nouveaux outils. Ce texte de Galilée est donc une tentative d’unification, homogénéïsation ontologique et méthodologique de la nature. La Terre et les astres sont en mouvement de la même manière. La physique comme

suffisante : ca marche, mais je ne suis pas sur que mon explication soit bonne. Or la science est dans le code mathématique (le premier). Ca ne veut pas dire qu’il n’y a pas de vérités scientifiques, mais elles passent. Les lois restent mais les théories pour expliquer les lois, elles passent. II) Signification 1) Le désenchantement du monde : Schiller- Marx Weber, Entzaüberung : Un monde enchanté, c’est un monde qui provoque l’émerveillement : il y a quelque chose à connaitre. Il

la souveraineté que le divin exerce dans sa transcendance sur toute les choses. Je vais la connaître comme universelle cette science car elle est suspendu à la substance mobile. L’universalité est gagné par un détour. C’est parce que j’examine la causalité de la substance première sur les Étant que je peux prétendre accéder à une science première et universel. Pourquoi ce passage capital s’intitule « structure Onto-théologique… »? Pour comprendre l’être, il faut comprendre le 1er parmi les être cad

tentative pour devenir le philosophe roi dont rêvait Platon. Mais si Dion fut trop pur, Alexandre ne le fut pas assez. En tant qu'éducateur des princes, Platon et Aristote ont pu de leur vivant connaître leurs limites. Les principes: critique et causalité Pour Aristote, il n'y a pas, comme dans la philosophie de Platon, d'un côté un monde intelligible et de l'autre un monde sensible qui participerait au premier, mais il existe une seule réalité séparée en monde supralunaire, au-delà de la sphère

KYMLICKA, Willy, Les théories de la justice. Une introduction, Paris, La Découverte, 2003. + RIGAUX, François, « Les fondements philosophiques des droits de l’homme » dans Revue trimestrielle des droits de l’homme  70 (2007). + SUPIOT, Alain, Homo juridicus. Essai sur la fonction anthropologique du Droit, Paris, Seuil, 2015. + TROPER, Michel, La philosophie du droit, Paris, Puf, 2003. + VILLEY, Michel, Le droit et les droits de l’homme, Paris, Puf, 1983. CHAP. I., NOTIONS : DROIT, THEORIE DU DROIT, PHILOSOPHIE

du corps et de l’esprit est impossible ; il n’y pas ici de causalité ; ou plus exactement l’esprit ne peut être que cause occasionnelle des effets produits sur le corps (et inversement). La seule cause efficiente, c’est Dieu, qui, à l’occasion d’une certaine modification de l’esprit produit une modification correspondante dans le corps (et inversement), selon les lois qui dirigent son action. Précisons que pour Malebranche cette théorie des causes occasionnelles vaut tout autant lorsque le rapport

indus)lautonomie des entreprises / auc banques a une exception : Rothschild qui contrôle uen partie des mines du nord et des chemins de fer - Francois perroux : « c’est un capitalisme a structure atomique » 2) La figure de lentrepreneur dans la théorie economique : - Commence avec Richard Cantillon ( 1680 1760) : auteur influent de la physiocratie , acteurindispensable agent de la direction de laproduction et du commerce , il prend tous les risques face aux marchés L'instinct du profit amène toujours

d'exception du Cogito à l'égard du doute que Descartes dirigeait contre la distinction entre le monde du rêve et celui de la veille. Assumer la phénoménalité du monde intérieur, c'est en outre aligner la connexion de l'expérience intime sur la « causalité » externe, laquelle est également une illusion qui dissimule \ejeu des forces sous l'artifice de l'ordre. C'est encore poser une unité tout à fait arbitraire, cette fiction appelée « penser», à part de la foisonnante multiplicité des instincts

définie par la singularité de son objet. Par la vision, je n'ai pas l'intuition de l'Homme en général, mais de Untel ou Untel. Par le sentiment intérieur, j'ai conscience de cet être singulier: moi-même. Jusque-là, Kant est fidèle à la tradition aristotélicienne: "Seule la perception sensible nous permet de saisir le particulier" (Aristote, Seconds analytiques). L'entendement est la faculté de produire des concepts, qui se définissent par leur généralité. Par l'entendement, je peux concevoir l'idée